CHAUSSURESDE RUNNING HOMME KIPRUN KD500 BLEU. À partir de. €37 00. 4.1 /5 Lire les 197 avis. 8505777. Nos Ă©quipes de conception ont dĂ©veloppĂ© cette chaussure de running homme pour vous offrir amorti et relance pour vos sorties en course Ă  pied et vos courses. A LA RECHERCHE D'AMORTI ET DYNAMISME ?

Pontivy - FĂȘte de l'avenir - FoulĂ©e de la plage PONTIVY 2022 J-5 27/08 DĂ©pt 56 30eme Ă©dition des foulĂ©es de la plage PONTIVY route de STIVAL FETE DE L'AVENIR - FOULEE DE LA PLAGE PONTIVY 2022 Samedi 27 AoĂ»t 2022 - route de STIVAL / GUEMENE SUR SCORFF - rue de la cascade 56300 PONTIVY proche de la piscine plein air DiffĂ©rents formats Course Ă  pied enfants de 500 Ă  1500 mĂštres inscription gratuite/ lots .. Plus d'infos... km km km Sene - RUN IN SENE NATURE J-6 28/08 101 inscriptions DĂ©pt 56 Course Ă  pied nature sur les bords du Golfe du Morbihan RUN IN SÉNÉ NATURE EPREUVES 2 courses nature 21 km en solo ou en duo/relais, 10 kms HEURES DE DEPART 9h15 le 21 Km 9h30 le 10 km TARIFS 10 Km 10? 21 Km 15? en solo 21 km 15? en duo / relais LIEUX DĂ©part / ArrivĂ©e plage de MoustĂ©rian Ă  SÉNÉ.. Plus d'infos... km km km Ste brigitte - Trail de Ste Brigitte J-6 28/08 DĂ©pt 56 Trail de 15 km en ForĂȘt de QuĂ©nĂ©can 15,4km. 264m D+. 85% chemin-15% route. NOUVEAUTE 2 secteurs crhonomĂ©trĂ©s avec prime 20? 1er H-1ere F ! Secteur 1 Trail Sainte Brigitte Segment de course Ă  pied Strava Sainte-Brigitte, Bretagne, France Secteur 2 Trail Sainte Brigitte Segment de course Ă  pied Strava Sainte-Brigitte, Bri.. Plus d'infos... km Ste helene - La Santez Helen 14km J-13 04/09 16 inscriptions DĂ©pt 56 Course nature 7iĂšme Ă©dition de la course Santez Helen Dimanche 4 septembre Ă  Sainte HĂ©lĂšne sur Mer56 AprĂšs les annulations pour cause de COVID-19, la Santez Helen se relance dans son format originel de 14 km. Comme les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes, le parcours vous permettra de dĂ©couvrir le.. Plus d'infos... km Gestel - Trail de Gestel J-20 11/09 31 inscriptions DĂ©pt 56 Trail du Lain, 2 courses pĂ©destres et un canicross Bonjour Ă  toutes et tous, AprĂšs deux annĂ©es sans Ă©preuve pour cause de COVID, nous vous retrouverons cette annĂ©e avec plaisir dans un moment de convivialitĂ© de nouveau dans le domaine du Lain sur des nouveaux parcours. DĂ©part/arrivĂ©e devant le chĂąteau du Lain, chronomĂ©trage par puce Deux Ă©p.. Plus d'infos... km km km Ambon - COURSE NATURE ENTRE TERRE ET MER J-26 17/09 16 inscriptions DĂ©pt 56 2 circuits pour et 15 kms 2 circuits de et 15kms sur les chemins pour vous faire dĂ©couvrir une partie de la campagne, des marais et du bord de mer de la commune d'ambon. 2 points d'eau sur chaque circuit +1 Ă  l'arrivĂ©e. tombola Plus d'infos... km km Carnac - FOULEES DE CARNAC J-26 17/09 23 inscriptions DĂ©pt 56 Le 17 septembre 2022 Ă  18h Les foulĂ©es de Carnac reviennent le Samedi 17 Septembre 2022 au dĂ©part face Ă  la grande plage sur un nouveau parcours... Ouverture des inscriptions prochainement... Plus d'infos Ă  suivre Plus d'infos... km km Baud - Happy Urban Trail J-26 17/09 32 inscriptions DĂ©pt 56 Mettre en lumiĂšre la ville de Baud Ă  travers son patrimoine, ses infrastructures et ses commerces. La dĂ©couverte pourra se faire en randonnĂ©e pĂ©destre ou en trail. La convivialitĂ© sera le maitre mot de ce trail urbain puisque de nombreuses animations sont au programme HAPPY URBAN TRAIL Date 17 Septembre 2022 DĂ©part de la course 16H30 place le Sciellour Ă  Baud, dĂ©part diffĂ©rĂ© Concert 20H un concert place de l'Ă©glise Retrait des dossards le samedi 11 Septembre de 9H Ă  12H place le Sciellour sur le marchĂ© et le samedi 18 septembre 9H Ă  12H su.. Plus d'infos... km km Larmor plage - Run 2 K Challenge LARMOR PLAGE J-26 17/09 DĂ©pt 56 Relevez le dĂ©fi de courir 2 Km Le Run 2 K Challenge consiste Ă  courir Ă  son rythme 5 tours de la piste du stade Ar Menez de Larmor Plage. Que vous soyez dĂ©butant ou confirmĂ© c'est une distance rĂ©alisable pour battre un record sur 2 km ou pour rĂ©aliser un dĂ©fi sur piste. Vous pouvez venir avec vos enfants Ă  partir de 12 ans... Plus d'infos... km Erdeven - ST PIERRE ST PAUL COLOR RACE J-27 18/09 13 inscriptions DĂ©pt 56 Course, Marche colorĂ©e animĂ©e non chronomĂ©trĂ© ST PIERRE ST PAUL COLOR RACE La St Pierre St Paul Color Race est une course ou marche Ă  pied Ă  caractĂšre non compĂ©titif, ouverte Ă  tous sur un parcours de 6km, durant laquelle les participants sont aspergĂ©s de poudre colorĂ©e Ă  chaque kilomĂštre. A l'arrivĂ©e les participants ont accĂšs Ă  un fes.. Plus d'infos... km Ploemeur - Trail du fort BloquĂ© J-27 18/09 37 inscriptions DĂ©pt 56 Trail terre et mer TRAIL DU FORT BLOQUE - TROISIEME EDITION 4 COURSES AU PROGRAMME 9h00 DĂ©part du 30 km 2x15 km - 17 Euros 9h00 DĂ©part du 30 km duo - 20 Euros par Ă©quipe 9h30 DĂ©part du 15 km - 12 Euros 9H15 DĂ©part du 7,5 km - 8 Euros 250 participants maximun par course. .. Plus d'infos... km km km km Malansac - 50 Nuances des GrĂ©es J-33 24/09 19 inscriptions DĂ©pt 56 2 courses trail 9 &18 kms, 2 courses enfant Nouvel Ă©vĂšnement Ă  Malansac, 2 parcours au coeur d'un site exceptionnel, les grĂ©es, paysage pittoreque et peu commun constituĂ© d'anciennes ardoisiĂšres Ă  la fois techniques et escarpĂ©es. Ce trail se veut porteur d?animations telles qu'une course parent-enfant, d?expos partenaires, bar Ă  huĂźtre et crĂȘ.. Plus d'infos... km km St ave - Saint-AvĂ© - 30Ăšme FoulĂ©es de Kerozer J-34 25/09 DĂ©pt 56 Saint-AvĂ© - 30Ăšme FoulĂ©es de Kerozer RETRAIT DES DOSSARDS Samedi 24 septembre de 15h Ă  18h au magasin Intersport, Zone Commerciale Kerlann Vannes. Dimanche 25 septembre Ă  partir de 7h45 BelvĂ©dĂšre de Kerozer village de la course. En 2022, nous fĂȘtons la 30Ăšme Ă©dition des Foul.. Plus d'infos... km km km km km km km km Plouay - Trail du Marquis J-34 25/09 DĂ©pt 56 3 circuits 6, 12 et 26 km pour retrouver le plaisir de courir ensemble. DĂ©part et arrivĂ©e Chateau de ManĂ©houarn. Plouay Plus d'infos... km km km Nivillac - Ultra Vilain Trail 2022 J-40 01/10 272 inscriptions DĂ©pt 56 ULTRA VILAIN TRAIL AprĂšs le succĂšs de sa premiĂšre Ă©dition en 2020, le Sport Nature Roche Vilaine est fier d'organiser la deuxiĂšme Ă©dition de l'Ultra Vilain Trail 2022. Les bords de la riviĂšre la Vilaine sont rĂ©putĂ©s dans la rĂ©gion pour son dĂ©nivelĂ©, ce qui fait de cette Ă©preuve un.. Plus d'infos... km km km Pontivy - Marathon LoudĂ©ac-Pontivy J-41 02/10 280 inscriptions DĂ©pt 56 Marathon km entre LoudĂ©ac et Pontivy Un Marathon, un Semi-Marathon, un 10 km, un 5 km et un relais de 4 coureurs sur le parcours du marathon qui vous feront dĂ©couvrir l'une des carte.. Plus d'infos... km km km km km Camors - Trail de la forĂȘt de CAMORS J-41 02/10 DĂ©pt 56 Course nature, 99 % sous-bois Le Trail de la forĂȘt de Camors » est organisĂ© en partenariat entre le CIMA pays d'Auray et le ComitĂ© des FĂȘtes de Camors. L'ensemble des Ă©preuves empruntent uniquement les sentiers de la forĂȘt sur la commune de Camors. Cette manifestation sportive propose 3 trails et une marche nordique... Plus d'infos... km km km km Queven - KEWENN TRAIL J-48 09/10 DĂ©pt 56 TRAIL DATE DES COURSES Les trois courses auront lieu le dimanche 09 octobre 2022 Trail 25 kms Ă  9h00 - NouveautĂ© ! Trail 16 kms Ă  9h30 Trail 8 kms Ă  10h00 CONCURRENTS Selon le rĂšglement FFA en vigueur, toutes les personnes nĂ©es en 2004 et avant peuvent participer aux 3 cour.. Plus d'infos... km km km Nostang - Trail de la Ria d'Etel J-55 16/10 18 inscriptions DĂ©pt 56 19 Ăšme Trail 19Ăšme edition du trail de la Ria d'Etel. 4 courses au programme - 8H45 > Trail 25 km > 11? - 9H30 > Trail 10 km > 9? - 9H45 > Trail km Minimes > gratuit - 9H55 > Trail 17 km > 10? NouveautĂ© > ChronomĂ©trage Ă©lectronique Remise d'une puce Ă©lectronique pour amĂ©liorer la gestion .. Plus d'infos... km km km km Plescop - Les Marcels Ă  Plescop J-61 22/10 23/10 28 inscriptions DĂ©pt 56 EvĂšnement sportif course et marche rĂ©servĂ© aux hommes dont l'intĂ©gralitĂ© des bĂ©nĂ©fices sont reversĂ©s Ă  2 associations de lutte contre le cancer LES MARCELS A PLESCOP Pour les P'tits Marcels L'inscription est gratuite et aura lieu sur place le Samedi 22 Octobre entre 14h00 et 16h00. Les enfants devront obligatoirement ĂȘtre accompagnĂ©s d'un adulte responsable. Pour participer, il y aura 3 courses en fonction des annĂ©es de naissan.. Plus d'infos... km Cleguer - Trails de la vallĂ©e du scorff J-61 22/10 23/10 51 inscriptions DĂ©pt 56 Venez dĂ©fier les sentiers des trails de la VallĂ©e du Scorff le 22 et 23 octobre 2022 ! Les Trails de la VallĂ©e du Scorff 2022 Venez participer Ă  notre grande fĂȘte du Trail Breton les 22 et 23 octobre 2022 ! 21Ăšme Ă©dition du TVS, l'un des plus anciens anciens Trail de Bretagne. Notre Ă©preuve fait partie du Challenge Ouest Trail Tour et du Challenge Armor Argoat. .. Plus d'infos... km km km km km

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IlrevĂȘtit souvent le beau maillot noir et rose des Chiefs d’Apples pour ses matchs d’unihockey. Footballeur Ă  la retraite aprĂšs une belle carriĂšre au FC Pied du Jura, il a su garder sa foulĂ©e dynamique, posĂ©e et lĂ©gĂšre, ce qui lui permet d’écumer les chemins de la rĂ©gion dans un rythme toujours soutenu.

Affiner par gĂ©ographieResponsable d'agence piscines bĂ©ton armĂ© 44 h/fEmploi Construction - BTP - TPOrvault, 44, Loire-Atlantique, Pays de la LoireDepuis presque 50 ans, notre client est le,1er constructeur français de piscines en bĂ©ton armĂ©, il s'inscrit dans l'innovation et la crĂ©ativitĂ© pour crĂ©er au quotidien la piscine d'aujourd'hui et de demain. Avec presque 40 000 piscines construites, notre client est avant tout une belle aventure humaine liĂ©e Ă  un solide savoir-faire, et ce, pour nous adapter sans cesse, aux besoins et aux envies de ses clients. Fort de son dĂ©veloppement nous sommes Ă  la recherche d'un nouveau responsable d'agence sur l'agence d'Orvault dans la pĂ©riphĂ©rie de Nantes. FONCTIONS Vous ĂȘtes le garant des objectifs de l'entreprise. Vous avez la responsabilitĂ© gĂ©nĂ©rale de l'agence Ă  savoir, la reprĂ©senter, la dĂ©velopper, la gĂ©rer et assurer son bon fonctionnement. Vous animez et accompagnez la force commerciale pour atteindre les objectifs fixĂ©s. Vous organisez les services production et service aprĂšs vente. Vous maitrisez l'outil informatique ainsi que les moyens modernes de gestion et de / Plongeuse en restaurationEmploi Quiberon, 56, Morbihan, BretagneBienvenue au Sofitel Quiberon ! Resort de luxe face Ă  la mer au bout de la presqu'Ăźle de Quiberon, ici, tout est pensĂ© pour le bien-ĂȘtre de nos clients hĂŽtellerie 5 Ă©toiles, boutiques, institut Thalasso & Spa connu et reconnu dans le monde du bien-ĂȘtre, bar Ă  cocktails et jusqu'au restaurant La Presqu'Ăźle, spĂ©cialisĂ© en produits locaux au grĂ© des vagues et issus des circuits courts. Vous souhaitez une expĂ©rience valorisante dans un Ă©tablissement haut de gamme situĂ© dans un cadre incroyable ? Alors ne cherchez plus ! En effet, nous recrutons une Plongeurse investie et enthousiaste pour rejoindre notre dĂ©partement Restauration. Vous aimez le travail en Ă©quipe et faites preuve de rapiditĂ© et dextĂ©ritĂ© ? Rejoignez notre Ă©quipe et participez au bien-ĂȘtre de nos clients ! Vos missions - Assurer le nettoyage et l'entretien de la vaisselle, du matĂ©riel de cuisine, des locaux de cuisine et annexes carrelages, sols, tables de travail.... Ce poste est Ă  pourvoir dĂšs que possible et jusque fin aoĂ»t. Profil recherchĂ© - DĂ©butants motivĂ©s acceptĂ©s - RapiditĂ©/dextĂ©ritĂ© - Esprit[...]Festival de Musique MĂ©canique 2022Dijon 21000Du 22/09/2022 au 25/09/2022Orgues et automates s’invitent Ă  Dijon ! Limonaires, orgues de barbarie et orgues miniatures font le show en septembre dans les rues de Dijon ! OrganisĂ© tous les trois ans, le festival de musique mĂ©canique a fĂȘtĂ© sa dixiĂšme Ă©dition en 2018, presque trente ans aprĂšs sa crĂ©ation. Ces instruments de musique populaires ne manquent pas d’interpeller le public. Certains, trĂšs ouvragĂ©s et fourmillant de dĂ©tails, sont de vĂ©ritables Ɠuvres d’art. Parfois animĂ©s par quelques automates, ils captivent petits et grands. Un festival qui rayonne dans toute l’Europe ! Des spectacles et des animations sont organisĂ©s Ă  cette occasion pour faire dĂ©couvrir ces instruments de musique au plus grand nombre. Depuis sa crĂ©ation, le festival de musique mĂ©canique ne cesse de gagner en popularitĂ©. En 2018, 150 orgues Ă©taient prĂ©sents pour l’évĂ©nement. C’était une premiĂšre participation pour un tiers des joueurs d’orgue, venus de toute l’ Analogues Concert, MusiqueMarseille 13000Le 24/09/2022La rĂ©fĂ©rence europĂ©enne des tributes des Beatles arrive en France ! Les hollandais The Analogues rendent hommage aux Beatles en reprenant l’intĂ©gralitĂ© des disques que les Beatles n’ont jamais jouĂ©s sur scĂšne. Ceux des "annĂ©es studio" enregistrĂ©s il y a 50 ans et plus, de "Revolver" Ă  "Abbey Road " et jusqu’à "Let It Be". Bien plus qu’un tribute band, cette formation touche Ă  la perfection et recréée la magie des Fab Four. Ici, pas de costume sans col, pas de perruque Beatles, pas de fausses moustaches, pas de vidĂ©o et de light-show. Leur approche est celle du respect absolu de la partition et de l’authenticitĂ© des sons et des instruments utilisĂ©s par les Beatles lors de l’enregistrement de leurs chefs-d’Ɠuvre. Geoff Emerick, leur ingĂ©nieur du son, disait qu’il avait eu le privilĂšge d’assister Ă  la magie que les Beatles crĂ©aient en studios. Il pensait que jamais il ne pourrait revivre une telle expĂ©rience. En travaillant avec les Analogues, il a Ă©tĂ© stupĂ©fait de ressentir les mĂȘmes sentiments plus de cinquante ans plus tard. La tournĂ©e du groupe affiche sold-out presque partout, notamment en Allemagne et en Hollande oĂč ils joueront deux jours consĂ©cutifs au Ziggo[...]Festival de Musique MĂ©canique 2022 Musique, Festival gĂ©nĂ©ralisteDijon 21000Du 22/09/2022 au 25/09/2022Orgues et automates s’invitent Ă  Dijon ! Limonaires, orgues de barbarie et orgues miniatures font le show en septembre dans les rues de Dijon ! OrganisĂ© tous les trois ans, le festival de musique mĂ©canique a fĂȘtĂ© sa dixiĂšme Ă©dition en 2018, presque trente ans aprĂšs sa crĂ©ation. Ces instruments de musique populaires ne manquent pas d’interpeller le public. Certains, trĂšs ouvragĂ©s et fourmillant de dĂ©tails, sont de vĂ©ritables Ɠuvres d’art. Parfois animĂ©s par quelques automates, ils captivent petits et grands. Un festival qui rayonne dans toute l’Europe ! Des spectacles et des animations sont organisĂ©s Ă  cette occasion pour faire dĂ©couvrir ces instruments de musique au plus grand nombre. Depuis sa crĂ©ation, le festival de musique mĂ©canique ne cesse de gagner en popularitĂ©. En 2018, 150 orgues Ă©taient prĂ©sents pour l’évĂ©nement. C’était une premiĂšre participation pour un tiers des joueurs d’orgue, venus de toute l’ trĂ©pidantes aventures de l'ami du Roy Science et technique, Patrimoine - Culture, SpectacleCrĂšvecƓur-le-Grand 60360Le 24/09/2022DĂźner spectacle historicomique dans un chĂąteau renaissance plus vrai que nature – Ecrit et mis en scĂšne par Dominique Martens – Offre spĂ©ciale pour les groupes – Tous renseignement et prĂ©-reservation disponibles sur notre site web – RĂ©servation indispensable certaines dates sont dĂ©jĂ  presque complĂštes OrganisĂ© par l'association François 1er Sur rĂ©servation uniquement contact ; 07 81 78 17 53Massages sonores Manifestation culturelleStrasbourg 67100Le 24/09/2022Dans le cadre du festival Musica Comme une caresse pour les oreilles, ĂȘtre effleurĂ© par un son presque inaudible et le ressentir dans tout notre corps sans aucun contact physique
 À partir d’objets inattendus et variĂ©s qui ne sont pas donnĂ©s Ă  voir, le musicien Thierry Madiot prodigue des massages sonores » d’une dizaine de minutes, apprĂ©ciĂ©s des enfants comme des parents. Une expĂ©rience de l’écoute acoustique intime, pour un spectateur Ă  la fois. —tout public Ă  partir de 6 ansde 10h Ă  13h et de 14h Ă  18hVisite en autonomie "Une intrigue dans les rĂšgles de l'Art" au chĂąteau royal d'Amboise Patrimoine - CultureAmboise 37400Du 06/09/2022 au 30/11/2022Chacun, ou presque, dans le logis du chĂąteau royal d’Amboise a entendu son cri de rage
 Ceux qui ont accouru l’ont alors dĂ©couvert livide et incrĂ©dule, les yeux fixĂ©s sur l’immense toile
 La Bellezza Perfetta », toute derniĂšre Ɠuvre de MaĂźtre Pierandrea Di Sciglio, a Ă©tĂ© l’objet d’un inimaginable outrage. En lieu et place du visage ne figure plus Ă  prĂ©sent qu’une balafre bĂ©ante. Qui a Ă©tĂ© assez fou pour commettre une telle ignominie, et dĂ©truire une toile dont le roi François voulait orner la grande salle du chĂąteau? Joignez-vous au perspicace Guillaume Vallon pour mener l’enquĂȘte et trouver le coupable. Inclus le droit d’accĂšs au 9-9 BIS SITE MINIER REMARQUABLE Visite guidĂ©e, Manifestation culturelleOIGNIES, 62590Du 04/06/2022 au 16/09/2022Au cƓur du Bassin minier Nord-Pas de Calais, inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO, dĂ©couvrez en compagnie d’un mĂ©diateur du patrimoine le carreau de fosse 9-9bis et ses machines toujours entretenues par l’association d’anciens mineurs et de passionnĂ©s ACCCUSTO SECI. De l’immense salle des douches à la machine d’extraction remise en fonctionnement, vous saurez tout ou presque! sur ce site minier PEZENAS DES IDEES - PRESQUE ConfĂ©rence - DĂ©bat, ThéùtrePĂ©zenas 34120Le 26/09/2022Cette comĂ©die aborde le handicap avec humour pour briser les tabous. Dans la ville de Lausanne, Louis est directeur d'une sociĂ©tĂ© de pompes funĂšbres. CĂ©libataire endurci, Ă  58 ans il se consacre entiĂšrement Ă  son mĂ©tier et ne peut se rĂ©soudre Ă  prendre sa retraite. Igor a 40 ans, un esprit vif dans un corps handicapĂ©. Infirme moteur cĂ©rĂ©bral. Igor livre des lĂ©gumes bios sur son tricycle pour payer son loyer et passe le reste de son temps dans les livres, Ă  l'Ă©cart du monde, avec ses compagnons de route, Socrate, Nietzsche et Spinoza. Par un hasard qui n'appartient qu'Ă  la vie, les chemins de Louis et d'Igor se croisent. Sur un coup de tĂȘte, Louis dĂ©cide d'emmener Igor avec lui. Ils partent tous deux en corbillard conduire la dĂ©pouille d'une vieille dame, Madeleine, au pied des CĂ©vennes. Avec Bernard Campan, Alexandre Jollien, Tiphaine DaviotLE 9-9 BIS SITE MINIER REMARQUABLEOignies 62590Du 04/06/2022 au 16/09/2022Au cƓur du Bassin minier Nord-Pas de Calais, inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO, dĂ©couvrez en compagnie d’un mĂ©diateur du patrimoine le carreau de fosse 9-9bis et ses machines toujours entretenues par l’association d’anciens mineurs et de passionnĂ©s ACCCUSTO SECI. De l’immense salle des douches à la machine d’extraction remise en fonctionnement, vous saurez tout ou presque! sur ce site minier Suzette Sports et loisirs, Sports nautiques, Visites et circuitsLanton 33138Le 25/09/2022En bateau presque privatisĂ©, au dĂ©part du port de Cassy, partez avec Vincent, le skipper, pour un moment unique admirer le coucher de soleil sur le Bassin d'Arcachon. Vous naviguerez vers l'Ile aux Oiseaux et profiterez des derniĂšres lumiĂšres du jour et des camaĂŻeux de couleurs pastels, entre bleu, rose et orange. A partir de 2 ans, sous la responsabilitĂ© des rĂ©servation auprĂšs de l'Office de Tourisme Coeur du WORLD OF HANS ZIMMER Musique classiqueREIMS 51100Le 27/09/2022 Ă  2000THE WORLD OF HANS ZIMMER – A Symphonic Celebration – AprĂšs une tournĂ©e triomphale en 2021 rĂ©unissant plus de 41 000 spectateurs ainsi que deux concerts complets Ă  Paris Ă  La Seine Musicale et Ă  l'Accor Arena en 2019, The World of Hans Zimmer – A Symphonic Celebration » reviendra dans l'hexagone en 2022 !Collectionnant les Oscars, les Grammy et les Golden Globes, Hans Zimmer est sans doute l'un des plus cĂ©lĂšbres compositeurs de bandes originales de notre Ă©poque. Son influence et ses crĂ©ations puissantes ont modelĂ© le cinĂ©ma actuel comme aucun autre. Ses compositions accompagnent une liste presque sans fin de blockbusters. Le Roi Lion, Pirate des CaraĂŻbes, DaVinci Code, The Dark Knight, Twelve Years A Slave ou encore Man Of Steel comptent parmi les films les plus cĂ©lĂšbres sur lesquels il a travaillĂ©. En janvier 2018, Hans Zimmer reçoit sa 11e nomination aux Oscars avec sa bande originale Ă  couper le souffle pour Dunkerque, de Christopher Nolan. Hans Zimmer lui-mĂȘme a passĂ© plusieurs mois Ă  transformer ses bandes originales en piĂšces de concert classique. MĂȘme s'il ne se produit pas en personne lors de cette tournĂ©e, il en reste le directeur Gavin Greenaway[...]JULIEN BING Spectacle comiqueDUNKERQUE 59240Le 03/12/2022 Ă  2000Un spectacle complĂštement dĂ©sengagĂ©... ou presque ! Etes-vous prĂȘts Ă  entendre toute la vĂ©ritĂ©, rien que la vĂ©ritĂ©, ou presque ? Cette vĂ©ritĂ© qui change aussi vite que la sociĂ©tĂ© Ă©volue. D'ailleurs, notre vĂ©ritĂ© d'hier est-elle la mĂȘme que celle d'aujourd'hui ? Du stand-up aux personnages, Bing s'interroge avec tendresse, ou presque, sur des vĂ©ritĂ©s qui dĂ©rangent Les enfants dansent-il vraiment bien Ă  la fĂȘte de l'Ă©cole ? Peut-on sauver son couple aprĂšs une sixiĂšme rupture ? Le fĂ©minisme est-il perçu comme un coup d'Etat pour certains hommes ? Sommes nous... non je ne peux pas tout dire... gardons un peu de suspense ! Avec un humour intelligemment maladroit, Julien Bing a un objectif rire avec tout le monde ! Dans un monde oĂč la nuance n'existe plus et oĂč tout porte Ă  polĂ©mique, conscient du danger, il s'amuse de l'image instagrammable dans laquelle nous sommes tous piĂ©gĂ©s... ou presque ! Attention, il prĂ©vient son public s'il va trop loin avec lui-mĂȘme, il s'insultera sur les rĂ©seaux sociaux, mettra fin Ă  sa carriĂšre, et s'il va vraiment trop trop loin, il s'attaquera en justice. Alors, si vous aussi, vous n'ĂȘtes pas parfait aux yeux de cette Ă©poque qui voudrait[...]Expo Chouette Plume & Evatefaireundessin Manifestation culturelle, Atelier, Atelier, Visites et circuitsOndres 40440Du 31/05/2022 au 15/09/2022Mini exposition d’Ɠuvres presque abstraites et hyper vitaminĂ©es en duo au sein de l'office de tourisme d'Ondres ! Elles sont rĂ©alisĂ©es par Chouette Plume et Evatefaireundessin, deux artistes bien connues de notre office... Chouette Plume Au croisement du zentangle et du pop art, il y a les onomatopĂ©es de Chouette Plume. Ce qu'on y trouve n'est rien d'autre que l'intĂ©rieur de la tĂȘte de l'artiste un joyeux bazar, un florilĂšge d'Ă©motions et de jolies couleurs. Evatefaireundessin Des couleurs au geste, tout est spontanĂ© dans les Ɠuvres d'Evatefaireundessin. Toujours en musique, portĂ©e par ses Ă©motions, sa main s'emballe, jouant de courbes et de traits. Un dessin intuitif, abstrait, qui laisse Ă  chacun la libertĂ© d'y percevoir ce qu'il souhaite. Visible aux heures d'ouverture de l' Chouette Plume & Evatefaireundessin Vie locale, Patrimoine - Culture, ExpositionOndres 40440Du 31/05/2022 au 15/09/2022Mini exposition d’Ɠuvres presque abstraites et hyper vitaminĂ©es en duo au sein de l'office de tourisme d'Ondres ! Elles sont rĂ©alisĂ©es par Chouette Plume et Evatefaireundessin, deux artistes bien connues de notre office... Chouette Plume Au croisement du zentangle et du pop art, il y a les onomatopĂ©es de Chouette Plume. Ce qu'on y trouve n'est rien d'autre que l'intĂ©rieur de la tĂȘte de l'artiste un joyeux bazar, un florilĂšge d'Ă©motions et de jolies couleurs. Evatefaireundessin Des couleurs au geste, tout est spontanĂ© dans les Ɠuvres d'Evatefaireundessin. Toujours en musique, portĂ©e par ses Ă©motions, sa main s'emballe, jouant de courbes et de traits. Un dessin intuitif, abstrait, qui laisse Ă  chacun la libertĂ© d'y percevoir ce qu'il souhaite. Visible aux heures d'ouverture de l' PEZENAS DES IDEES - PRESQUE COMME LES AUTRES ConfĂ©rence - DĂ©bat, Lecture - Conte - PoĂ©sie, Festival gĂ©nĂ©ralistePĂ©zenas 34120Le 26/09/2022InspirĂ© du livre du comĂ©dien Francis Perrin et de sa femme Gersende, Louis, pas Ă  pas , dans lequel ils racontent leur expĂ©rience, cette Ɠuvre bouleversante Ă©claire sur l'autisme et donne de l'espoir. SĂ©verine et Christophe, comĂ©diens, sont de jeunes parents amoureux. Ils ont un fils, Tom. À 3 ans, le petit garçon ne parle pas, crie souvent, dort difficilement, a des comportements Ă©tranges. Aucune baby-sitter ne consent Ă  le garder, la crĂšche le renvoie, les grands-parents sont dĂ©passĂ©s. SĂ©verine, extĂ©nuĂ©e par les nuits sans sommeil, met sa carriĂšre en sourdine, Christophe se rĂ©fugie dans le travail, l’alcool et les Ă©glises. Quand le diagnostic d'autisme tombe enfin, la famille peut commencer Ă  avancer. Avec Julie-Marie Parmentier, Marie-Anne Chazel, Bernard Campan, Michael Bier DurĂ©e 1h30 + dĂ©bat Tarif unique 5 € Un tĂ©lĂ©film de Renaud Bertrand Lundi 26 septembre 2022 - 20H30 DĂ©bat animĂ© par Francis et Louis PerrinLes trĂ©pidantes aventures de l'ami du Roy Science et technique, Patrimoine - Culture, SpectacleCrĂšvecƓur-le-Grand 60360Le 25/09/2022DĂźner spectacle historicomique dans un chĂąteau renaissance plus vrai que nature – Ecrit et mis en scĂšne par Dominique Martens – Offre spĂ©ciale pour les groupes – Tous renseignement et prĂ©-reservation disponibles sur notre site web – RĂ©servation indispensable certaines dates sont dĂ©jĂ  presque complĂštes OrganisĂ© par l'association François 1er Sur rĂ©servation uniquement contact ; 07 81 78 17 53Massages sonores Manifestation culturelleStrasbourg 67100Le 25/09/2022Dans le cadre du festival Musica Comme une caresse pour les oreilles, ĂȘtre effleurĂ© par un son presque inaudible et le ressentir dans tout notre corps sans aucun contact physique
 À partir d’objets inattendus et variĂ©s qui ne sont pas donnĂ©s Ă  voir, le musicien Thierry Madiot prodigue des massages sonores » d’une dizaine de minutes, apprĂ©ciĂ©s des enfants comme des parents. Une expĂ©rience de l’écoute acoustique intime, pour un spectateur Ă  la fois. —tout public Ă  partir de 6 ansde 10h Ă  13h et de 14h Ă  18hOeil-Flamme exposition personnelle de Jonathas de AndradeAltkirch 68130Du 16/06/2022 au 18/09/2022Du 16 juin au 18 septembre 2022, Oeil-Flamme, exposition personnelle de Jonathas Andrade, sur un commissariat de JoĂŁo MourĂŁo et LuĂ­s Silva. La pratique de Jonathas de Andrade explore les possibilitĂ©s visuelles et narratives de mĂ©diums tels que l’installation, la photographie, le film et la sculpture et s’appuie sur des processus de recherche de nature collaborative. Sa rĂ©flexion porte sur les lacunes des utopies, des idĂ©aux et des visions du monde de la modernitĂ© tardive, notamment dans le contexte latino-amĂ©ricain et la rĂ©gion Nord-Est du BrĂ©sil oĂč il vit et travaille. Les Ɠuvres qui en rĂ©sultent tendent Ă  Ă©voquer des sentiments et des idĂ©es qui oscillent entre la nostalgie, l’érotisme et la critique historique et politique afin d’aborder subjectivement des sujets tels que le travail et l’identitĂ©, presque toujours Ă  travers la reprĂ©sentation du corps masculin. MĂȘme si la prĂ©sence du corps masculin a toujours occupĂ© une place centrale dans la pratique de Jonathas de Andrade, elle n’a jamais Ă©tĂ© perçue comme une recherche ou un sujet en soi, mais plutĂŽt comme un outil permettant d’approfondir d’autres questions. Cette exposition tente de remĂ©dier Ă  cela en mettant l’accent[...]Petit matin vers l'Ile aux Oiseaux Nature - Environnement, Animaux, Patrimoine - CultureLanton 33138Du 07/05/2022 au 17/09/2022En bateau presque privatisĂ©, au dĂ©part du port de Cassy, partez avec Vincent, le skipper. Si vous ĂȘtes un "lĂšve tĂŽt", quoi de mieux pour profiter des premiĂšres lueurs de l'aube, sur le Bassin d'Arcachon. Dans la fraicheur du matin, un autre paysage s'offre Ă  vous avec des lumiĂšres Ă©tranges et changeantes, qui peu Ă  peu, se rĂ©vĂšlent plus nuancĂ©es. A partir de 2 ans, sous la responsabilitĂ© des rĂ©servation auprĂšs de l'Office de Tourisme Coeur du WORLD OF HANS ZIMMER Musique classiquePARIS 12 75012Le 28/09/2022 Ă  2000THE WORLD OF HANS ZIMMER–A Symphonic Celebration AprĂšs une tournĂ©e triomphale en 2021 rĂ©unissant plus de 41 000 spectateurs ainsi que deux concerts complets Ă  Paris Ă  La Seine Musicale et Ă  l'Accor Arena en 2019, The World of Hans Zimmer –A Symphonic Celebration » reviendra dans l'hexagone en 2022 !Collectionnant les Oscars, les Grammy et les Golden Globes, Hans Zimmer est sans doute l'un des plus cĂ©lĂšbrescompositeursde bandes originales de notre Ă©poque. Son influence et ses crĂ©ations puissantes ont modelĂ© le cinĂ©ma actuel comme aucun autre. Ses compositions accompagnent une liste presque sans fin de blockbusters. Le Roi Lion,Pirate des CaraĂŻbes, Da Vinci Code, The Dark Knight, Twelve Years A Slave ou encoreMan Of Steelcomptent parmi les films les plus cĂ©lĂšbres sur lesquels il a travaillĂ©. En janvier 2018, Hans Zimmer reçoit sa 11e nomination aux Oscarsavec sa bande originale Ă  couper le souffle pour Dunkerque, de Christopher Zimmer lui-mĂȘme a passĂ© plusieurs mois Ă  transformer ses bandes originales en piĂšces de concert classique. MĂȘme s'il ne se produit pas en personne lors de cette tournĂ©e, il en reste le directeur Gavin Greenawayqui dirige[...]THE WORLD OF HANS ZIMMER Musique classiqueLE GRAND QUEVILLY 76120Le 29/09/2022 Ă  2000700THE WORLD OF HANS ZIMMER – A Symphonic Celebration – AprĂšs une tournĂ©e triomphale en 2021 rĂ©unissant plus de 41 000 spectateurs ainsi que deux concerts complets Ă  Paris Ă  La Seine Musicale et Ă  l'Accor Arena en 2019, The World of Hans Zimmer – A Symphonic Celebration » reviendra dans l'hexagone en 2022 !Collectionnant les Oscars, les Grammy et les Golden Globes, Hans Zimmer est sans doute l'un des plus cĂ©lĂšbres compositeurs de bandes originales de notre Ă©poque. Son influence et ses crĂ©ations puissantes ont modelĂ© le cinĂ©ma actuel comme aucun autre. Ses compositions accompagnent une liste presque sans fin de blockbusters. Le Roi Lion, Pirate des CaraĂŻbes, DaVinci Code, The Dark Knight, Twelve Years A Slave ou encore Man Of Steel comptent parmi les films les plus cĂ©lĂšbres sur lesquels il a travaillĂ©. En janvier 2018, Hans Zimmer reçoit sa 11e nomination aux Oscars avec sa bande originale Ă  couper le souffle pour Dunkerque, de Christopher Nolan. Hans Zimmer lui-mĂȘme a passĂ© plusieurs mois Ă  transformer ses bandes originales en piĂšces de concert classique. MĂȘme s'il ne se produit pas en personne lors de cette tournĂ©e, il en reste le directeur Gavin Greenaway[...]THE WORLD OF HANS ZIMMER Musique classiqueAMNEVILLE 57360Le 30/09/2022 Ă  2000700THE WORLD OF HANS ZIMMER – A Symphonic Celebration – AprĂšs une tournĂ©e triomphale en 2021 rĂ©unissant plus de 41 000 spectateurs ainsi que deux concerts complets Ă  Paris Ă  La Seine Musicale et Ă  l'Accor Arena en 2019, The World of Hans Zimmer – A Symphonic Celebration » reviendra dans l'hexagone en 2022 !Collectionnant les Oscars, les Grammy et les Golden Globes, Hans Zimmer est sans doute l'un des plus cĂ©lĂšbres compositeurs de bandes originales de notre Ă©poque. Son influence et ses crĂ©ations puissantes ont modelĂ© le cinĂ©ma actuel comme aucun autre. Ses compositions accompagnent une liste presque sans fin de blockbusters. Le Roi Lion, Pirate des CaraĂŻbes, DaVinci Code, The Dark Knight, Twelve Years A Slave ou encore Man Of Steel comptent parmi les films les plus cĂ©lĂšbres sur lesquels il a travaillĂ©. En janvier 2018, Hans Zimmer reçoit sa 11e nomination aux Oscars avec sa bande originale Ă  couper le souffle pour Dunkerque, de Christopher Nolan. Hans Zimmer lui-mĂȘme a passĂ© plusieurs mois Ă  transformer ses bandes originales en piĂšces de concert classique. MĂȘme s'il ne se produit pas en personne lors de cette tournĂ©e, il en reste le directeur Gavin Greenaway[...]THE WORLD OF HANS ZIMMER Musique classiqueGRENOBLE 38000Le 01/10/2022 Ă  2000700THE WORLD OF HANS ZIMMER – A Symphonic Celebration – AprĂšs une tournĂ©e triomphale en 2021 rĂ©unissant plus de 41 000 spectateurs ainsi que deux concerts complets Ă  Paris Ă  La Seine Musicale et Ă  l'Accor Arena en 2019, The World of Hans Zimmer – A Symphonic Celebration » reviendra dans l'hexagone en 2022 !Collectionnant les Oscars, les Grammy et les Golden Globes, Hans Zimmer est sans doute l'un des plus cĂ©lĂšbres compositeurs de bandes originales de notre Ă©poque. Son influence et ses crĂ©ations puissantes ont modelĂ© le cinĂ©ma actuel comme aucun autre. Ses compositions accompagnent une liste presque sans fin de blockbusters. Le Roi Lion, Pirate des CaraĂŻbes, DaVinci Code, The Dark Knight, Twelve Years A Slave ou encore Man Of Steel comptent parmi les films les plus cĂ©lĂšbres sur lesquels il a travaillĂ©. En janvier 2018, Hans Zimmer reçoit sa 11e nomination aux Oscars avec sa bande originale Ă  couper le souffle pour Dunkerque, de Christopher Nolan. Hans Zimmer lui-mĂȘme a passĂ© plusieurs mois Ă  transformer ses bandes originales en piĂšces de concert classique. MĂȘme s'il ne se produit pas en personne lors de cette tournĂ©e, il en reste le directeur Gavin Greenaway[...]THE WORLD OF HANS ZIMMER Musique classiqueAIX EN PROVENCE 13290Le 02/10/2022 Ă  1830Ce spectacle prĂ©sente une sĂ©lection des plus grandes œuvres du compositeur adaptĂ©e pour un orchestre symphonique. Hans Zimmer lui-mĂȘme a passĂ© plusieurs mois Ă  transformer ses bandes originales en piĂšces de concert classique. MĂȘme s'il ne se produit pas en personne lors de cette tournĂ©e, il en reste le directeur musical. Collectionnant les Oscars, les Grammy et les Golden Globes, Hans Zimmer est sans doute l'un des plus cĂ©lĂšbres compositeurs de bandes originales de notre Ă©poque. Son influence et ses crĂ©ations puissantes ont modelĂ© le cinĂ©ma actuel comme aucun autre. Ses compositions accompagnent une liste presque sans fin de blockbusters. Le Roi Lion, Pirate des CaraĂŻbes, Da Vinci Code, The Dark Knight, Twelve Years A Slave ou encore Man Of Steel comptent parmi les films les plus cĂ©lĂšbres sur lesquels il a travaillĂ©. En janvier 2018, Hans Zimmer reçoit sa 11e nomination aux Oscars avec sa bande originale Ă  couper le souffle pour Dunkerque, de Christopher Nolan. C'est d'ailleurs Gavin Greenaway qui dirige l'orchestre. FidĂšle collaborateur du compositeur depuis plus de 25 ans, il a dirigĂ© de nombreuses bandes originales créés par Hans Zimmer comme Le Prince d'Egypte, Gladiator,[...]Visite thĂ©matique "Traces" Visites et circuitsBruĂšre-Allichamps 18200Le 02/10/2022De 1136 Ă  2022, presque 900 ans d’histoire
 et autant de traces inscrites dans les murs de l’abbaye au fil des siĂšcles – Lors de la construction Ă©chafaudages et signes lapidaires, architecture romane et gothique, traces du 1er cloitre
 – Souvenirs des changements architecturaux des XVĂšme, XVIĂšme ou XVIIIĂšme siĂšcle – FantĂŽmes de l’usine de porcelaine au XIXĂšme siĂšcle Autant de petits cailloux laissĂ© par le temps pour dĂ©couvrir l’histoire de Noirlac autrement."Les GĂ©ants et les autres" - Pepito sculpture - Un Ă©tĂ© ornais contemporain Exposition, SculptureSAP-EN-AUGE 61470Du 07/06/2022 au 18/09/2022Les gĂ©ants du sculpteur Pepito s’imposent de loin, immenses silhouettes mĂ©talliques, toutes en visages expressifs, grandes mains et cheveux ou coiffes, livrĂ©s au vent. Elles semblent ĂȘtre des crĂ©atures venues d’une autre dimension, allantes, immenses mais lĂ©gĂšres, presque riantes, comme amusĂ©es de ces changements d’échelles. Rient-elles de nous rencontrer si petits ? Pour cette exposition, Pepito travaille avec les changements d’échelles. AprĂšs les gĂ©antes Ă  l’extĂ©rieur, vous dĂ©couvrirez Ă  l’intĂ©rieur, des processions de petits personnages, mĂ©talliques eux aussi, avançant sur la brique rouge. Pepito s’inspire du village, de ses colombages en briques rouge et son historique avec la mĂ©tallurgie. Visite libre de l'exposition en extĂ©rieur du 7 juin au 18 septembre Exposition salle de la mairie du 13 juillet au 4 septembre Visite libre les lundis, mardis, jeudis et vendredis de 9h Ă  12h et de 13h30 Ă  17h -"Les GĂ©ants et les autres" - Pepito sculpture - Un Ă©tĂ© ornais contemporain Exposition, Visites et circuits, SculptureSap-en-Auge 61470Du 07/06/2022 au 18/09/2022Les gĂ©ants du sculpteur Pepito s’imposent de loin, immenses silhouettes mĂ©talliques, toutes en visages expressifs, grandes mains et cheveux ou coiffes, livrĂ©s au vent. Elles semblent ĂȘtre des crĂ©atures venues d’une autre dimension, allantes, immenses mais lĂ©gĂšres, presque riantes, comme amusĂ©es de ces changements d’échelles. Rient-elles de nous rencontrer si petits ? Pour cette exposition, Pepito travaille avec les changements d’échelles. AprĂšs les gĂ©antes Ă  l’extĂ©rieur, vous dĂ©couvrirez Ă  l’intĂ©rieur, des processions de petits personnages, mĂ©talliques eux aussi, avançant sur la brique rouge. Pepito s’inspire du village, de ses colombages en briques rouge et son historique avec la mĂ©tallurgie. Visite libre de l'exposition en extĂ©rieur du 7 juin au 18 septembre Exposition salle de la mairie du 13 juillet au 4 septembre Visite libre les lundis, mardis, jeudis et vendredis de 9h Ă  12h et de 13h30 Ă  17h -Exposition "Origines", Matthieu Dorval – BĂ©nĂ©dicte Vallet Peinture, SculptureLa Richardais 35780Du 15/06/2022 au 19/09/2022Les recherches plastiques et philosophiques du sculpteur l’amĂšnent Ă  s’interroger sur les rĂ©cits originels. Pour la premiĂšre fois prĂ©sentĂ©e, la sĂ©rie de grands formats du peintre breton Matthieu DORVAL "Le gĂ©nie du lieu", nous donne Ă  voir un monde chaotique de lumiĂšre et de matiĂšre en gestation. Elle s’inscrit ici en Ă©cho de l’ancien atelier du sculpteur, lieu d’inspiration et de crĂ©ation par excellence. Les peintures nous semblent ĂȘtre animĂ©es d’une dimension sculpturale, tant les formes noires flottantes semblent des objets presque palpables dans la peinture. Dans un monde Ă  son dĂ©but, un halo tĂątonnant de lumiĂšre et de matiĂšre cherchant ses accords, les dĂ©licates sculptures de BĂ©nĂ©dicte VALLET apparaissent comme les premiĂšres structures vivantes organisĂ©es et conscientes de l'ĂȘtre. ComposĂ©es d'assemblages complexes d'Ă©lĂ©ments de porcelaine, cousus de fibres de chanvre et de lin, elles sont Ă  la lisiĂšre des rĂšgnes vĂ©gĂ©tal, minĂ©ral et animal. “Elles sollicitent une mĂ©moire archaĂŻque du monde en Ă©voquant ce passage du minĂ©ral Ă  l'organique efflorescences coralliennes, colonies de coquillages, invertĂ©brĂ©s pĂ©lagiques aux formes extraordinaires mais viables, phĂ©nomĂšnes[...]EXPOSITION - OBJECTIF BASSIN MINIER UN PATRIMOINE MONDIAL ! Exposition, Photographie - VidĂ©o, Photographie - VidĂ©o, Manifestation culturelleOIGNIES, 62590Du 04/06/2022 au 18/09/202210 ans se sont Ă©coulĂ©s depuis cette inscription ; l’occasion de revenir sur cet Ă©vĂ©nement du 30 juin 2012 grĂące Ă  une exposition participative. Construite Ă  partir des clichĂ©s d’habitants de la rĂ©gion ayant participĂ©, au printemps, Ă  un concours photo organisĂ© par le 9-9bis, mais Ă©galement sur des archives, l’exposition met en lumiĂšre le Bassin minier Patrimoine mondial de l’UNESCO. De son inscription, jusqu’à la dĂ©couverte des Ă©lĂ©ments patrimoniaux qui composent ce paysage culturel, dans les environs du 9-9bis, vous saurez tout ou presque sur ce trĂ©sor de l’ - OBJECTIF BASSIN MINIER UN PATRIMOINE MONDIAL ! Patrimoine - Culture, Exposition, Photographie - VidĂ©oOignies 62590Du 04/06/2022 au 18/09/202210 ans se sont Ă©coulĂ©s depuis cette inscription ; l’occasion de revenir sur cet Ă©vĂ©nement du 30 juin 2012 grĂące Ă  une exposition participative. Construite Ă  partir des clichĂ©s d’habitants de la rĂ©gion ayant participĂ©, au printemps, Ă  un concours photo organisĂ© par le 9-9bis, mais Ă©galement sur des archives, l’exposition met en lumiĂšre le Bassin minier Patrimoine mondial de l’UNESCO. De son inscription, jusqu’à la dĂ©couverte des Ă©lĂ©ments patrimoniaux qui composent ce paysage culturel, dans les environs du 9-9bis, vous saurez tout ou presque sur ce trĂ©sor de l’ CHAPO Exposition, Spectacle, MusiqueAniane 34150Du 29/07/2022 au 18/09/2022En octobre 1974, le premier Ă©pisode de Chapi Chapo, créé par Italo Bettiol et Stefano Lonati, Ă©tait diffusĂ© sur la 1Ăšre chaine de l’ORTF. La sĂ©rie pionniĂšre a marquĂ© plusieurs gĂ©nĂ©rations, spectateurs et crĂ©ateurs, grĂące Ă  son univers ludique et fĂ©erique portĂ© par la musique avant-gardiste de François de Roubaix. L’exposition Chapi Chapo Ă  Aniane » est une invitation Ă  une immersion dans un monde enchantĂ© et toutes les expressions artistiques qu’il suscite presqu’un demi-siĂšcle aprĂšs sa diffusion. Loin d’un simple hommage, un dialogue s’installe, en confrontant les piĂšces originales archives, marionnettes, documents inĂ©dits Ă  des artistes contemporains qui dĂ©veloppent un imaginaire poĂ©tique au travers d’expressions diverses dans une mise en scĂšne contemporaine. Françoise monteuse de la sĂ©rie et Italo Bettiol vivent Ă  Aniane depuis plus de 20 ans, Ă  quelques dizaines de mĂštres de la Chapelle des PĂ©nitents, lieu magique qui accueille cette exposition exclusive du 29 juillet au 18 septembre. Vernissage samedi 30 juillet Ă  18 h 30 concert surprise.CinĂ© confĂ©rence La Nouvelle-ZĂ©lande Nature - EnvironnementAudierne 29770Le 02/10/2022On en connaĂźt le rugby, les moutons et les incroyables paysages du seigneur des anneaux... » mais la terre au long nuage blanc » des maoris, est une nature presque intacte qui dĂ©tonne avec ses manchots aux yeux jaunes, ses albatros royaux ou ses oiseaux sans ailes, comme le kiwi. Cette faune unique Ă©volue dans des forĂȘts dignes de l’ùre primaire, des volcans Ă  l’activitĂ© incessante, ou des montagnes couvertes de glaciers s’approchant des flots rugissants de la mer de Tasmanie. Partons Ă  la dĂ©couverte de ces deux Ăźles des antipodes oĂč cohabitent descendants d’immigrants europĂ©ens et maoris, colosses du Pacifique dĂ©barquĂ©s les premiers sur des Ăźles sĂ©parĂ©es de l’Australie voilĂ  100 millions d’ trĂ©pidantes aventures de l'ami du Roy Science et technique, Patrimoine - Culture, SpectacleCrĂšvecƓur-le-Grand 60360Le 01/10/2022DĂźner spectacle historicomique dans un chĂąteau renaissance plus vrai que nature – Ecrit et mis en scĂšne par Dominique Martens – Offre spĂ©ciale pour les groupes – Tous renseignement et prĂ©-reservation disponibles sur notre site web – RĂ©servation indispensable certaines dates sont dĂ©jĂ  presque complĂštes OrganisĂ© par l'association François 1er Sur rĂ©servation uniquement contact ; 07 81 78 17 53Les trĂ©pidantes aventures de l'ami du Roy Science et technique, Patrimoine - Culture, SpectacleCrĂšvecƓur-le-Grand 60360Le 02/10/2022DĂźner spectacle historicomique dans un chĂąteau renaissance plus vrai que nature – Ecrit et mis en scĂšne par Dominique Martens – Offre spĂ©ciale pour les groupes – Tous renseignement et prĂ©-reservation disponibles sur notre site web – RĂ©servation indispensable certaines dates sont dĂ©jĂ  presque complĂštes OrganisĂ© par l'association François 1er Sur rĂ©servation uniquement contact ; 07 81 78 17 53CinĂ©ma Les Cinq Diables CinĂ©maCapvern 65130Le 30/09/2022Synopsis Vicky, petite fille Ă©trange et solitaire, a un don elle peut sentir et reproduire toutes les odeurs de son choix qu’elle collectionne dans des bocaux Ă©tiquetĂ©s avec soin. Elle a extrait en secret l’odeur de sa mĂšre, Joanne, Ă  qui elle voue un amour fou et exclusif, presque maladif. Un jour Julia, la sƓur de son pĂšre, fait irruption dans leur vie. Vicky se lance dans l’élaboration de son odeur. Elle est alors transportĂ©e dans des souvenirs obscurs et magiques oĂč elle dĂ©couvrira les secrets de son village, de sa famille et de sa propre limier ThéùtreLa Chapelle-Achard - 85 Du 30/09/2022 Ă  2030 au 01/10/2022Un huis-clos "Hitchockien" d'Anthony Shaffer Ă  vous glacer le sang, deux personnages haletants dans un bras de fer psychologique... Le Limier va vous plonger dans la fin des annĂ©es 50, dans un inquiĂ©tant manoir anglais. Il est presque huit heures, Andrew, maĂźtre des lieux, a donnĂ© rendez-vous[...]LES FOURBERIES DE SCAPIN ThéùtreTassin-la-Demi-Lune - 69 Du 30/09/2022 Ă  2030 au 30/09/2022 Ă  2145Pour fĂȘter le 400Ăšme anniversaire de la naissance de MoliĂšre en 2022, L’Atrium est heureux de vous proposer un des plus grands textes du Théùtre français, pour l’ouverture de sa saison ! Vous avez Ă©tĂ© presque 500 Ă  apprĂ©cier la mise en scĂšne de la compagnie Art’Scenic Les PrĂ©cieuses Ridicules [...]Théùtre Burlingue Spectacle, Spectacle comiqueMasevaux-Niederbruck 68290Du 30/09/2022 au 15/10/2022Que la semaine de travail pu commencer un mardi Ă©tait un dĂ©tail aussi nĂ©gligeable que le battement d’ailes d’un papillon. Pourtant il n’en faudra pas plus Ă  Jeannine et Simone, pour que tout se dĂ©traque dans leur existence d’employĂ©es modĂšles. Elles sont collĂšgues depuis bien longtemps
 et occupent le mĂȘme bureau. Elle s’astreignent chaque jour Ă  des tĂąches rĂ©pĂ©titives et bien plus gratifiantes, avec une application presque suspecte. Elles nourrissent l’une pour l’autre une tendre haine, Ă©maillĂ©e de pitiĂ© rĂ©ciproque. Mais ce matin lĂ , la tension entre les deux collĂšgues touche Ă  son paroxysme. Elles entrent en conflit pour une gomme qui devient aussitĂŽt le criant symbole d’une lutte de pouvoir, aussi absurde que Bonheur en camping carLamballe 22400Le 09/10/2022Tout roule pour Jean-Pierre et VĂ©ro
 Ou presque ! VĂ©ro et Jean-Pierre ont enfin rĂ©alisĂ© leur rĂȘve acheter un camping-car ! Symbole Ă  leurs yeux de libertĂ© et de tranquillitĂ©, ils partent retrouver leur jeunesse. Mais le temps a passĂ© et il a bien changĂ©, comme eux. Vero est devenue trĂšs sereine et Jean-Pierre stressĂ© Ă  l’extrĂȘme. Les aventures de cet harmonieux » couple vont ĂȘtre encore plus perturbĂ©es par les contraintes de la route, par la rencontre des gens du voyage, par des belles mĂšres envahissantes, par les petits soucis de l’ñge, les problĂšmes techniques. En tout cas, l’aventure ne va pas ĂȘtre de tout repos ! Sur rĂ©servation uniquementThéùtre le bonheur en camping-car ThéùtreLamballe 22400Du 07/10/2022 au 08/10/2022Tout roule pour Jean-Pierre et VĂ©ro
 Ou presque ! VĂ©ro et Jean-Pierre ont enfin rĂ©alisĂ© leur rĂȘve acheter un camping-car ! Symbole Ă  leurs yeux de libertĂ© et de tranquillitĂ©, ils partent retrouver leur jeunesse. Mais le temps a passĂ© et il a bien changĂ©, comme eux. Vero est devenue trĂšs sereine et Jean-Pierre stressĂ© Ă  l’extrĂȘme. Les aventures de cet harmonieux » couple vont ĂȘtre encore plus perturbĂ©es par les contraintes de la route, par la rencontre des gens du voyage, par des belles mĂšres envahissantes, par les petits soucis de l’ñge, les problĂšmes techniques. En tout cas, l’aventure ne va pas ĂȘtre de tout repos ! Sur rĂ©servationTRAIL DU SALAGOU 2022 RandonnĂ©e et balade, Courses Ă  pied, Nature - Environnement, Pour enfantsClermont-l'HĂ©rault 34800Le 08/10/2022900 participants sont attendus sur les diffĂ©rents circuits proposĂ©s par le Clermont Endurance, avec le concours de la Ville de Clermont-l’HĂ©rault, du DĂ©partement de l’HĂ©rault et le soutien logistique d’HĂ©rault Sport au dĂ©part de la plage du lac du Salagou. Des trails de 42 km, 25 km, 13 km et 5 km, des courses enfants sur 500m, 1000 m, 2500 m, ainsi qu’une marche nordique sont au programme de cette journĂ©e sportive sur un site remarquable. Horaires 8h00 – DĂ©part du Marathon du Salagou 42 km 9h00 – DĂ©part du Tour du Lac – 25 km 9h20 – DĂ©part Marche nordique – 12 km 13h30 – DĂ©part La Presqu’üle – 13 km 14h00 – DĂ©part Mini Trail – 5 kmBalade en bateau de port en port Sports et loisirs, Sports nautiques, Visites et circuitsLanton 33138Le 09/10/2022En bateau presque privatisĂ©, au dĂ©part du port de Cassy, naviguez vers le delta de la Leyre, pour une balade mĂ©morable sous la houlette de Vincent, skipper passage devant le domaine de Certes et Graveyron et sa pointe de Branne, puis le port d'Audenge. On pĂ©nĂštre dans le delta de la Leyre, entre les Ăźlots de l'Ăźle de Malprat, le port des Tuiles et le port de Biganos - Retour au port de Cassy, avec petite dĂ©gustation Ă  bord - A partir de 2 ans, sous la responsabilitĂ© des rĂ©servation auprĂšs de l'Office de Tourisme Coeur du BING Spectacle comiqueAURAY 56400Le 09/12/2022 Ă  2030Es-tu prĂȘt Ă  entendre toute la vĂ©ritĂ©, rien que la vĂ©ritĂ©, ou presque ? Cette vĂ©ritĂ© qui change aussi vite que la sociĂ©tĂ© Ă©volue. D'ailleurs, notre vĂ©ritĂ© d'hier est-elle la mĂȘme que celle d'aujourd'hui ? Du stand-up aux personnages, Bing s'interroge avec tendresse, ou presque, sur des vĂ©ritĂ©s qui dĂ©rangent Les enfants dansent-il vraiment bien Ă  la fĂȘte de l'Ă©cole ? Peut-on sauver son couple aprĂšs une sixiĂšme rupture ? Le fĂ©minisme est-il perçu comme un coup d'Etat pour certains hommes ? Sommes nous ... non je ne peux pas tout dire ... gardons un peu de suspense ! Avec un humour intelligemment maladroit, Julien Bing a un objectif rire avec tout le monde ! Dans un monde oĂč la nuance n'existe plus et oĂč tout porte Ă  polĂ©mique, conscient du danger, il s'amuse de l'image instagram- mable » dans laquelle nous sommes tous piĂ©gĂ©s...ou presque ! Attention, il prĂ©vient son public s'il va trop loin avec lui-mĂȘme, il s'insultera sur les rĂ©seaux sociaux, mettra fin Ă  sa carriĂšre, et s'il va vraiment trop trop loin, il s'attaquera en justice. Alors, si toi aussi, tu n'es pas parfait aux yeux de cette Ă©poque qui voudrait que tu le sois, viens le voir, je suis certain que tu lui[...]L'AMOUR EST DANS LE PRESQUE Spectacle comiqueMETZ 57000Du 03/11/2022 Ă  2000 au 06/11/2022 Ă  1730L'amour s'est donnĂ© rendez-vous dans le prĂ©... Enfin presque. Ondine Marvecholles, agricultrice cĂ©libataire, reçoit chez elle deux prĂ©tendants KĂ©vin, jeune sĂ©ducteur aux dents longues, plus intĂ©ressĂ© par les terres d'Ondine que par son sourire et Patrick, poĂšte rural illuminĂ©, Ă  la fois troublant de sincĂ©ritĂ© et dĂ©sarmant de naĂŻvetĂ©. Entre les alĂ©as de la vie Ă  la ferme et les rĂ©vĂ©lations brutales des diffĂ©rentes personnalitĂ©s, la rencontre va vite tourner au chaos total ! Amour, trahisons et bouses de vaches sont au programme de cette comĂ©die dĂ©jantĂ©e oĂč le rire tutoie le fromage de chĂšvre. DĂ©jĂ  plus de 500 reprĂ©sentations dans toute la Insolite Ă  la table d'un Prix Nobel de la Paix Repas - DĂ©gustation, Patrimoine - CultureGunsbach 68140Le 07/10/2022Au cƓur du petit village alsacien de Gunsbach, entrez dans l’intimitĂ© d’un des plus cĂ©lĂšbres Prix Nobel de la Paix Albert Schweitzer 1875-1965, musicien, philosophe, thĂ©ologien et pionnier de la mĂ©decine humanitaire. Dans sa maison, demeurĂ©e telle qu’il l’a quittĂ©e en 1959 lors de son dernier sĂ©jour en Europe, on s'attend presque Ă  le voir apparaitre au dĂ©tour d’un couloir... Le temps d’une visite privĂ©e, anecdotes et objets vous plongeront au cƓur de son impressionnant parcours et vous ferons dĂ©couvrir les femmes qui ont marquĂ©es sa vie. AprĂšs l’apĂ©ritif, votre hĂŽte vous invitera exceptionnellement Ă  pousser les portes de la salle Ă  manger du Grand Docteur » et Ă  vous installer dans ce lieu habituellement inaccessible au public. Vous prendrez place parmi une dizaine de privilĂ©giĂ©s pour une expĂ©rience intime et gourmande. Pour vous rĂ©galez, Thony Billon, Chef du restaurant les Grands Arbres de la Verte VallĂ©e, s’est inspirĂ© de menus conservĂ©s dans les collections du musĂ©e, pour prĂ©parer un menu en hommage Ă  Albert Schweitzer
 mais chuuuuut, le menu est secret et vous sera dĂ©voilĂ© au dernier moment
 Ce moment unique sera ponctuĂ© d’anecdotes racontĂ©es par Jenny[...]Théùtre VĂȘpres de la Vierge bienheureuse Théùtre, SpectacleLe Havre 76600Le 07/10/2022Chat Borgne Théùtre Monologue en tĂȘte Ă  tĂȘte Un homme assis sur un banc soliloque. ScĂšne on ne peut plus banale, sauf que, Ă  ses cĂŽtĂ©s, est posĂ©e l’urne funĂ©raire de son fils dĂ©funt. L’homme parle Ă  son enfant, parti Ă  Milan se travestir et se prostituer. Dans ce tĂȘte-Ă -tĂȘte qui pourrait presque ĂȘtre cocasse, il peut dire ce qu’il a toujours tu et donner libre cours Ă  un monologue intĂ©rieur chamarrĂ©, oĂč l’on entend les paroles de la mĂšre, du fils, des voisins
 C’est une Ă©tonnante fresque qui se dĂ©ploie devant nous, souvent drĂŽle, touchante, et qui dĂ©noue les fils de la culpabilitĂ©, de la peur et d’une tendresse enfin Ă©panouie. Les mots du pĂšre prennent toutes les formes de l’émotion, jusqu’à ses conseils pour traverser le Styx sans encombre garder ses talons aiguilles et sa robe rouge pour amadouer la commission des Grecs, qui fixe le destin des morts. En collaboration avec Paul Minthe, Jean-Yves Ruf se frotte pour la seconde fois Ă  l’écriture farouche de l’auteur italien Antonio Tarantino. Il propose une mise en scĂšne sobre et Ă©purĂ©e de ce texte limpide, qui s’amuse avec un plaisir baroque des changements de tons, emmĂȘle les sentiments entre justifications, rĂ©cits[...]Rabah Asma MusiqueMarseille 13000Le 09/10/2022Rabah Asma est un auteur compositeur interprĂšte de musique Kabyle, nĂ© le 26 juillet 1962 Ă  Redjaouna dans la commune de Tizi Ouzou en Kabylie AlgĂ©rie. Artiste Ă  la voix pure, compositeur et soliste d'une grande souplesse, Rabah Asma confirme son talent Ă  travers son style jovial et son rĂ©pertoire harmonieux. Vedette en son style, ses compositions et surtout ses "airs" sympathiques assurent son Ă©clat de grand artiste. Tout en restant fidĂšle Ă  ses idĂ©aux artistiques, il enfile un Ă©lan vif et actuel Ă  sa carriĂšre de presque 40 ans et plus de 200 titres auprĂšs de son public transgĂ©nĂ©rationnel. TrĂšs jeune il a su se faire une place parmi les grands artistes tels que AĂŻt Menguelette, Matoub, Idir... Ses oeuvres sont ancrĂ©es dans la culture PASCOT EN SPECTACLE - PARC EXPOSITIONS SEGRÉ Spectacle, ExpositionSegrĂ©-en-Anjou Bleu 49500Le 01/12/2022C’est avec un immense plaisir que le parc des expositions de SegrĂ© accueille Panayotis Pascot le jeudi 1er dĂ©cembre Ă  20h30. DĂ©couvert dans Le Petit Journal » puis Quotidien » il prĂ©sentera son spectacle Presque ». Avec le dĂ©bit ultra rapide de ceux qui ont des choses Ă  dire, et la tchatche de ceux qui savent faire des blagues, son spectacle c’est presque » une thĂ©rapie de groupe, presque » du stand supplĂ©mentairesConstruction - BTP - TPBas-RhinBouches-du-RhĂŽneCherCĂŽte-dÂŽOrCĂŽtes dÂŽarmorFinistĂšreGirondeHaut-RhinHautes-PyrĂ©nĂ©esHĂ©raultIlle-et-VilaineIndre-et-LoireIsĂšreLandesLoire-AtlantiqueMaine-et-LoireMarneMorbihanMoselleNordOiseOrneParisPas-de-CalaisRhĂŽneSeine-MaritimeVendĂ©eAnimauxAtelierCinĂ©maConcertConfĂ©rence - DĂ©batCourses Ă  piedExpositionFestival gĂ©nĂ©ralisteLecture - Conte - PoĂ©sieManifestation culturelleMusiqueMusique classiqueNature - EnvironnementPatrimoine - CulturePeinturePhotographie - VidĂ©oPour enfantsRandonnĂ©e et baladeRepas - DĂ©gustationScience et techniqueSculptureSpectacleSpectacle comiqueSports et loisirsSports nautiquesThéùtreVie localeVisite guidĂ©eVisites et circuits

RT@LysLady1: Israel c'est comme une vigne: FoulĂ©e aux pieds, son vin finit sur la table d'un roi. Shalom de ce beau pays! ï»żAvec Sans Accords Au dessus des puissances, au dessus des rois,Au dessus de la nature et de la crĂ©ation,Au dessus de tous les plans des hommes sages,Bien avant le monde, tu existais. Au dessus des royaumes, au dessus des trĂŽnes,Au dessus des merveilles que ce monde a connues,Par dessus tous les trĂ©sors de la terre,Rien ne peut mesurer ta valeur. CrucifiĂ©, seul, abandonnĂ©,Tu as souffert, mĂ©prisĂ©, rejetĂ©,Telle une rose foulĂ©e sous nos m’as sauvĂ©, tu m’as aimĂ©, par dessus tout. E/D D Esus E A A/C Au dessus des puis sances, au dessus d es rois, E/D D Esus E A A/G Au dessus de la na ture et de la crĂ©a tion, Fm AM7/E D A/C Au dessus de tous les plans des hommes s a ges, Bm7 D/A E/G A Bien avant le m onde, tu exist ais. A/C E/D D Esus E A A/C Au des sus des ro yaumes, au dessus d es trĂŽnes, E/D D Esus E A A/G Au dessus des mer veilles que ce monde a con nues, Fm AM7/E D A/C Par dessus tous les trĂ©sors de la t er re, Bm7 D/A Csus C Rien ne peut mes urer ta val eur. A Bm7 E/G A Crucif iĂ©, seul, abandonn Ă©, A Bm7 E/G A Tu as souff ert, mĂ© prisĂ©, rejet Ă©, A/G Fm AM7/E D A/C Telle une rose foulĂ©e sous nos pieds. Bm7 A/C D2 D Esus E A Tu m’as sauv Ă©, tu m’as aim Ă©, par dessus tout. Lenny Leblanc – Paul Baloche - Above All © 1999 Integrity’s Hosanna! Music / LTC Note importante Ces fichiers sont Ă  utiliser uniquement dans le cadre privĂ©. Pour tout usage public Ă©glise / organisation / Ă©vĂ©nement / groupe, merci de bien vouloir vous rapprocher de la LTC pour le paiement des droits des chants gĂ©rĂ©s par la LTC inclut l’ensemble des Ɠuvres des recueils connus et bien d’autres, et vous rapprocher des auteurs directement pour les autres. Souscrire Ă  une licence LTC Contacter la LTC sur contact Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous ! Lasolution : opter pour une paire ultralĂ©gĂšre mais plus absorbante et surĂ©levĂ©e au niveau du talon que les minimalistes. Merci Ă  nos experts Martin Lussier, diplĂŽmĂ© en kinĂ©siologie et physiologie de l'exercice, coauteur avec Pierre-Mary Toussaint de "Mythes et rĂ©alitĂ©s sur la course Ă  pied", Ă©d. de L'Homme, 17 €. Lire aussi

... sorciers. Non. Luc est spĂ©cial, parce qu'il est le plus grand trouillard que la Terre ait jamais portĂ©, au moins depuis 50 ans !Luc a peur de sortir, il a peur des inconnus, de l'Ă©cole et des professeurs ; il a peur de se retrouver au milieu de la foule, mais aussi de se retrouver seul. Il a peur des voitures, des animaux, tant grands que petits, des insectes et des microbes. Mais par-dessus tout, il a peur du noir, et plus particuliĂšrement de l'Homme Noir qui se cache dans les coins de la prĂ©cision - car le petit cerveau de Luc travaille sans relĂąche Ă  gĂ©nĂ©rer de nouveaux cauchemars - sa plus grande terreur serait de se faire enlever par l'Homme Noir et de se faire entraĂźner dans le noir le plus noir. Et c'est vraiment dommage, car c'est exactement ce qui vient de lui cet endroit, les habitants sont tous des Babaus, bien que, parfois, ils changent de nom ou d'aspect. Cela dit, ils ne sont pas si mĂ©chants, parfois ils semblent mĂȘme franchement marrants, surtout quand ils s'immobilisent tous pour penser, tel un seul Babaus sont en fait les ombres des personnes mortes de mort violente, et ils ne dĂ©testent rien tant que la violence. Ils aiment se cacher dans le noir, lĂ  oĂč les ombres des vivants ne peuvent pas les atteindre et ils ont mis sur pied un systĂšme, relayĂ© par les humains eux-mĂȘmes, qui fait que les vivants craignent leur environnement, le noir justement.

DĂ©marrerle diaporama (1/9) Du bleu, du blanc et du rouge ! Les couleurs du drapeau français sont Ă  l’honneur pour cĂ©lĂ©brer la fĂȘte nationale. Vaisselle, linge de maison, accessoires, on vous donne quelques idĂ©es pour que votre table fĂȘte le 14 juillet comme il se doit. Ma table fĂȘte le 14 juillet. Fantastique ! Grandiose ! Etonnant ! Autant de qualificatifs qui collent bien au LaSemo. DĂ©jĂ  11 annĂ©es que le superbe parc du chĂąteau d’Enghien accueille cet Ă©vĂ©nement devenu incontournable. Ici, mal venu celui ou celle qui vient uniquement se rincer les portugaises. Ce serait mĂȘme rĂ©ducteur et faire affront au gĂ©nie des concepteurs de ce grand spectacle. Le prisme est beaucoup plus Ă©tendu, mĂȘlant diffĂ©rents genres, arts et cultures
 L’écologie n’est pas en reste puisque tout est basĂ© sur le dĂ©veloppement durable. Pas de gaspi ! On rĂ©cupĂšre tous les brols qui traĂźnent chez mamy, on les customise et hop, ils retrouvent ici une seconde vie. Auriez-vous imaginĂ© un jour crĂ©er un dĂ©cor Ă  l’aide de parapluies ? Eriger une clĂŽture avec des raquettes de tennis ? Constituer un podium complet en se servant de vieilles caisses Ă  vin ? Eux, oui. Ils ont fait d’un rĂȘve, une rĂ©alitĂ©. Admirablement et subtilement en y ajoutant une bonne dose d’humour voire de dĂ©rision
 Attention, le tri des dĂ©chets s’inscrit Ă©galement dans l’esprit du festival. On rĂ©cupĂšre le fruit des entrailles dĂ©posĂ© dĂ©licatement dans les toilettes sĂšches NDR pas besoin de faire un dessin pour nourrir les lĂ©gumes du jardin de bobonne et on rĂ©colte les mĂ©gots de cigarettes pour leur rĂ©server une seconde vie NDR que l’on espĂšre moins nocive ! 
 En outre, tout est pensĂ© pour la famille. De trop nombreuses activitĂ©s sont programmĂ©es aux quatre coins du site
 On y croise ci et lĂ  des tĂȘtes blondes, accompagnant leurs parents attablĂ©s Ă  un touret, jouant au monopoly au sein de l’espace dĂ©diĂ© Amusoir’. Ou encore de jeunes couples amoureux s’entrelaçant tendrement et mĂȘme des grabataires qui dĂ©ambulent dans l’enceinte du parc, canne Ă  la main
 Les PMR ne sont pas en reste parce que lĂ  aussi les organisateurs ont bien ƓuvrĂ© afin qu’ils puissent en toute quiĂ©tude profiter des bienfaits de cette belle manifestation. Sans oublier les stands de grimage, des funambules, des clowns, des spectacles ouverts, des cabarets coquins NDR oui, oui, vous avez bien lu !, et cerise sur le gĂąteau une garderie pour celles et ceux qui veulent profiter sereinement du festival, sans avoir la marmaille dans les guiboles
 Tout comme l’an dernier, une puce Ă©lectronique est intĂ©grĂ©e au bracelet ; elle permet de se remplir la bedaine ou de charger son sang de malt sans plus devoir sortir la menue monnaie
 Et pour les fauchĂ©s, l’eau gratuite est disponible dans les diffĂ©rents bars. La seule condition accorder un large sourire aux serveurs qui mĂ©ritent bien ce petit clin d’Ɠil. Le LaSemo quitte doucement l’enfance pour entrer dans sa phase de consolidation. Il a fait ses gourmes ! Et les couacs qui ont fait craindre le pire, lors des Ă©ditions prĂ©cĂ©dentes, ne sont plus que de l’histoire ancienne. On regrettera toutefois amĂšrement l’absence de Jean-Jean, l’habituel gĂ©ant givrĂ© de service chargĂ© d’introduire avec humour et lĂ©gĂšretĂ© les artistes. Rose, son antithĂšse, lui emboĂźte le pas. On espĂšre pour une courte durĂ©e. Parce que Rose, on l’aime bien, mais faut pas exagĂ©rer quand mĂȘme
 Ni son sac Ă  main achetĂ© aux fripes, ni son accent de buksel’, ni sa taille NDR un mĂštre vingt, malgrĂ© les bras levĂ©s et les talons aiguilles ne parviendront Ă  concurrencer le charisme de son prĂ©dĂ©cesseur. Enfin, soit ! Dame nature est gĂ©nĂ©reuse depuis le dĂ©but de l’étĂ© et le soleil frappe trĂšs fort. Pas de temps Ă  perdre ! On entend au loin une voix qui semble familiĂšre. Celle de CĂ©dric Gervy. Un habituĂ© des lieux. Une mascotte mĂȘme. C’est sa dixiĂšme fois en onze Ă©ditions ! Il a quittĂ© sa casquette de prof de nĂ©erlandais pour revĂȘtir celui de troubadour/chansonnier
 Un LaSemo sans Gervy, c’est comme si vous mangiez des frites sans sel. Impensable ! Durant quelques annĂ©es, il a militĂ© au sein d’un projet collectif Cedric et les Gervy, impliquant Mr Chapeau, le gratteur RenRadio et le drummer Tyler Von Durden. Courant 2009, ce dernier a Ă©tĂ© remplacĂ© par The Robot. Balayant d’un revers de la main cette quasi-Ă©tape obligĂ©e de starification, il a prĂ©fĂ©rĂ© mettre un terme Ă  cette collaboration afin de poursuivre en solitaire la propagation de sa bonne humeur. Le titre Putain, j’ai failli ĂȘtre connu » est Ă©loquent Ă  ce sujet. Son fil conducteur, c’est le calembour. Mais pas que ! Parce que sa ligne de conduite va bien au-delĂ . Chacune de ses chansons vĂ©hicule des messages forts et pertinents. Les thĂ©matiques sont souvent dĂ©nuĂ©es de tout stĂ©rĂ©otype et bien Ă©loignĂ©es de ce fameux compromis Ă  la Belge’. Gervy, chanteur sĂ©rieux, mais sans prise de tĂȘte
 Il dĂ©peint les problĂšmes sociĂ©taux Ă  travaux des thĂ©matiques choisies en fonction du moment la crise, l’addiction aux jeux, 
 Mais, ne dites surtout pas que c’est un chanteur engagĂ©. DĂ©tail intĂ©ressant, l’auditoire est composĂ© d’une pyramide des Ăąges trĂšs large. Des parents ont amenĂ© leur progĂ©niture pour assister Ă  ce show. C’est dire la popularitĂ© de ce mec. Tout a fait justifiĂ©e d’ailleurs
 Lui, ce n’est pas du sang qui coule dans ses veines, mais un savant mĂ©lange de bonne humeur et de joie de vivre. Autant dire que ses concerts sont synonymes de franche rigolade. C’est une thĂ©rapie contre la morositĂ© ambiante Ă  lui tout seul. Faudrait mĂȘme que la sĂ©curitĂ© sociale rembourse chacune de ses prestations tant il fait du bien Ă  l’ñme. On en ressort complĂštement soulagĂ©. La larme Ă  l’Ɠil mĂȘme
 mais pas de tristesse, car les fous rires sont lĂ©gion
 Bon allez CĂ©dric, Bonne annĂ©e quand mĂȘme et Ă  l’annĂ©e prochaine !’ Direction le ChĂąteau pour un showcase destinĂ© Ă  une poignĂ©e de privilĂ©giĂ©s. La fraĂźcheur des locaux contraste avec la moiteur suffocante extĂ©rieure. L’accueil est impeccable. Le mousseux coule Ă  flots et des lĂ©gumes coupĂ©s finement sont proposĂ©s aux quidams histoire de les faire patienter. Et de la patience, il en faudra puisque le rĂ©gional de l’étape, Antoine Armedam, accuse une heure de retard ! Faut dire qu’il vient de terminer une prestation riche sur la Guinguette, lĂ  mĂȘme oĂč votre serviteur l’avait dĂ©couvert en 2014. De lĂ  Ă  lui pardonner, il n’y a qu’un pas
 FlanquĂ© de deux autres musiciens, l’un Ă  la basse et l’autre Ă  la batterie minimaliste snare, grosse caisse, charley et une ride, il entame un tour de chant dans une acoustique bruitiste. Un spectateur vient mĂȘme lui susurrer dans l’oreille d’articuler un peu mieux pour percevoir toute la subtilitĂ© de la prose. Tout Ă  tour mĂ©lancolique, jouissive ou ensoleillĂ©e, son pop/folk se pose dĂ©licatement au creux de nos conduits auditifs, et on aimerait qu’il coule Ă  l’infini, Ă  l’instar de la ballade douce-amĂšre, La fille qui dort lĂ -haut »  Mais il peut adopter d’autres styles, comme lorsqu’il se rĂ©fĂšre Ă  Paris sur fond de reggae, tout au long de A la sauvette », un morceau au cours duquel le people’ est pris Ă  parti, quand il clame le refrain
 Le public y est sensible et participe Ă  l’essor de la rĂ©ussite du set en accompagnant les balais du drummer par un claquement des mains. Parfois Ă  contretemps, mais nul n’est parfait
 Il est temps maintenant de filer tout droit voir Charlotte, fruit de l’union consommĂ©e entre Alec Mansion alias LĂ©opold Nord notamment et Muriel Dacq, dont le tube Tropique » a fait trĂ©mousser le popotin chez la plupart des quadras. La belle jeune femme de 26 ans arbore pour l’occasion une longue robe laissant entrevoir une cuissarde pour le moins appĂ©tissante. Le rouge pĂ©tant du tissu contraste avec le bleu azur perçant de ses yeux. EpaulĂ©e par Louis au pad Ă©lectronique et Loan Ă  la guitare, elle entame son tour de chant par le devenu trĂšs populaire Pars », dont Pure FM a fait son coup de cƓur le programmant six fois par jour. La caisse de rĂ©sonance a bien fonctionnĂ© puisque plus de 80 000 Ă©coutes sur Spotify ont Ă©tĂ© comptabilisĂ©es. Elle dĂ©couvre un endroit empreint de magie et de fĂ©erie et semble ravie de se fondre dans cet environnement de verdure... Proche de Lana Del Rey, tant dans l'esthĂ©tique, les vidĂ©os, ainsi que dans les styles vestimentaires et musicaux, on la sent trĂšs perfectionniste dans l’ñme alors que dans ce mĂ©tier, certains artistes abordent leur rĂŽle bien plus futilement, sans que cette perspective ne pose problĂšme. Gageons pour elle qu’elle ne s’emprisonne pas dans cette théùtralisation Ă  outrance en s’autorisant un peu plus de latitude. BĂ©nĂ©ficiant du concours d’Alex Germys Ă  la compo, dont le talent indĂ©niable, ses chansons sont attachantes, sensibles, presque enivrantes par moment. En y ajoutant un physique attrayant et un cerveau bien rempli, elle a finalement tout pour plaire. La fougue de ses dĂ©buts opĂ©rĂ©s, il y a deux ans, dans sa chambre de post-adolescente, et concrĂ©tisĂ©s par Nous sommes », avait rĂ©vĂ©lĂ© un organe vocal Ă  mi-chemin entre Dolores O’Riordan et MylĂšne Farmer. Elle propose, pour la premiĂšre fois, un nouveau titre, La loi du feu ». Test rĂ©ussi au vu de la rĂ©action des aficionados. Charlotte aime rappeler que lorsqu’elle exerçait encore le mĂ©tier de croupiĂšre dans une vie pas si lointaine au sein d’un casino cossu, elle avait imaginĂ© Ame solitaire », pour celles et ceux qui sombrent dans l’addiction ! Point d’orgue d’une prestation qui restera dans les annales Ta peau », vrai/faux rappel sera Ă  nouveau jetĂ© en pĂąture puisque nous n’avons pas d’autres morceaux’. Et de renchĂ©rir mais Ă  la condition que le public danse’. La messe est dite ! Enfin, derniĂšre artiste Ă  se produire aujourd’hui, BĂ©atrice Martin, alias CƓur de Pirate. Tiens, Ă©trangement pour une pirate, elle ne porte ni barbe rousse, cache Ɠil et jambe de bois. En espĂ©rant qu’elle ait du cƓur
 Vu le matraquage opĂ©rĂ© sur les ondes radiophoniques gĂ©nĂ©ralistes, difficile d'ignorer la jeune femme originaire de la partie Est du Canada. Sa voix de chanteuse singuliĂšre et ses multiples tatouages sont quelques-uns de ses traits caractĂ©ristiques qui sont les plus associĂ©s Ă  sa personnalitĂ© artistique. De petite taille et toute menue, la Canadienne s’avance affranchie d’une longue carriĂšre derriĂšre elle. Sans dire mot, elle contemple d’un air que l’on devine dĂ©sabusĂ© le parterre venu l’entendre. Gageons que cette attitude soit davantage un manque de maturitĂ© que de mĂ©pris ! Sur la droite, un chronomĂštre digital gĂ©ant symbolise la fugacitĂ© du temps qui passe. Il indique 60 minutes. C’est peu ! La frustration est grande pour une dĂ©couverte de cette trempe
 Votre serviteur s’étonne de ce conservatisme absolu et refuse ardemment d'envisager qu'un mĂ©canisme puisse le surpasser dans la mesure temporelle. Il paraĂźt que l’équipe doit reprendre un avion le lendemain Ă  6h du mat’. Ceci explique peut-ĂȘtre cela
 Dans un style qui met principalement en valeur des textes dĂ©crivant les relations charnelles et ses dĂ©rives sous toute ses formes, Ă  l’instar de PrĂ©monition », elle alterne tour Ă  tour des titres issus de son nouvel opus et d’autres bien ancrĂ©s dans l’esprit collectif, dont Tu m’aimes encore » ou Oublie-moi »  Malheureusement, ses compositions un peu rĂ©pĂ©titives reflĂštent trop souvent le stĂ©rĂ©otype de l'adolescente en mal d’amour
 C’est surtout derriĂšre son piano que BĂ©a –comme l’appellent ses admiratrices d’un soir– excelle vĂ©ritablement. Elle y Ă©tale tout son talent et son raffinement. Difficile de rĂ©sister au charme qui opĂšre. En un battement de cil, la transformation de la rebelle vers la belle se rĂ©alise et relĂšgue aux oubliettes la dualitĂ© qui existe entre le bien et le mal chez ce bout de femme et son dĂ©sir manifeste de dissocier ces tendances. Dommage que l’instrument Ă  cordes dressĂ© au milieu de l’espace scĂ©nique oblige toute une franche du public Ă  mater le dos de la donzelle. C’est sympa, mais quand mĂȘme ! Le festivalier juvĂ©nile et familial aura apprĂ©ciĂ©. Elle a effectivement assurĂ© le show. Quant aux exigeants, ils estimeront sans doute que la prestation Ă©tait bien trop millimĂ©trĂ©e, conventionnelle voire sans Ăąme
 Que les surprises Ă©taient trop rares. Qu’elle s’est contentĂ©e du minimum syndical. Elle vide les lieux deux minutes avant la fin du dĂ©compte. Sans remercier ni ses musiciens, ni la foule. Et sans accorder le moindre rappel
 Au cours de ce concert, elle a rĂ©guliĂšrement rappelĂ© qu’elle se produira prochainement dans le cadre des Francofolies et Ă  l’Ancienne Belgique. Ce sera sans nous
 Triste BĂ©atrice que tu es ! Organisation LaSemo Voir aussi notre section photos ici
Certainsse souviennent du premier geste public du pape François au lendemain de son Ă©lection. Comme il l’avait promis Ă  la foule le soir de son Ă©lection, il est allĂ© offrir un bouquet de fleurs Ă  la Vierge Marie « Salus Populi Romani », en lui confiant son pontificat et en lui demandant de protĂ©ger la ville de Rome.. Lors de sa visite aux Etats-Unis en septembre 2015,
DEVENIR BÉNÉVOLESORGANISATEURSBIEN SE PRÉPARERREGLEMENTRECUPERER SON DOSSARDVous souhaitez devenir bĂ©nĂ©vole ? Comme chaque annĂ©e nous sommes Ă  la recherche de bĂ©nĂ©voles pour le weekend du 8 au 9 octobre 2022 afin d'assurer le bon fonctionnement des FoulĂ©es Roses de l'Yonne. Si vous souhaitez rejoindre notre Ă©quipe, remplissez le formulaire ci-dessous. Pour toutes questions relatives au bĂ©nĂ©volat pour les FoulĂ©es Roses de l'Yonne, n'hĂ©sitez pas Ă  nous Ă©crire par mail fouleesrosesdelyonne ATTENTION 1 rĂ©ponse au questionnaire vaut pour 1 inscription, merci de ne pas indiquez un deuxiĂšme bĂ©nĂ©vole dans "MESSAGE" via votre inscription. Renseignez les champs suivants L'Yonne RĂ©publicaine A l'initiative de la crĂ©ation des FoulĂ©es Roses» sur les villes de diffusion du groupe, le groupe Centre France Ă  travers le quotidien rĂ©gional L'Yonne RĂ©publicaine souhaitait s'associer avec les organisateurs de la course rose dans l'Yonne. Le but sensibiliser le public Ă  un problĂšme de sociĂ©tĂ© Ă  savoir le cancer du sein. Cette annĂ©e, votre quotidien s'est engagĂ© Ă  coorganiser la manifestation aux cĂŽtĂ©s de l'Yonne en Rose et de la ville d'Auxerre. L'Yonne RĂ©publicaine publiera dĂšs le lendemain un supplĂ©ment photos avec les plus belles captures d'image du week-end. Il est essentiel pour l'Yonne RĂ©publicaine en tant qu’organisateur et mĂ©dia d’ĂȘtre au plus proche de ceux qui font la course. GrĂące Ă  ses nombreux participantes, Les FoulĂ©es Roses de l'Yonne » vont devenir une manifestation majeure dans l' Marketing EvĂ©nementiel 45, rue du Clos Four 63056 Clermont-Ferrand Cedex 2 cfrunningtour L'Yonne RĂ©publicaine Service TĂ©l 03 86 49 52 60Fax 03 86 46 99 90 L'Yonne en rose Nos motivations principales reposent sur la participation Ă  l'organisation d'Ă©vĂ©nements liĂ©s Ă  la lutte contre le cancer du sein afin de rassembler des dons,l'utilisation des dons pour informer, accompagner, soutenir la recherche, les malades du cancer du sein et leurs accompagnants dans l'YonneContactFrĂ©dĂ©ric Iturralde PrĂ©sident de l'association La ville d'Auxerre Contact Mairie14 place de l'HĂŽtel de ville89000 Auxerre xxxxxTĂ©l. xxxxx SMS89 Contact Vincent Von-Pine SiĂšge social 1 place de la mairie 89240 Venoy Adresse postale Villetard Laurence34 rue des prĂšs coulons 89000 Auxerre sportmotosecurite89 Participer aux FoulĂ©es roses de l'Yonne nĂ©cessite une bonne prĂ©paration physique et alimentaire. Une bonne santĂ©, c’est en effet la pratique d’une activitĂ© physique ainsi qu’une alimentation diversifiĂ©e, Ă©quilibrĂ©e, sans excĂšs. Bien se prĂ©parer, s’équiper, se nourrir, s’hydrater et rĂ©cupĂ©rerPratiquer une activitĂ© sportive ne s’improvise pas quelques jours avant l’épreuve. L’idĂ©al serait de s’entraĂźner avant. Le corps tout entier repose sur les pieds et, Ă  chaque pas, une onde de choc se propage de la plante des pieds Ă  la colonne vertĂ©brale. Aussi faut-il d’emblĂ©e adopter la bonne posture et la bonne foulĂ©e, et avoir l’équipement optimal. Pour prĂ©parer une course Ă  pied, adoptez une hygiĂšne de vie Ă©quilibrĂ©e en limitant alcool, matiĂšres grasses et tabac. Une course ne s’arrĂȘte pas Ă  la ligne d’arrivĂ©e, l’organisme fortement sollicitĂ© par la course doit rĂ©cupĂ©rer avant une reprise tout en douceur. Cette phase de rĂ©cupĂ©ration ne doit pas ĂȘtre nĂ©gligĂ©e, elle fait partie de l’entraĂźnement du coureur et doit ĂȘtre planifiĂ©e. La remise de votre dossard et de votre tee-shirt FoulĂ©es Roses de l'Yonne est soumise Ă  la validation de votre inscription. Votre paiement a du ĂȘtre pris en compte via Internet. Aucun certificat mĂ©dical n'est demandĂ©. Pensez Ă  vous munir de votre confirmation d'inscription reçu par mail avec votre bon de retrait et QR code POUR LES INSCRIPTIONS INDIVIDUELLES AUX FOULÉES ROSES - Internet Jusqu’à 30 minutes avant de dĂ©part de la marche RECUPERATION DES DOSSARDS - Stand FoulĂ©es Roses de l'Yonne Ă  la Galerie Fontaines des Clairions Ă  AuxerreDu mardi 4 au vendredi 7 octobre de 14H Ă  19H - Village des FoulĂ©es Roses Parking de la Noue Ă  AuxerreLe samedi 8 octobre de 10h Ă  18hLe dimanche 9 octobre de 8h Ă  10h POUR LES INSCRIPTIONS AUX CHALLENGES ENTREPRISES Applicable au Challenge Entreprises - Internet Jusqu’au 29 septembre Ă  00h REMISE DES DOSSARDS et T-SHIRTS CHALLENGES - au stand dĂ©diĂ© Ă  la Galerie Fontaines des Clairions Ă  AuxerreDu mardi 4 octobre au vendredi 7 octobre de 14H Ă  19H - Village des FoulĂ©es Roses parking de la Noue Ă  AuxerreLe samedi 8 octobre de 10h Ă  18h Ensemblede 2 12,00 $ 8,99 $ CAN. Simons. Les protĂšge-pieds mailles et minifleurs. Ensemble de 2 12,00 $ 8,99 $ CAN. Simons. Les protĂšge-pieds motifs classiques. Ensemble de 3 10,00 $ CAN. Simons. Le protĂšge-pied invisible 8,00 $ CAN. Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon Japon le display PokĂ©mon Go de retour en stock sur ... Voir le deal NEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclagePartagez AuteurMessageInvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Today, i've got nothing to lose. Elliott Mer 27 Oct - 1311 ArrĂȘter les pendules, couper le tĂ©lĂ©phone,EmpĂȘcher le chien d’aboyer pour l’os que je lui taire les pianos, et sans roulements de tambours,Sortir le cercueil avant la fin du les avions qui hurlent au dehors,Dessinent dans le ciel ces trois mots, Il Est des voiles noires aux colonnes des Ă©difices,Ganter de noir les mains des agents de Ă©tait mon Nord, mon Sud, mon Est et mon Ouest,Ma semaine de travail, mon dimanche de sieste,Mon midi, mon minuit, ma parole, ma croyais que l’amour jamais ne finirait, j’avais les Ă©toiles se retirent, qu’on les balaye,DĂ©monter la lune et le soleil,Vider l’ocĂ©an, arracher la forĂȘt,Car rien de bon ne peut advenir Hugh Auden cLibertines&BulletProof Today, I’ve got nothing to lose
Quentin &&& Elliott Ça avait pourtant bien commencĂ©. Un samedi, rĂ©veil Ă  11h, mĂȘme pas de gueule de bois, aucune inconnue dans le lit, nickel. Il allait pouvoir se siroter un cafĂ© tranquillos et peut-ĂȘtre aller au cinĂ©, qui sait ? Y’avait pas mal de nouveau film sortis rĂ©cemment qui avaient reçu de bonnes critiques. Il inviterait qui ? Personne bien sur, ahaha la bonne blague. Un cinĂ© accompagnĂ© ? Pis quoi encore ? Bref. Bizarre comme on acquiert des tics au fil du temps, comme celui de regarder le calendrier en comptant les jours. 1 an et trois mois et 6 jours. Merde. Bien sur que oui qu’il allait inviter quelqu’un. Aujourd’hui il allait emmener au ciné  L’autre brune de l’autre soir. Il ne se rappelait plus son prĂ©nom. Sabrina ? ça finissait en A. Soraya ? Non, ça sonnait trop pute. Mais elle Ă©tait vietnamienne. Et alors, qui dit vietnamienne dit pas forcĂ©ment pute, abruti. Alexia ? Nan
 nan nan nan. Nan, Andrea pauvre nul ! Andy mais oui bien suuur, le prĂ©nom hyper vietnamien. Hm, donc il n’irait pas au cinĂ© seul, pour changer. Et mĂȘme peut-ĂȘtre qu’ils se feraient un resto le midi, un resto vietnamien puisqu’elle Ă©tait asiatique, et qu’ils iraient Ă  la fĂȘte foraine l’aprem. Et au lit le soir, aprĂšs ĂȘtre passĂ©s par la case boĂźte de nuit. Super, gĂ©nial, il kiffait trop le programme, ça allait dĂ©chirer. C’était bien d’avoir une petite vie comme ça, un rythme normal, des trucs de prĂ©vu. Ça changeait. Aller wake uuup !Quentin bailla, termina son nescafĂ© noir serrĂ© et s’habilla d’une jolie chemise noire et d’un jeans avant d’envoyer un sms Ă  Andrea. Tu te rappelles le cinĂ© ? Rdv Ă  11h30 devant je t’invites. Ça, c’était fait. Il ne s’inquiĂ©tait pas de savoir si la demoiselle recevrait son sms ou pas, et si elle se rendrait au lieu du rendez vous, c’était dĂ©jĂ  sur et certain. Depuis le temps qu’elle attendait qu’il l’invite. Ben voilĂ , c’était fait. On tourne la page, on s’engage avec quelqu’un d’autre. M’enfin ça faisait un bout de temps dĂ©jĂ  qu’ils s’engageaient ces deux lĂ , ils s’étaient tournĂ©s autour un bon bout de temps. Surtout elle, mais Quentin devait bien avouer qu’elle ne le laissait pas indiffĂ©rent. Peut-ĂȘtre Ă  cause de la couleur de ses yeux. Il Ă©tait grand temps de passer aux choses sĂ©rieuses. Peut-ĂȘtre qu’ils allaient prendre un appart ensemble. Peut-ĂȘtre pas. On s’en foutait au fond, tout ce qui comptait, c’était d’ĂȘtre fixĂ© », de pouvoir se dire voilĂ  alors je vais passer ma vie avec cette fille et je lui ferai 4 gosses, et on aura une grande maison avec un chien, un labrador qui s’appellera Bob et j’aurai un job pourrav qui me donnera l’impression d’ĂȘtre important, avec un peu de chance j’arriverai Ă  arrĂȘter la coke et la clope, l’alcool et la baise, mais j’y crois pas trop. C’est pas grave, elle sera lĂ  pour y croire Ă  ma reçut l’accusĂ© de rĂ©ception en sortant de son immeuble et traversa la rue pour ne pas avoir Ă  croiser le groupe de mendiants. En 1 an, 3 mois et 6 jours, il avait eut le temps de fumer 11376 clopes, de s’enfiler 5632 rails de coke, de perdre ainsi 15% d’espĂ©rance de vie, de voir passer 2 mecs et 3 filles dans sa vie de couple, la durĂ©e de vie moyenne du dit couple Ă©tant de 2 semaines. 45864021 battements de cƓur, 13542 bouteilles de champagnes, 17899 biĂšres, 1 milliards d’insultes Ă  l’encontre d’une certaine personne dont le prĂ©nom commençait par mĂȘme avec tout ça
Une demie heure plus tard il retrouvait la jolie asiatique devant les portes du cinĂ©. Ils s’étaient rencontrĂ©s Ă  l’unif, elle Ă©tait en mĂ©decine. Elle avait un joli visage ovale et des yeux bleus en amandes, des cheveux lisses et sombres et qu’elle attachait souvent en queue de cheval. Pas de seins, des hanches Ă  peine marquĂ©es et un caractĂšre de garçon manquĂ©. Il l’aimait bien parce qu’il trouvait qu’elle rendait bien accrochĂ©e Ă  son la laissa choisir le film et se retrouva 1h30 coincĂ© devant un navet. Ensuite comme prĂ©vu ils se retrouvĂšrent dans un resto jap Ă  bouffer des sushis. Quentin n’avait rien contre les sushis, mais depuis qu’il connaissait Andrea il ne bouffait jamais rien d’autre et se demandait s’il ne se condamnait pas Ă  manger asiat’ toute sa vie durant en acceptant de s’engager avec elle. Zut alors, il allait devoir renoncer au steak ? Et aux frites ? Et aux pates ? Rien que pour ça il aurait Ă©tĂ© cap de faire marche arriĂšre. Non pas qu’il aimait tellement les steak frites, personnellement il avait jamais Ă©tĂ© fan mais bon, fallait bien trouver des excuses pour faire tout stopper parfois nan ? Oui alors, Andrea je t’aime beaucoup hin, mais la perspective de me gaver de riz et de nems toute ma vie me refroidit un peu, je suis dĂ©solĂ© mon amour, je croyais qu’entre toi et moi c’était possible, ça me brise vraiment le cƓur, d’ailleurs je
 Oh putain un fantĂŽme !Ils Ă©taient sortis du resto et Quentin resta un moment statique sur les marches, ne comprenant pas vraiment ce que ses yeux lui montraient. Andrea, qui lui tenait la main s’arrĂȘta net en voyant qu’il ne la suivait pas. Ça faisait un peu film de gangster du genre continus devant je te rejoins, le temps de zigouiller les mĂ©chants et de me faire dĂ©foncer la tronche. En l’occurrence ici c’était plutĂŽt le cƓur. Etait-il donc encore tellement malade de Lui au point de L’imaginer au coin de la rue ? ça faisait 1 an, 3 mois et 6 jours. Il avait largement eut le temps de s’en remettre, alors pourquoi donc fallait-il qu’il se mette Ă  halluciner maintenant ? Un frisson de fiĂšvre le parcourut alors qu’il faisait enfin un pas en avant. Allons, on se calme. C’était juste un dos. Ce n’était pas lui, ça ne pouvait pas ĂȘtre lui. Aha, relax, c’était Ă©vident que ce n’était pas lui. Pas aprĂšs tout ce temps, y’avait zĂ©ro chance pour ce soit lui. C’était juste quelqu’un qui lui ressemblait, Ă  prĂȘt tout y’avait pas qu’un seul intello au monde avec des cheveux noirs et un dos comme ça. Ce dos qu’il avait connu sur le bout des lĂšvres. Ce n’était pas lui. OĂč alors c’était un cauchemar. -Quentin tu viens ? Tu regardes quoi comme ça ? » Andrea remonta Ă  sa hauteur et l’embrassa avec tendresse, ce qui ne suffit pas Ă  le ramener Ă  la rĂ©alitĂ© alors que la course des battements de son cƓur ne cessait de gagner en ampleur. Toujours plus vite, toujours plus fort. Et si c’était lui ? Alors il ne devait pas rester ici. Il devait s’enfuir trĂšs rapidement, disparaĂźtre. Il ne voulait pas qu’il se retourne. Il Ă©tait persuadĂ© que ce n’était pas lui, mais il n’avait pas envie d’en avoir la preuve concrĂšte en allant regarder de plus prĂȘt. Saluuuut, en fait je te prenais pour quelqu’un d’autre et j’avais besoin de vĂ©rifier ! Bon ben voilĂ , maintenant je sais que tu n’es pas un enculĂ©, merci beaucoup Tout ce que je sais... C’est que des fois, tu me manques tellement que j’ai envie d’en crever tant ça fait mal.... » -Tu dois m’emmener Ă  la fĂȘte foraine. » La jeune femme fit la moue. Bon ok, fallait bouger d’ici. Se mettant enfin en marche, avec difficultĂ© comme si tout son corps Ă©tait rouillĂ©, Quentin suivit Andrea, tournant le dos Ă  cette silhouette qui semblait si familiĂšre. Ce n’était pas n'Ă©tait pas Elliott. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Mer 27 Oct - 1801 Il Ă©tait une fois, un petit garçon tout mignon. Il adorait les Ă©toiles, les livres, les crayons de couleurs, le bruit de la pluie, les adultes, les maths, le piano, les photos de vacances, la musique, le bricolage, les piĂšces de MoliĂšre, la solitude, son frĂšre, le frigos de couleur, les souris blanche, le bruit de la rappe Ă  fromage, l'odeur de l'herbe coupĂ©e et les dessins animĂ©s. Un jour ce petit garçon grandit et le grand garçon qu'il Ă©tait devenu dĂ©passait dĂ©sormais de son lit... A moins d'avoir doublĂ© de taille en l'espace d'une nuit, ce n'Ă©tait pas normal qu'en ce beau matin, Elliott dĂ©passe de son lit et c'Ă©tait prĂ©cisĂ©ment cette anomalie qui le sortit des bras de MorphĂ©e. Peut ĂȘtre Ă©tait-ce aussi les chuchotements dans son dos... on complotait. Il n'Ă©tait pas totalement impossible qu'il soit d'ailleurs en ce moment mĂȘme le sujet du complot et cela devenait dĂ©rangeant. Il n'avait aucune envie de se retrouver avec une moustache dessinĂ©e au marqueur en plein milieu de la gueule et d'un grognement il le fit savoir Ă  ces compatriotes. Le premier qui me touche, je...» et lĂ  c'Ă©tait le bug. Il lui fallait trouver une menace digne de ce nom et prĂ©sentement, alors qu'il ouvrait pĂ©niblement les yeux, rien. Je trouverai bien... ». Grand danger en perspective. Mais vous connaissez les enfants, ils sont insouciants, innocents et inconscient. Tout danger Ă©tait bon Ă  braver et c'est sur cette belle leçon de vie qu'un doigt vint s'enfoncer dans la joue d'Elliott. TouchĂ© !», s'Ă©cria joyeusement le dĂ©sespĂ©rant gamin de vingt deux ans. Que voulez vous faire face Ă  pareil dĂ©bilitĂ© si ce n'est sourciller Ă  la fois apeurĂ© et perplexe ? Donc, Elliott, dĂ©sormais assis en Ă©quilibre sur le bord de son lit, sourcilla Ă  la fois apeurĂ© et perplexe. Il le savait qu'Ă  force il allait tomber sur un type avec un grain, mais Ă  ce point lĂ ... C'Ă©tait impressionnant de stupiditĂ©, merci Caleb. Vas prendre ta douche avant que je dĂ©cide que pour te punir tu n'y aurais pas droit...». Le susnommĂ© ne se fit pas priĂ© et dĂ©serta le lit qui menaçait de craquer sous les poids des jeunes gens. Comment ça "des jeunes gens" vous dites vous. Elliott, participer Ă  une partouze !?! Avec une fille dans la bande en plus !?! Étrange, trĂšs Ă©trange. Il devait y avoir une autre explication. En effet il n'y en a une, mon bon plaisir serait d'ailleurs de ne pas vous la donner. Le jeune comĂ©dien, hier soir, avait Ă©tĂ© prit d'une terrible envie de sortir. Cela lui prenait encore de temps en temps, ses frasques en continents europĂ©en n'ayant pas totalement Ă©tĂ© abolies. Il Ă©tait jeune et Ă  trop vouloir jouer, il avait apprit qu'il fallait se modĂ©rĂ© pour ne pas se faire plumer. On a dit se modĂ©rĂ© par tenter l'ermitage en forĂȘt seul face au monde. Il s'Ă©tait donc laissĂ© avoir pour une soirĂ©e entre bar et boite de nuit. S'Ă©taient joints Ă  lui, trois de ses amis de théùtre. Caleb le dĂ©bile, Justin le marrant et Jessica la... fille. Il s'entendait vraiment bien avec eux, ils faisaient partie des premiĂšres personnes qu'il avait revu Ă  son retour Ă  New-York. Les premiĂšres Ă  lui pardonner son dĂ©part inopinĂ© Ă©galement et la liste Ă©tait encore longue malheureusement. D'un cotĂ© il ne les connaissait pas plus que ça Ă  son dĂ©part, il ne leur avait donc pas trop manquĂ©. La soirĂ©e s'Ă©tait terminĂ©e dans le salon et la vodka. Ils avaient trouvĂ© une position confortable sur le pauvre lit d'Elliott et s'y Ă©taient tous endormis. C'est une des aptitudes du bourrĂ© il s'endort n'importe oĂč, n'importe quand et surtout n'importe comment et le pire c'est qu'il trouve ça cool. Jusqu'au rĂ©veil oĂč, la tĂȘte dans le cul, il devait faire avec une armĂ©e de fourmis dans le bras gauche, un pied droit pas encore rĂ©veillĂ© et un mal de tĂȘte Ă  vous pendre la tĂȘte Ă  l'envers. L'horreur. Elliott !!! Sort nom d'un chien. J'aimerais en avoir fini avec ses tracts avant la retraite et vu le nombre, c'est pas gagnĂ©.» Oh oui, le fait qu'il s'entendait bien avec les trois lurons n'avait pas Ă©tĂ© la seule raison pour laquelle il les avait choisi eux pour l'accompagner. Ils avaient respectivement prĂšs de 250 flyers chacun Ă  distribuer pour la fin de la journĂ©e. Je vous laisse donc calculer le nombre de bouts de papier qui accueillirent Elliott lorsqu'il sortit enfin de la salle de bain. Avez vous la moindre idĂ©e de ce que reprĂ©sentait une pile de 1000 flyers ? Et bien en ce qui concerne Elliott, maintenant oui... Faisons une petite parenthĂšse dans ce passionnant calcul pour nous intĂ©resser un peu Ă  ce qui avait retenu le jeune comĂ©dien aussi longtemps dans la sale de bain. ParenthĂšse tellement adorĂ©e par l'auteur qui aller savoir pourquoi prends un malin plaisir Ă  vous torturer avec les tenues de ses personnages. Car oui Elliott en Ă©tait sorti habillĂ©, prĂȘt Ă  se lancer dans les rues de New-York Ă  la recherche de l'amateur de théùtre. Il avait optĂ© pour une chemise Ă  carreau noire et blanche qui, s'il avait eut un quelconque excĂšs de poids, aurait vite fait de le transformer en sympathique bucheron. Avec cela un tout nouveau pantalon en jeans noir qui, maintenu par un ceinture, lui tombait un peu Ă  mi fesse. Voyez l'utilitĂ© de la ceinture qui en effet n'est lĂ  que pour la dĂ©coration. Des baskets Vans, une veste en cuir et ça y Ă©tait il ressemblait Ă  ces jeune pop-rockeurs dont la carriĂšre ne fait que commencer. La grande classe... Mon Seigneur aura t-il l'obligeance de se bouger un peu maintenant ? ». D'un soupir dĂ©jĂ  dĂ©couragĂ©, Elliott obtempĂ©ra en souriant n'y avait ni besoin d'ĂȘtre un fin stratĂšge ni mĂȘme avoir fait marketing que pour savoir que le meilleur endroit pour ĂȘtre vu est l'endroit oĂč il y a des gens pour vous voir. Pour vendre plus il fallait toucher le plus large public possible et donc pour distribuer plus de flyers il fallait choisir les endroits frĂ©quentĂ©s. Les alentours du cinĂ©ma se sont imposĂ© d'eux mĂȘme dans la tĂȘte de nos acteurs qui s'Ă©taient rapidement sĂ©parĂ©s en deux groupes. Justin et Elliott d'un cotĂ©. Ils arrĂȘtaient les passants, leur faisaient de grands sourires, leur vendant d'un regard mystĂ©rieux quelques heures de rĂȘve au New Amsterdan Theatre. Autant la phase "je fais de la pub parce que nom de dieu faut que ça marche" pouvait s'avĂ©rer barbante Ă  souhait, autant Elliott Ă©tait totalement sur son nuage Ă  la pensĂ©e mĂȘme qu'ils allaient bientĂŽt fouler les planches d'un théùtre de cette importance. Il n'y aurait eut que vingt personnes dans la salle, ça aurait Ă©tĂ© du pareil au mĂȘme pour lui, mais les organisateurs mettaient un poing d'honneur Ă  ce que l'Ă©vĂ©nement soit des plus rĂ©ussit et pour cela il fallait faire salle comble. Et accessoirement envoyer les pauvres comĂ©diens se geler dans la rue pour distribuer de vilains tracts Ă  des gens qui auraient vite fait de les jeter dans la premiĂšre poubelle venue. Quel gĂąchis pour la nature, tant d'arbres coupĂ©s pour rien. De l'autre cotĂ© de la rue, Jessica et Caleb entraient et sortaient des boutiques aprĂšs avoir gentiment demander s'il pouvait laisser un petit tas de flyers prĂšs de la caisse. T'as loupĂ© un client Elliott.» ricana Justin en dĂ©signant d'un signe de tĂȘte un type venant de passĂ© en courant. Elliott lui sourit, amusĂ© et tira un coup sur sa cigarette pour montrer Ă  quel point ça lui Ă©tait Ă©gal, il n'allait pas bouger, oh que non. Il avait trouver un banc et avait dĂ©cidĂ© de faire une petite pause, on allait pas lui en vouloir si ? Il nous en reste combien ? » lui demanda son ami en le rejoignant d'un pas nonchalant. Pas qu'il en avait marre mais c'Ă©tait tout comme... Ne prenant pas la peine de lui rĂ©pondre, Elliott lui mit sous le nez la pile encore consĂ©quente de papier et jeta son mĂ©got. Un soupir accompagna la fumĂ©e Ă  la sortie de sa bouche. La vie est dur mon Calimero ? Tu vas voir elle va rapidement se compliquer un peu plus... Mais ça il n'en savait rien encore. Tout ce qu'il savait prĂ©sentement c'est qu'il avait envie d'une deuxiĂšme clope et qu'il allait s'y remettre avant de se dĂ©courager complĂštement et de finir sa vie ici, sur ce banc. Vise les couples, ils aiment aller au théùtre... gĂ©nĂ©ralement ». SitĂŽt dit, sitĂŽt fait. Elliott fit un tour sur lui mĂȘme et se dirigea machinalement et sans la moindre conviction vers le premier couple qu'il avait vu s'Ă©loigner. Les yeux rivĂ©s sur les longs cheveux de la jeune femme il s'approcha dans le dos de celle-ci et planta devant ses yeux un des magnifiques flyer. La faisant sursautĂ© lĂ©gĂšrement d'une telle intrusion et par la mĂȘme occasion l'obligeant Ă  se stopper. Le couple enfin arrĂȘtĂ© il put faire le tour pour leur face et ainsi leur vendre son produit comme un bon petit homme d'affaire. Pas de bol, ça allait ĂȘtre le n'aurait jamais cru que ça lui ferait un tel effet de le revoir. Bien sur il Ă©tait conscient d'en ĂȘtre toujours Ă©perdument amoureux, ce n'Ă©tait pas difficile Ă  s'en rappeler. Ses sentiments se rappelait Ă  lui tout les matins, lorsque par le biais de la glace il posait ses yeux sur le tatouage sur son aĂźne, plus prĂ©cisĂ©ment sur la mini tour Eiffel reprĂ©sentĂ©e. Ils se rappelait Ă  lui Ă©galement dans ces rĂȘves, mais ça c'est encore une autre histoire et je n'ai aucunement l'envie de partir dans le bouillonnement d'hormones masculines pour le moment. Bien sur il savait qu'il serait certainement amenĂ© un jour oĂč l'autre Ă  le croiser, mais il pensait encore avoir le temps. Apparemment non. Sous le coup de la surprise il Ă©tait restĂ© plantĂ© lĂ , de tout son haut, et dĂ©visageait Quentin comme s'il avait vu la vierge. On pouvait certainement lire toute la surprise et la douleur de ces retrouvailles dans le fond de ses yeux, mais il finit par reprendre contenance. Son air se durci lĂ©gĂšrement et dans un mouvement presque indiffĂ©rent, il se tourna vers la demoiselle qui lui semblait dĂ©sormais ĂȘtre la crĂ©ature lĂ  plus rĂ©pugnante au monde. Cela ne l'empĂȘcha pas de lui adresser un Ă©norme sourire hypocrite pour autant. Une jolie demoiselle comme vous doit certainement aimĂ© le théùtre non ? ». Il allait lui dĂ©baller son discours et au bout du compte elle supplierait Quentin de l'emmener voir la piĂšce. Et lui ? Ben lui s'il ne se prenait pas un poing dans la gueule, il serait juste heureux. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Mer 27 Oct - 2032 I fall asleep by the telephone. It's 2 o'clock and I'm waiting up me, where have you been? your love is just a lie. It's nothing but a lie
 Ses yeux. Ses putains de yeux. C’était pas possible, c’était un cauchemar, une horreur, un bad trip. Ouai, surement. Bordel mais qu’est ce qu’il faisait lĂ  !? Qu’est ce qu’il foutait devant lui, comme ça, sans rien faire, sans rien dire. Elliott Maloy, connard, enfoirĂ©, salaud, j’te dĂ©teste, j’te dĂ©teste, J’TE DETESTE !!! Qu’est ce qu’il faisait lĂ , Ă  NewYork. Il Ă©tait parti sans rien dire, et voilĂ  qu’il se repointait. Ça faisait combien de temps ? Quentin le savait exactement. Au jour prĂȘt. Donc okey. Ce dos, c’était lui. Il distribuait des tracts. Ouf. On respire, c’est pas le moment de mourir d’un arrĂȘt cardiaque en pleine rue. Restes calme, au bout d’un an c’est pas difficile. Fais le souffrir, fais le bien souffrir tant que tu l’as devant Ă©tait-il revenu Ă  NewYork ? Il avait rencontrĂ© quelqu’un ? Il n’avait pas l’air excessivement traumatisĂ©, il avait mĂȘme plutĂŽt bonne mine. Inconsciemment Quentin le dĂ©taillait dĂ©jĂ  des pieds Ă  la tĂȘte. Son cƓur battait si fort qu’il en avait mal, mais il le sentait Ă  peine tant son esprit Ă©tait engourdi par l’instant. Elliott. Le visage totalement impassible, Quentin le dĂ©visagea tandis qu’il restait lĂ , plantĂ© devant lui comme s’il venait de voir Dieu en personne. Tient, ça devait lui faire un choc Ă  lui aussi peut-ĂȘtre de revoir le type qu’il avait lĂąchement abandonnĂ© sans un mot, genre pauvre merde dont on se dĂ©barrasse sans remord. L’incomprĂ©hension totale se lisait dans les prunelles du français, mais rien dans son attitude ne laissant transparaĂźtre le malaise qui l’habitait. Il n’aurait jamais cru le revoir un jour. Surtout pas lĂ , surtout maintenant. Au dĂ©but oui, il l’avait espĂ©rĂ©. Que le belge revienne. Des excuses auraient suffi, Quentin aurait pris ça comme une punition pour la propre faute qu’il avait commise, quelques mois plus tĂŽt. Mais 3 mois, ce n’était rien Ă  cĂŽtĂ© de 15. S’il Ă©tait parti 3 mois, le français n’aurait mĂȘme pas bronchĂ©. Certes, ça faisait un peu mal, mais s’il voulait se venger
 Maintenant non. Ça faisait longtemps qu’il avait oubliĂ© l’idĂ©e d’un quelconque retour. Et ben voilĂ . Elliott Ă©tait revenu. Sans mĂȘme le recontacter. Si ça se trouve il Ă©tait revenu depuis plusieurs mois dĂ©jĂ , et n’avait mĂȘme pas cherchĂ© Ă  le revoir. Ordure. Tu n’es qu’un connard. Comment oses tu seulement me regarder droit dans les yeux aprĂšs c’que tu m’as fais !?!C’était quoi cet air de mĂ©pris ? Il avait grandit. Il avait changĂ© aussi. Il y avait quelque chose de plus, quelque chose de moins. Mais toujours ses yeux, ses grands yeux bleus qui le fixaient. Et lorsque le contact fut rompu, Quentin eut l’impression qu’un grand vide venait de s’ouvrir en lui. Ou bien de se rouvrir. Une plaie bĂ©ante, recousue en un an mais qui venait Ă  nouveau de se dĂ©chirer. La douleur Ă©tait vive et intense, mordante, lancinante. Une jolie demoiselle comme vous doit certainement aimer le théùtre non ? » Il vendait des flyers pour une piĂšce ? Putain. Pourquoi n’arrivait-il pas Ă  calmer les battements de son cƓur ? Ouai, j’y vais de temps en temps. C’est de la pub pour une piĂšce ? » Son regard se tourna vers Andrea, dont le regard s’illuminait. Elle adorait le théùtre, on se demandait bien pourquoi ça plaisait tant au français. Sa gorge s’était serrĂ©e, il n’arrivait mĂȘme plus Ă  penser. Ça faisait 15 mois qu’il n’avait pas vu Elliott, et chacun de ses battements de cils, son sourire hypocrite, son air indiffĂ©rent
 Lui donnait envie de lui foutre son poing dans la gueule. Un bousillage express du dentier, c’est tout ce qu’il mĂ©ritait. Quentin tremblait presque de rage, sentant les larmes lui monter aux yeux, et il n’aurait sut dire si elles Ă©taient dut Ă  la douleur qui lui transperçait le cƓur en cet instant prĂ©cis ou si c’était Ă  cause de la rancƓur qu’il avait accumulĂ© au cours de l’annĂ©e. Rester calme. C’était l’essentiel. Faire comme s’il ne l’avait jamais aimĂ©, comme si sa perte l’avait laissĂ© indiffĂ©rent alors qu’il avait passĂ© la moitiĂ© de l’annĂ©e Ă  dĂ©primer. Faire comme si tout allait bien. Il pouvait y arriver. Ok, il n’avait pas fait de théùtre contrairement Ă  une certaine personne, mais il pouvait le faire. Il suffisait qu’il puise sa force dans la colĂšre et la haine qui l’envahissait, qui pulsait dans ses veines, dans son crĂąne, lui faisant perdre le fil de ses pensĂ©es. LĂąchant la main d’Andrea il se glissa derriĂšre elle et passa ses bras autour de sa taille, posant sa tĂȘte sur son Ă©paule, fixant Elliott droit dans les yeux. LĂ , si tu la regardes, tu me regarderas aussi. Tu vois, je suis passĂ© Ă  autre chose, c’était super simple. Andrea sourit plus largement alors qu’il l’embrassait dans la nuque. Heureusement qu’elle avait relevĂ© ses cheveux, il n’aimait pas les filles pour ce genre de raison. Bouffer du cheveu, c’était juste atroce. Elle sentait bon. Elle s’était parfumĂ©e exprĂšs pour lui. Mais il avait du mal Ă  respirer. Il ne pouvait pas rester lĂ  pendant que le type qu’il haĂŻssait le plus au monde adressait la parole Ă  sa petite amie » Car oui, depuis des mois Elliott avait Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© ennemi public numĂ©ro 1 de la vie de Quentin Denzel Klein, et s’il avait eut un revolver ou pire, une bombe atomique, le pauvre petit brun enfin, plus si petit que ça maintenant aurait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© rayĂ© de la surface de la planĂšte. Pendant que l’intello dĂ©ballait son sketch pourrav Ă  Andrea, Quentin ne cessait de le fixer, une lueur mauvaise dans le regard, l’air de dire tient, salut connard, comment vas-tu aprĂšs 15 mois de disparition ? ». Tout dans sa façon d’ĂȘtre dĂ©goulinait de superficialitĂ©, d’indiffĂ©rence, mĂȘme si la rage transparaissait sans doute dans son regard, brĂ»lant de dĂ©goĂ»t. De toute maniĂšre, il Ă©tait hors de question qu’il aille au théùtre. Il n’y allait plus. Il ne voulait plus y remettre les pieds, et maintenant qu’il Ă©tait sur d’y croiser Elliott, c’était encore plus certain et sa piĂšce, il pouvait se la foutre oĂč j’pense. Bordel, non, c’était trop dur de se concentrer, de se retenir, de rester stoĂŻque. Il fallait qu’il le frappe. -Elliott... »15 mois qu’il ne s’était pas adressĂ© la parole. Le prĂ©nom sonnait bizarre entre ses lĂšvres. Tabou. Quentin se dĂ©gagea d’Andrea, lui faisant signe de patienter un instant alors qu’il attrapait le comĂ©dien par la manche. Il avait fait ça rapidement, en une seule foulĂ©e, fluide, sur de lui. Et le mouvement fut tout aussi rapide lorsque son poing droit percuta le visage du beau brun. HAN ! PUTAIN CE QUE CA FAISAIT DU BIEN ! Aller, un deuxiĂšme pour le plaisir ! Il entendit Andrea dans son dos lĂącher un cri de surprise et d’horreur alors qu’il dĂ©fonçait la lĂšvre d’Elliott d’un second coup de poing. Le choc se rĂ©percuta jusque dans son Ă©paule, mais il s’en foutait. Ces lĂšvres qu’il avait embrassĂ©es, il voulait les rĂ©duire en miette. -DĂ©gages de lĂ  ! » Repoussant le comĂ©dien sur la chaussĂ©e, Quentin lui adressa un regard plein de fureur, se sentant encore bouillonnant d’énergie. Il aurait put le frapper jusqu’à ce que mort s’ensuive. Il le dĂ©testait Ă  un point, lui mĂȘme ne parvenait pas Ă  fixer des limites Ă  la haine impĂ©rieuse qui le rendait fou. Bon sang, putain de merde. Elliott, je t’aime, mais qu’est ce que t’est con ! Andrea s’agrippa Ă  son bras pour le tirer en arriĂšre. Calmes toi ! On va avoir des ennuis ! Bon sang, pourquoi t’as fait ça ?!! tu le connais d’oĂč !? » Sa voix Ă©tait Ă©tranglĂ©e sous la panique, mais Quentin s’en foutait. Tout ce qui comptait, c’était que Elliott Maloy crĂšve en cet instant. EcrasĂ© sous un camion, un taxi, n’importe quoi. Qu’il crĂšve. Qu’il crĂšve. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Mer 27 Oct - 2306 S'il espĂ©rait lui faire mal, sachez qu'il avait rĂ©ussit. AussitĂŽt que le corps de Quentin s'Ă©tait approchĂ© de la jeune femme, Elliott avait blĂȘmit. Il se sentait observĂ©, les yeux rageurs du français lui transperçaient la peau, le brĂ»laient plus vivement que si on avait essayer de le marquer au fer rouge. Ces lĂšvres qui lui avaient appartenu, qui la nuit le hantaient encore, se frottaient Ă  la peau de l'asiatique, lui donnant de sales frissons de dĂ©goĂ»ts. MĂȘme pour tout l'or du monde il n'aurait touchĂ© cette fille. Il se concentra nĂ©anmoins sur la peste comme si sa vie en dĂ©pendait. Ses yeux bleus lui rappelĂšrent les siens, en plus fades. Un sourire mauvais naquit au creux des lĂšvres du comĂ©dien. Des kilomĂštres aurait pu les sĂ©parer qu'Elliott Ă©tait certain qu'il aurait toujours sentit le français bouillonner de rage et ça n'allait pas en s'arrangeant. Le pire, il n'allait pas faire en sorte que ça s'arrange. Il continuait son cirque, dans la plus totale il avait vainement espĂ©rĂ©, en fin de compte il s'Ă©tait prit un poing. Peut ĂȘtre mĂȘme deux, mais le deuxiĂšme il Ă©tait pas sur de l'avoir sentit. En fait mĂȘme le premier il n'aurait su vous dire si ça lui avait fait mal. Le seul endroit qui semblait le faire souffrir Ă©tait son cƓur qui battait Ă  tout rompre comme s'il cherchait Ă  s'Ă©chapper. C'Ă©tait peut ĂȘtre le cas. La prĂ©sence mĂȘme de Quentin le piĂ©tinait. Mais aussi contradictoire que cela puisse paraitre, aprĂšs le cirque de "l'amoureux" que lui avait fait subir Quentin en bisoutant sa pseudo-copine, se recevoir un coup lui avait Ă©galement fait du bien. Anatole France avait un jour dit "J'ai toujours prĂ©fĂ©rĂ© la folie des passions Ă  la sagesse de l'indiffĂ©rence". Aussi douloureux que cela pouvait l'ĂȘtre, Elliott prĂ©fĂ©rait encore se prendre ses coup. SonnĂ©, le jeune comĂ©dien resta un instant la tĂȘte baissĂ©e, Ă  se demander quand le prochain allait partir. Aucun n'Ă©tait arrivĂ©. Il ne bougea pas pour autant, se contentant seulement de s'essuyer la lĂšvre pour faire disparaitre le sang qui avait commencer Ă  couler suite aux coups... Seul un rire se fit entendre. Un rire mauvais. Ça venait de par le cri de l'ignoble chose accompagnant Quentin, les passant s'Ă©taient arrĂȘtĂ©s autours d'eux et ses amis avaient fini par le rejoindre. Elliott, ça va ? ». L'interpellĂ© ne rĂ©pondit rien. Se contentant simplement de relever la tĂȘte pour planter ses deux grandes orbes assassines dans ses jumelles. Ce qu'il y vit lui broya le cƓur une nouvelle fois. Quentin le dĂ©testait, purement et simplement. Ce n'Ă©tait pas une surprise, Elliott imaginait sans trop de peine ce qu'il pouvait ressentir et ne l'en blĂąma pas, il aurait rĂ©agis de la mĂȘme façon. DĂ©gage de lĂ  ! ». Par contre si lĂ  il pensait lui faire peur, c'Ă©tait ratĂ©. Le brun aurait put ĂȘtre armĂ© que rien n'aurait dĂ©cidĂ© Elliott Ă  bouger de lĂ . Au contraire, un sourire mauvais au coin des lĂšvres, Elliott s'approcha. PrĂšs, peut ĂȘtre trop prĂšs. Plus il rĂ©duisait la distance entre eux, plus il lui semblait que le monde lui pesait sur les Ă©paules. Tout ses membres menaçait d'imploser sous le poids de la douleur. Il ne savait mĂȘme pas comment il faisait encore pour avancer. Il avançait tout simplement, happĂ© par ce corps qui lui manquait atrocement. DĂ©truit par l'idĂ©e qu'il ne pourrait plus y toucher. Il dut employer toutes ses forces pour rĂ©ussir Ă  s'arrĂȘter Ă  quelques centimĂštres Ă  peine du visage de Quentin. Il n'avait mĂȘme plus besoin de lever la tĂȘte pour le regarder dans les yeux, aujourd'hui il Ă©tait aussi grand que le français et le dĂ©fiĂ© ainsi du regard n'en Ă©tait que plus jubilatoire. HypnotisĂ© par ses yeux. Il aurait put laisser tomber le masque narquois et sur de lui, peut ĂȘtre aurait-il mĂȘme du. Vous connaissez ces moments dans les films oĂč les deux amoureux se retrouvaient ? Tout semblait s'arrĂȘter autours d'eux, tout semblait aller au ralentit, tout le monde regardait curieux de voir se dĂ©rouler devant leurs yeux Ă©bahis la plus belle histoire d'amour. C'Ă©tait en tout point pareil, mis Ă  part que de l'amour Ă  la haine il n'y a qu'un pas. Elliott l'avait vĂ©cu, mais aujourd'hui ce n'Ă©tait plus lui qui avait la haine et ça faisait mal. Plus que tout, voir Quentin dans un tel Ă©tat lui faisait mal !! Mais c'Ă©tait trop tard, par son coup de poing, le beau brun lui avait rappeler tous ce qu'il avait Ă©tĂ© cette derniĂšre annĂ©e. Lentement mais surement Elliott retrouvait ce dĂ©sir sadique de faire souffrir comme il avait souffert. Moqueur, il prit enfin la parole. C'est une bien pĂąle copie que tu as trouver lĂ  Quentin...» Si personne n'avait compris il Ă©tait certain que le français pigerais rapidement son allusion Ă  son bien affreuse copine. Et bien ravit de la rabaisser, Elliott trouva au fond lui mĂȘme encore un peu de force pour s'approcher de quelques minimĂštres de plus du brun. C'Ă©tait peut ĂȘtre suicidaire, mais il poussa le vice jusqu'Ă  se pencher avec une lenteur extrĂȘme vers l'oreille du français. Ses paroles avait murmurĂ©es, sifflĂ©es au creux de son cou et transpirait de haine. Ça fait mal hein ? Être dĂ©laissĂ© par celui Ă  qui on avait fini par s'abandonner...». Certes, la durĂ©e n'avait pas Ă©tĂ© la mĂȘme et Elliott Ă©tait parfaitement conscient d'avoir bien plus de tords que Quentin dans cette histoire. D'ailleurs il ne serait pas surpris si le beau français venait Ă  lui rappeler que, lui, il avait Ă©tĂ© obligĂ© de partir et qu'en plus ça n'avait durĂ© que trois mois. Mais le procĂ©dĂ© Ă©tait le mĂȘme et la douleur du dĂ©part Ă©tait Ă©gale. Pour ton information, je ne compte pas bouger. Tu comptes faire quoi maintenant ? Me tuer ?». C'Ă©tait cruel, terriblement cruel, mais Elliott ne s'en rendait dĂ©sormais plus compte. Il Ă©tait comme aliĂ©nĂ©. Tout ces sentiments paradoxaux avaient Ă©tĂ© anesthĂ©siĂ©s. Il ne restait plus que le Elliott qu'il avait prit l'habitude d'ĂȘtre durant son sĂ©jour en enfer. Un sale petit con, purulent d'arrogance et transpirant la mĂ©chancetĂ©. Au fond, tout ce qu'il voulait c'Ă©tait que Quentin rĂ©agisse. Que se soit en bien ou en mal, qu'il lui Ă©crase de nouveau son poing sur la figure si ça pouvait lui faire du bien, mais il en avait besoin. Sa rĂ©action lui Ă©tait vitale. Il voulait cette impression de compter encore pour le jeune homme. Il y avait eu un blanc dans ses paroles, nĂ©anmoins il ne s'Ă©tait pas Ă©loignĂ© de cette oreille au creux de laquelle il avait dĂ©jĂ  tant murmurer de mot doux, tant susurrer de paroles aguicheuses. Il avait encore quelque chose Ă  dire et ça relevait de l'importance capitale et interplanĂ©taire. Vas-y, tues moi. Je n'attends que ça. Tout plutĂŽt que de te voir souffrir par ma faute. Rien ne m'est plus insupportable Quentin... » InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Jeu 28 Oct - 1035 We had never planned this disaster
 Open up your kills me inside. GĂ©nial, parce qu’en plus il avait des amis ». Le mieux aurait Ă©tĂ© qu’il crĂšve seul dans un caniveau, ignorĂ© de tous avec une pancarte clouĂ©e sur la poitrine Je suis un salaud de premiĂšre classe, palme d’or toute catĂ©gorie confondue. Il avait quel Ăąge maintenant ? Toujours un an de moins que lui, bien Ă©videmment aha. 20 ans. Bordel, dĂ©jĂ  20 ans. Putain non. T’approches pas. Me touches pas. Ne me regardes pas. J’te dĂ©teste, j’te l’ai dĂ©jĂ  dit non ? Il avait grandit. Ils faisaient la mĂȘme taille Ă  prĂ©sent. Il avait perdu cet air fragile, cette apparence de petite chose qu’il fallait protĂ©ger. Il avait pris en muscle aussi, Quentin l’avait vu dĂšs le premier coup d’Ɠil. Il avait pris des hormones de croissance ou quoi ? Il avait fait un complexe sur sa petite taille ? Face Ă  lui le français ne pouvait que garder le silence. Yeux dans les yeux, une fois de plus. Ce qu’il y lisait lui glaçait les veines. Plus que tout, il aurait aimĂ© le voir disparaĂźtre. Qu’un prĂ©cipice s’ouvre juste sous ses pieds, vite fait bien fait. Ce n’était pas la premiĂšre fois qu’ils se regardaient dans les yeux, mais c’était la premiĂšre fois que Quentin voyait dans ceux d’Elliott tant de choses diffĂ©rentes, auxquelles il n’était nullement habituĂ© de la part du comĂ©dien. Il avait l’impression de dĂ©couvrir une autre personne, un substitut. Il n’était pas certain d’apprĂ©cier le changement. Pourquoi Ă©tait-il partit ? Pourquoi Ă©tait-il revenu ? Pour l’humilier ? C’était ça son trip ? Lui faire du mal ? C’était rĂ©ussi, depuis 15 mois maintenant. Ça ne lui suffisait pas ? En plus de ça, il voulait marcher sur les dĂ©bris ? Essayant de garder un rythme de respiration un peu prĂȘt normal, il attendit. Il n’aurait jamais put parler en premier. Il n’en avait pas la force. Il se sentait comme vidĂ©. Elliott Ă©tait partit et avait tout emportĂ© avec lui. Tout saccagĂ©. Il n’avait mĂȘme pas essayĂ© de reconstituer le puzzle de son Ăąme, sans Elliott, le morceau clĂ©, ça n’aurait servi Ă  rien. LĂ , si proche l’un de l’autre, on aurait presque put croire que tout allait bien entre eux. Un joli petit couple uni prĂȘt Ă  se rouler la pelle du non. C'est une bien pĂąle copie que tu as trouver lĂ  Quentin...»Il parlait d’Andrea. Instinctivement le français jeta un coup d’Ɠil Ă  cette derniĂšre. Surprise et paniquĂ©e, elle restait silencieuse, sans comprendre. Tout comme les passants qui s’étaient arrĂȘtĂ©s Ă  quelques mĂštres, qui les regardaient comme si le duo Ă©tait une toute nouvelle Ă©mission de tĂ©lĂ© particuliĂšrement palpitante. Ça lui allait mal d’ĂȘtre cruel. TrĂšs mal. Encore trop choquĂ© pour parler, Quentin resta lĂ  Ă  fixer le vide. Il ne pouvait pas regarder Elliott. Surtout pas Elliott. Une odeur de cigarette. Il fumait ? La derniĂšre fois qu’ils s’étaient vus, Elliott ne fumait pas. Et il supportait l’odeur que parce qu’elle Ă©tait rattachĂ©e Ă  Quentin. Maintenant il fumait. Quoi d’autres avaient changĂ©s en un an ? Ça fait mal hein ? Être dĂ©laissĂ© par celui Ă  qui on avait fini par s'abandonner...»Son cƓur cessa littĂ©ralement de battre. LĂ , un instant, dans sa poitrine, il le sentit se comprimer, se recroqueviller sur lui mĂȘme, tentant vainement de combattre la douleur qui le fusillait de toute part. C’était donc ça. Une vengeance. Il voulait se venger du mal qu’il lui avait fait. Trois mois d’absences. Ridicules Ă  cĂŽtĂ© des 15 qu’il avait eut Ă  subir. C’était douloureux. Douloureux partout, et surtout lĂ , au cƓur. Comme si c’était Ă  lui de le blesser ! Les rĂŽles s’étaient inversĂ©s ou quoi ?! Ce n’était pas Quentin qui avait fui ! Comme s’il n’avait pas dĂ©jĂ  eu la dose. Oui, ça faisait mal, trĂšs mal mĂȘme. Tellement mal qu'il dut ravaler une nouvelle fois ses larmes. Pour ton information, je ne compte pas bouger. Tu comptes faire quoi maintenant ? Me tuer ?» Il n’arrivait mĂȘme plus Ă  rĂ©flĂ©chir. Aligner deux mots dans son esprit relevait du dĂ©fi. Des frissons de souffrance le parcouraient de haut en bas. Il hĂ©sitait entre se mettre Ă  pleurer ou hurler, ou frapper. Peut importe au fond, juste un moyen d’évacuer. Evacuer ce truc enracinĂ© en lui. Un truc qui pouvait se rĂ©sumer en un seul mot d’ailleurs. Pourquoi ? Pourquoi t’es parti ? Pourquoi tu me blesses comme si ta vie en dĂ©pendait ? Pourquoi ce sourire ? Pourquoi critiques tu Andrea, n’avais-je pas le droit de me raccrocher au premier brin d’espoir ?!? Pourquoi n’irais-tu pas te faire foutre, Elliott Maloy, pour une fois dans ta vie ? Pourquoi es-tu lĂ  ? Pourquoi ? Vas-y, tues moi. Je n'attends que ça. Tout plutĂŽt que de te voir souffrir par ma faute. Rien ne m'est plus insupportable Quentin... » Rester calme. Surtout rester calme. Il avait envie de hurler, mais il le ferait plus tard, aprĂšs. Penser aux rails de coke qu’il s’enfilerait dans un quart d’heure, il mourrait d’une overdose, ça serait le top. Au pire il finirait dans le coma Ă  l’hosto, et ça serait bien aussi, parce qu’il ne se rĂ©veillerait plus. LĂ  au moins, il pourrait se dire que tout ça n’était qu’un cauchemar, un de plus parmi tout ceux qui avaient peuplĂ© ses nuits depuis 15 mois. Avoir mal c’était bon signe non ? ça voulait dire qu’il l’aimait encore ? Pff, pathĂ©tique. Il aimait encore ce dĂ©chet. Mais il le haĂŻssait plus qu’il ne l’aimait. Jamais il ne pourrait lui pardonner. Plus maintenant. Bordel. Tout cƓur qui n’est pas brisĂ© n’est pas un cƓur, dixit Beigbeder. Avant Elliott il n’avait pas de cƓur, maintenant il n’en avait plus. Nuance. VoilĂ , c’était fait. On avait presque put entendre le petit bruit de fissure, juste avant qu’il se pette en un nombre de morceaux incalculables, coupant comme du verre pilĂ©. Jamais il n’avait eut aussi mal de sa vie. Autant physiquement que sentimentalement. C’était ça l’amour. On l’avait prĂ©venu, et pourtant en voyant Elliott il avait foncĂ© tĂȘte baissĂ©e. Ne restait qu’un goĂ»t d’amertume sur la langue, un poignard plantĂ© dans le cƓur et une nouvelle bonne rĂ©solution ne plus tomber dans le piĂšge. Ne plus faire confiance, ça finit toujours mal. La coupure avait Ă©tĂ© propre et nette. Le comĂ©dien n’avait eut qu’à prendre l’avion sans prĂ©venir un mercredi matin. Rendez vous dans un an, si t’es encore vivant, je viendrai marcher sur les restes et dĂ©truire le peu que t’as rĂ©ussi Ă  sauvegarder. Rien ne lui Ă©tait plus insupportable que de le voir souffrir par sa faute ? Menteur. T’es qu’un connard. Tu m’as pris pour un con. Si tu voulais vraiment pas que je souffre, tu aurais dut rester. Ou alors, tu aurais dut fermer ta grande gueule et pas me balancer de telles horreurs Ă  la figure, comme si c’était Ă  toi d’ĂȘtre en colĂšre. Comme si c’était Ă  toi d’avoir de la rancƓur. Tu sais parfaitement que je peux pas te tuer, mĂȘme si j’en ai trop envie. Alors suicides toi ! Pourquoi n’as tu pas profiter de ta petite escapade en Europe pour te jeter du haut de la tour Eiffel hin ? Il fallait qu’il lui rĂ©ponde. Qu’il fasse quelque chose. Le truc le plus primordial, c’était de ne rien laisser paraĂźtre. Alors Ă  son tour le regard de Quentin se durcit, ses traits se figĂšrent dans un air totalement indiffĂ©rent. Posant une main sur l’épaule d’Elliott, il frĂ©mit au contact de sa chaleur contre sa paume avant de le repousser. Sans violence. La violence avait disparu. Seule restait la douleur, elle rĂ©gnait en maĂźtresse incontestĂ©e. Il avait appris Ă  la connaĂźtre 15 mois plus tĂŽt, appris Ă  vivre avec, Ă  en faire une part de lui mĂȘme. Avoir mal, c’était naturel. N’offrant mĂȘme pas un regard au comĂ©dien Quentin se dĂ©gagea ainsi de l’emprise qu’il avait sur lui, prenant la main d’Andrea pour s’engager sur la route et stopper ainsi le taxi qu’il avait vu arriver. -Rentres Ă  l’appart Andrea, faut vraiment que je discute avec ce type. » Elle le regarda sans comprendre, ou alors compris sans l’avouer. En tout cas elle monta dans la voiture. T’as une demie heure. » LĂącha t’elle en refermant la portiĂšre. Une demi-heure, c’était largement suffisant. Il n’avait pas l’intention de s’éterniser. Il n’était mĂȘme pas sur de pouvoir tenir 10 minutes, alors 30. Il attendit que le taxi reparte avant de se retourner. Elliott Ă©tait toujours lĂ . Le cauchemar continuait. A quand le moment de se rĂ©veiller ? ça faisait longtemps qu’il n’en avait pas fait un aussi rĂ©el. MĂȘme la souffrance semblait vĂ©ritable. Tout avait le goĂ»t du vrai. Sauf que ça ne pouvait pas ĂȘtre vrai. Le vrai Elliott n’aurait jamais dit ça. Il n’aurait pas eut ce rire moqueur, cet air de mĂ©pris qui lui avait incendiĂ© l’ñme. Prenant tout son temps, Quentin s’alluma une clope. Puisqu’Elliott fumait aussi Ă  prĂ©sent, ça ne devait plus le dĂ©ranger. Incroyable, il s’inquiĂ©tait encore de savoir si la cigarette dĂ©rangerait le comĂ©dien ou pas. Putain, oublies spectateurs Ă©taient toujours prĂ©sents. Se doutaient-ils que sous leurs yeux se dĂ©roulaient un drame ? -Pourquoi t’es revenu Ă  NewYork ? T’avais l’impression de plus avoir ta place en Europe ? Ben tu l’as pas non plus ici. Nan mais en fait, j’en ai rien Ă  foutre de savoir pourquoi tu es revenu. Tout ce que j’aurais aimĂ© savoir c’est pourquoi tu t’es cassĂ© ? Mais ça aussi, maintenant, je m’en fou. » LĂącha t’il distraitement en revenant se placer prĂȘt du brun. Il aurait aimĂ© pouvoir l’embrasser une derniĂšre fois avant qu’il ne disparaisse. Ça avait Ă©tĂ© si soudain. A prĂ©sent il ne pouvait plus. Il n’était mĂȘme pas certain d’en avoir encore le goĂ»t. De toute maniĂšre, Elliott n’était pas revenu ici pour lui. La preuve, il le blessait. Comme un gosse qui essaye d’attirer l’attention sur lui. C’était pitoyable. Pour qui il se prenait ? Je m'intĂ©resse... Ă  toi... c'est un crime ? Et puis tant qu'Ă  ne plus ĂȘtre propriĂ©taire de mon propre cƓur j'aimerais tout de mĂȘme bien connaĂźtre un peu celui qui s'en est emparĂ©. »EnfoirĂ©. Que je rĂ©capitule. Tu disparais d'un jour Ă  l'autre sans mĂȘme qu'il te semble bon d'au moins me laisser un message. Tu reviens en mode grande gueule j'ai rien Ă  me reprocher. Pas un "je m'excuse", plus un seul "je t'aime" et comme si c'Ă©tait pas suffisant de me donner cette impression que t'en as absolument rien Ă  caler tu me demandes si tu peux habiter chez moi ? T'es complĂštement con ou tu le fais exprĂšs !?! »EnfoirĂ©. Je t'aime »EnfoirĂ©. -Quant au fait de te tuer
 c’est une idĂ©e assez plaisante, mais il paraĂźt que ça fait encore plus mal d’ĂȘtre vivant quand on sait que la personne qu’on aime ne nous appartient plus. » Rester stoĂŻque. Ça ne lui faisait absolument aucun effet. Bon, du coup, ses rails de coke il ne les verrait que d’ici une demi-heure. Patience. Respire. Restes calme. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Jeu 28 Oct - 1914 Apparemment l'Ă©lĂšve n'avait pas encore surpasser le maĂźtre. Dans le domaine de l'indiffĂ©rence douteuse Quentin le battait encore Ă  plate couture. Et ça, c'est lorsque le grand brun le repoussa doucement pour passer et parler Ă  sa "chĂšre et tendre", qu'il s'en rendit compte. Il n'opposa aucune rĂ©sistance au passage de Quentin. En fait il ne bougea pas d'un poil. Petit Ă  petit, il crevait sur place. D'un coup un seul les larmes lui montĂšrent aux yeux. Fronçant du nez comme un ultime effort face Ă  ces gouttes d'eau salĂ©es, il mordit violemment sur sa lĂšvre infĂ©rieure afin d'empĂȘcher un gĂ©missement douloureux de se frayer un chemin. Il sentit une main sur son Ă©paule, alors que Quentin recommençait Ă  lui parler, c'Ă©tait Justin. Il avait l'air inquiet, navrĂ©, apeurĂ©. Surtout apeurĂ©. En fait Ă  bien y repenser il n'avait jamais vu le comĂ©dien dans un tel Ă©tat. Dans ses yeux, Elliott croisa son reflet. Lui mĂȘme ne se reconnaissait plus dans ce genre de moment. EcoeurĂ© par sa propre image, il fut prit d'un violent frisson et repoussa la main de son ami beaucoup trop violemment. Il n'avait pas envie de ses trois compĂšres dans les pieds en ce moment, surtout pas en ce moment en fait. On se voit demain, ça sert Ă  rien de rester...» finit-il par leur adresser froidement, la voix tremblotante. Il n'arrivait pas Ă  la maitriser, l'envie de crier, de pleurer lui Ă©crasait le thorax. Et pour ne rien arranger Quentin revenait Ă  la charge. Il sentait son regard dans son dos, pas loin. Tout prĂšs. Ce fut dur, mais Elliott finit par se retourner pour lui faire face. Face Ă  ses grands yeux chocolat, il se sentit osciller, que dis-je, flancher. Ce bougre lui manquait, l'avoir si prĂšs et pourtant si loin Ă©tait un vĂ©ritable supplice. C'Ă©tait encore plus douloureux que son absence. Une larme finit par couler, mais Elliott n'en avait que faire. Il cherchait, dĂ©sespĂ©rĂ©ment certainement, mais il cherchait dans le regard assassin de Quentin, une lueur, un reflet, un petit quelque chose -mĂȘme minuscule- qui lui montrerait que s'il avait bien gĂącher leur histoire tout n'Ă©tait pas pour autant perdu. Il dĂ©via un instant de ces iris sombres pour se figer sur les lĂšvres. Elles remuaient, rĂ©pĂ©taient ce qu'il avait un jour dit. Une sorte d'Ă©chos se fit dans sa tĂȘte alors qu'il ne cherchait mĂȘme plus Ă  comprendre le sens de ce que disait le français. Il Ă©tait fascinĂ©, hypnotisĂ© par ces lĂšvres toutes proches, finement ourlĂ©es, tentatrices. Qu'est ce qu'il n'aurait pas donner pour les embrasser juste une fois. Une fois ,mais pour toujours. Il n'en fit rien, elles s'Ă©taient tues. Sortant de sa transe, Elliott cligna des yeux, geste mĂ©canique pour reprendre pied avec la rĂ©alitĂ©. T'as le chic pour rĂ©apparaĂźtre aux moments oĂč on voudrait juste que tu crĂšves... tu peux le dire aussi tu sais.». Oui, il avait Ă©tĂ© ignoble ce jour lĂ  et il n'avait pas besoin du rĂ©capitulatif de Quentin pour se le rappeler. Si son visage ne laissait toujours passer aucune Ă©motion, ses yeux quant Ă  eux s'Ă©taient peint d'une grosse couche de dĂ©sespoir, d'une plus grosse encore de culpabilitĂ©. Ici et lĂ  ressortaient quelques touches de regret, de jalousie, d'excuse. Tout un tableau, une vĂ©ritable fresque qui, si Quentin y prĂȘtait un peu attention, lui prouvait, Ă  ce moment mĂȘme, Ă  quel point il l'aimait. Le jeune comĂ©dien eut un infime mouvement d'approche, rĂ©duisant lĂ©gĂšrement la distance qui les sĂ©parait. Il avait suffit que Quentin ouvre Ă  nouveau la bouche pour que son sang ne fasse qu'un tour et que dans un mouvement brusque, qu'il ne calcula mĂȘme pas, il plaque le jeune français contre le mur derriĂšre lui. Les paumes des ses mains ancrĂ©es dans le mur de chaque cotĂ© du visage de Quentin. Ah oui, ça ne t'intĂ©resse plus de savoir pourquoi ? C'est bien dommage parce que je vais te le dire. » lĂącha Elliott plus violemment qu'il n'en avait eut l'inttention. Il allait repartir en vrille, il le sentait. A vrai dire, il criait dĂ©jĂ . La voix chargĂ© de hargne et tremblotante d'honnĂȘtetĂ©. Toi qui revenais dans un dĂ©luge d'Ă©motions divergentes, ma mĂšre qui dĂ©primait parce que mon frĂšre tombait un peu plus tous les jours dans la drogue, lui qui dĂ©pĂ©rissait Ă  vue d'Ɠil, toi qui n'Ă©tait pas spĂ©cialement mieux, mes Ă©tudes qui ne rimaient plus Ă  rien, mes ambitions qui stagnaient, mes efforts qui aboutissaient dans le vide, tous les coups que j'ai encaissĂ© sans rien dire, toutes les erreurs que je me refusais Ă  regretter et qui me revenaient en pleine poire, tout foutais le camp. Je crevais un peu plus tous les jours !!!» cria-t-il en frappant d'une force surhumaine sur le mur, Ă  quelque centimĂštre Ă  peine du visage de Quentin. Le son de sa voix rĂ©sonnait encore dans la rue qui s'Ă©tait subitement tue pour assister au spectacle. De loin, certains avaient certainement cru qu'il venait d'infliger Ă  Quentin un bien violent coup de poing, il n'aurait pas pu. Il ne pouvait plus lui faire mal, c'Ă©tait au dessus de ses forces. Tout ce qu'il pouvait faire, c'Ă©tait se faire mal et crier, crier jusqu'Ă  en devenir atone. Car oui il Ă©tait capable de crier encore plus fort. Ceci pourrait ressembler Ă  des plaidoiries, mais dĂ©trompez vous, il n'essayait en aucun cas de mettre ses erreurs sur le dos des autres. Ce n'Ă©tait dĂ©finitivement pas son genre et mĂȘme s'il avait changĂ©, mĂȘme s'il devait ĂȘtre Ă©lu salaud numĂ©ro un dans la tĂȘte de Quentin, mĂȘme le français devait le savoir. Et s'il en doutait, qu'il le regarde un instant dans les yeux, pas une seconde il n'y verra un reproche. T'en as rien Ă  foutre ? TrĂšs bien ! Qu'est ce que tu fous lĂ  alors !! DĂ©gages, vas-y !». Et comme pour lui laisser la possibilitĂ© de vraiment le faire, il se dĂ©crispa et s'Ă©loigna de lui. De plus en plus, en marche arriĂšre, les yeux embuĂ©s. Il finit par s'arrĂȘter, en plein milieu de la chaussĂ©e. Ça avait beau ĂȘtre une rue marchande Ă  une heure oĂč le passage ne se faisait pas autant qu'en heure de pointe, ça restait dangereux. Ils Ă©taient dans un tournant et la moindre voiture lancĂ©e trop vite pouvait chopper le jeune comĂ©dien dans sa course. Ça aussi ça lui Ă©tait Ă©gal maintenant. Je te connais Quentin, si rĂ©ellement rien n'avait plus d'importance pour toi tu serais dĂ©jĂ  parti avec cette grognasse. T'avais besoin d'explications, tout comme j'en ai eu besoin quand c'Ă©tait Ă  toi d'en donner, tu les a eu maintenant alors barre toi ! Mais si tu veux des excuses, saches que c’est tellement petit que dans un tel contexte que ça me parait inappropriĂ©, il me faudrait la mĂȘme expression mais en dix fois plus puissante et je ne suis pas sĂ»re qu’elle ai Ă©tĂ© créée. ». Lui aussi il pouvait vous rejouer la scĂšne, lĂ  au beau milieu de la rue oĂč, comme si ça avait Ă©tĂ© un vĂ©ritable complot, plus aucune voiture ne passait. Oui au fond, si Quentin partait il voulait crever. Que tout s'arrĂȘte. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Jeu 28 Oct - 2155 Well hey you got me right where you want me
 but you still haunt meyou still haunt me ! I've learned just how to run without runnin' 
 Ses yeux lui broyaient l’ñme. Comme toujours, c’était ce bleu qu’il avait recherchĂ© partout sans le trouver. Ce bleu infĂąme, mortellement attirant, qui le faisait flancher une nouvelle fois, mettre genoux Ă  terre, courber l’échine, trembler de passion. Il ne s’était pas attendu Ă  se retrouver plaquĂ© de la sorte contre le mur. Ni mĂȘme Ă  entendre ce qu’il entendait Ă  prĂ©sent, et qui rĂ©sonnait dans son corps, lui donnant tout Ă  la fois de la colĂšre, de la tristesse, de l’espoir
 Ah oui, ça ne t'intĂ©resse plus de savoir pourquoi ? C'est bien dommage parce que je vais te le dire... Toi qui revenais dans un dĂ©luge d'Ă©motions divergentes, ma mĂšre qui dĂ©primait parce que mon frĂšre tombait un peu plus tous les jours dans la drogue, lui qui dĂ©pĂ©rissait Ă  vue d'Ɠil, toi qui n'Ă©tait pas spĂ©cialement mieux, mes Ă©tudes qui ne rimaient plus Ă  rien, mes ambitions qui stagnaient, mes efforts qui aboutissaient dans le vide, tous les coups que j'ai encaissĂ© sans rien dire, toutes les erreurs que je me refusais Ă  regretter et qui me revenaient en pleine poire, tout foutait le camp. Je crevais un peu plus tous les jours !!!» La chaleur de son corps contre le sien Ă©tait tout bonnement insupportable. Si son cƓur ne battait plus, au moins Elliott lui faisait-il encore tournĂ© la tĂȘte. Il allait se blesser Ă  frapper ainsi le mur. On aurait dit un dĂ©sespĂ©rĂ©. Trop occupĂ© Ă  fixer le visage du comĂ©dien, Quentin assimilait avec difficultĂ© ses paroles. Il coulait ? C’était ça, son excuse ? Ne cherches pas Elliott ! Aux yeux du français tu n’avais aucune excuse, absolument aucune, pour avoir droit de reprendre une place dans sa vie. Il lui en accordait dĂ©jĂ  mĂȘme une trop grande en acceptant de lui adresser la parole. Il crevait un peu plus tous les jours ? AHAHAHA ! Bienvenue au club ! Quentin avait crevĂ© chaque jour depuis 15 mois !!!!!! Chaque nuit Ă©tait une porte d’oublie, et chaque rĂ©veil une gifle. Il le hantait, il l’avait dans la peau, jusque dans la moelle, ce connard ! Jusque dans ses rĂȘves ! Putain, mais qu’attendait-il pour l’embrasser !?!? S’il l’avait embrassĂ© maintenant, Quentin l’aurait laissĂ© faire. Mais il ne pouvait pas, bordel de merde, putain de fatalitĂ© Ă  la con ! Plusieurs sentiments envahissaient Ă  prĂ©sent le français, dont le cƓur Ă©tait repartit de plus belle et Ă  tout rompre, battant comme un fou. Et bizarrement, une pointe de remord s’était nichĂ©e parmi eux. Il avait beau le nier, il dĂ©testait faire souffrir ainsi le comĂ©dien. MĂȘme si ce dernier lui plantait des couteaux en plein dans l’mille, mĂȘme s’il l’avait abandonnĂ© 15 mois, 15 mois durant lesquels Quentin avait luttĂ© contre l’envie de se tirer une balle, non, il ne pouvait pas. C’était comme se blesser soit-mĂȘme. Mais comprenait-il ça ?!? Comprenait-il qu’il l’aimait Ă  en crever !?! Et bon sang, croyez moi, ces sentiments Ă©taient encore intact alors qu’il se perdait Ă  nouveau dans ses yeux, bleus pĂąles comme un ruisseau d’eau fraĂźche. T'en as rien Ă  foutre ? TrĂšs bien ! Qu'est ce que tu fous lĂ  alors !! DĂ©gages, vas-y !» Ça y est, son corps lui manquait Ă  nouveau. Un simple frĂŽlement avait suffit Ă  rĂ©animer ses vieilles habitudes, ses vieux besoins, comme celui de le sentir contre lui. En un an, il lui avait tellement manqué  Quentin se serait agrippĂ© Ă  lui pour le retenir si la douleur ne l’avait pas clouĂ© au mur. Il lui disait de dĂ©gager, comme ça, tranquille. Il savait parfaitement que le français Ă©tait capable de le faire. De toute maniĂšre, c’était soudain comme si milles aiguilles s’étaient plantĂ©es dans sa chair. Rien ne pourrait rĂ©parer ce qu’Elliott avait dit. Ça fait mal hein, d’ĂȘtre dĂ©laissĂ© par celui Ă  qui on avait fini par s’abandonner. Evidement connard ! Rien que d’y repenser, sa gorge se nouait. Il ne comprenait toujours pas ce qui avait poussĂ© le comĂ©dien Ă  retourner le couteau dans la plaie d’une telle façon. En tout cas une chose Ă©tait sĂ»re, il s’était abandonnĂ© » une fois, mais il ne recommencerait pas. Jamais. Son cƓur se serra en rĂ©alisant soudain qu’Elliott s’était arrĂȘtĂ© en plein milieu de la route. Quel crĂ©tin ! Pourquoi se stoppait-il lĂ  oĂč il pouvait se faire buter Ă  tout moment !?! Je te connais Quentin, si rĂ©ellement rien n'avait plus d'importance pour toi tu serais dĂ©jĂ  parti avec cette grognasse. T'avais besoin d'explications, tout comme j'en ai eu besoin quand c'Ă©tait Ă  toi d'en donner, tu les as eu maintenant alors barre toi ! Mais si tu veux des excuses, saches que c’est tellement petit que dans un tel contexte que ça me parait inappropriĂ©, il me faudrait la mĂȘme expression mais en dix fois plus puissante et je ne suis pas sĂ»re qu’elle ait Ă©tĂ© créée. » C’était tellement simple. Des mots ! Du vent ! N’importe quoi. Quentin avait envie de se boucher les oreilles. Non, Elliott ne le connaissait pas. S’il l’avait connu il ne serait pas partit ! Il prĂ©tendait vouloir s’excuser mais ne le faisait pas. Ouais, son expression » n’avait pas Ă©tĂ© créée, et alors, ça l’empĂȘchait de s’excuser ? MĂȘme infime, le moindre *je suis dĂ©solĂ©* aurait Ă©tĂ© acceptĂ© de bonnes grĂąces. Ben il pouvait crever pour que ce genre de chose franchisse la barriĂšre de ses lĂšvres, apparemment ! Il s’en voulait ? A quoi ça servait !?!? Il s’était cassĂ© en partie Ă  cause de lui aprĂšs tout. Toi qui. Putain de merde Elliott ! Il lui demandait quoi lĂ  ? C’était sa façon Ă  lui de dire qu’il avait envie d’une seconde chance ? CrĂšves, crĂšves crĂšves ! CrĂšves encore, comme j’ai crevĂ© moi ! avait envie de faire quelque chose d’horrible, ou de dire quelque chose d’horrible. Il avait besoin de se mettre Ă  hurler aussi. Il ne hurlait pas souvent aprĂšs tout. Se dĂ©tachant du mur, il traversa Ă  son tour la chaussĂ©e pour pousser Elliott vers le trottoir le plus proche, gardant toujours cet air totalement impassible. Pour rien au monde il n’aurait quittĂ© son masque de colĂšre. - PUTAIN DE MERDE ! Elliott, 15 mois !!!! Tu t’es cassĂ© sans rien dire, mĂȘme pas un mot, mĂȘme pas un truc de merde, une pitoyable excuse Ă©crite sur un papier ! Tu me demandes quoi, hein ? Une seconde chance ?! Mais vas te faire foutre ! Ma vie est un enfer depuis que je te connais, connard !! Je t’ai dit que j’en avais rien Ă  faire de tes explications ! Tu m’emmerdes, j’te dĂ©teste, au cas tu ne l’aurais pas encore compris ! Je suis restĂ© justement pour mettre ces petites choses aux claires, pas pour t’entendre jouer Ă  Calimero. Bouhouhou, j’allais mal alors je suis parti ! J’ai lĂąchement abandonnĂ© la personne pour qui je comptais le plus au monde, je me suis cassĂ© 15 mois sans lui envoyer une seule lettre, mĂȘme pas une carte postale de merde oĂč on peut Ă©crire que 2 mots. Et quand je suis rentrĂ©, je ne le lui ai mĂȘme pas dit. Non, bien sur que non voyons, pourquoi je l’aurais fait !? C’était Ă©vident qu’il Ă©tait passĂ© Ă  autre chose, bien suuur. Mais tu comprends chou c’est parce que je crevais un peu plus chaque jour, alors que lui ça faisait seulement 1 an qu’il Ă©tait en pleine agonie ! Et quand je l’ai recroisĂ© dans la rue, je me suis amusĂ© Ă  piĂ©tinĂ© les dĂ©bris, c’est tellement drĂŽle, hein ? Tu veux savoir si ça fait mal d’ĂȘtre dĂ©laissĂ©, alors attends, je vais te le dire. OUI !!!!!! » Il hurla ce dernier mot dans les oreilles du comĂ©dien, chargeant sa voix du plus de colĂšre, de rage, de haine possible. Il fit alors une chose totalement contradictoire. Totalement stupide. Totalement conne, qu’il regretta aussitĂŽt aprĂšs l’avoir accomplit. Plaquant Elliott contre le capot d’une voiture, l’un de ses genoux vint outrageusement presser l’entrejambe de sa victime alors qu’il l’embrassait. Oui oui, vous avez bien lu, il l’embrassait. Et pas un baiser de pacotille hin, non, le truc bien sauvage. Il lui mordait carrĂ©ment les lĂšvres, forçant leur barrage pour que sa langue aille enfin Ă  la rencontre de sa dura plusieurs secondes avant qu’il ne se rende compte de l’horreur qui venait de se produire et qu’il ne se recule enfin, laissant au comĂ©dien le loisir de se dĂ©gager de la position inconfortable dans laquelle le français l’avait coincĂ©. Putain. Il l’avait embrassĂ©, et il avait aimĂ© ça, et s’il avait put, il l’aurait encore fait. Mais non, non !!! -Et puisque tu tiens tant que ça Ă  ce que je me barre, je vais me barrer. » InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Ven 29 Oct - 1944 Mais nom d'un schtroumph rose Ă  fleur, c'est qu'il Ă©tait coriace le mufle. Bon bien sur personne dans l'assemblĂ©e ne s'attendait Ă  ce que se soit facile, Elliott le premier, mais de lĂ  Ă  ce que ça parte Ă  ce point dans le dĂ©cor... ils allaient crĂ©er une Ă©meute Ă  force. Car oui, si vous en doutiez, on n'avait plus d'yeux que pour eux et ce n'Ă©tait peut ĂȘtre pas ce qu'il y avait de mieux dans ce genre de situation. Soit, les deux jeunes hommes n'en avait bien entendu que faire, bien trop dans leur monde en train d'exploser pour attacher la moindre importance Ă  ce qui les entourait. Peut ĂȘtre auraient-ils du mais pour le moment Elliott se faisait vivement poussĂ© vers le trottoir. Ça devenait vraiment n'importe quoi comme scĂšne d'ex couple, m'enfin bon... Maintenant que la machine avait dĂ©raillĂ©, il n'y avait plus moyen de l'arrĂȘter. Il avait rarement vu Quentin en colĂšre, mais il doutait franchement qu'on puisse ĂȘtre plus excĂ©dĂ© qu'il ne l'Ă©tait en ce moment. Le cyclone français lui dĂ©ferlait dessus et si au fond de lui mĂȘme il avait juste l'envie de se faire tout petit il ne se laissa pas impressionner. Il gardait la tĂȘte haute, les yeux encrĂ©s dans ceux haineux du français qui lui balançait ce qu'il avait sur le cƓur. Puis, Elliott s'Ă©tait affaissĂ© et des larmes s'Ă©taient mises Ă  couler le long de ses joues, incontrĂŽlables. Ma vie est un enfer depuis que je te connais, connard !! ». Chacun avait eu sa petite phrase assassine, celle-ci devait ĂȘtre la vengeance de Quentin. Car, comme Elliott avait piĂ©tinĂ© le cƓur du français en lui rappelant Ă  quel point le dĂ©part de la personne qu'on aime faisait mal, Quentin venait de piĂ©tiner les dĂ©bris du sien. Qui Ă©tait venu chercher l'autre ? Qui avait mit le bazar dans sa petite vie pĂ©pĂšre ? Qui s'Ă©tait amusĂ© Ă  le prendre pour mieux le jeter ? Qui l'avait fait pleurĂ© plus d'une fois pour une simple histoire de fiertĂ© ? Qui s'Ă©tait dĂ©lectĂ© Ă  lui faire croire au rĂȘve pour mieux le bafouĂ© aprĂšs ? Qui est ce qui l'avait fait souffrir et le faisait encore souffrir aujourd'hui ? QUI ? Seulement voila, au bout du compte, quand bien mĂȘme lui avait-il fait des reproches en l'air, jamais Elliott n'avait rĂ©ellement regrettĂ© d'avoir connu Quentin. Il Ă©tait ses pires souffrances, mais il Ă©tait surtout ses plus beaux moments. Il avait dĂ©sormais la preuve qu'il Ă©tait apparemment le seul Ă  le penser. AprĂšs ça il avait vite dĂ©crochĂ©. Depuis le Bouhouhou, j’allais mal alors je suis parti !»en fait. S'il n'avait pas eu autant de chose Ă  se reprocher et l'envie sacrĂ©e de calmer le jeu, il aurait bien fait remarquer Ă  Quentin Ă  quel point il pouvait ĂȘtre Ă©goĂŻste, lui aussi, en disant cela. Toutefois, la remarque tombait dans le vide. Lui, avait fait preuve de tellement plus d'Ă©goĂŻsme en partant, il en Ă©tait conscient, depuis le dĂ©but. Il avait pour UNE fois penser Ă  lui, avait suivit son instinct de survie, son besoin vital de s'Ă©loigner de tout et de Quentin en particulier. Prendre du recul, mettre les choses au point. Quoi que cela puisse lui coĂ»ter il Ă©tait parti avant de se noyer. Oui il l'avait fait pour lui, oui il n'avait pas penser aux autres, mais le "Et quand je l’ai recroisĂ© dans la rue, je me suis amusĂ© Ă  piĂ©tiner les dĂ©bris, c’est tellement drĂŽle, hein ?" que lança Quentin comme s'il avait Ă©tĂ© la seule personne Ă  souffrir dans l'histoire vint rĂ©sonner avec beaucoup d'injustice Ă  ses oreilles. Il lui en voulait comme si toute cette annĂ©e il Ă©tait parti en croisiĂšre de plaisance, se dorer la pilule sur Nil. Comme si ça avait Ă©tĂ© une dĂ©cision aussi facile que celle qui consiste Ă  choisir entre un bol de cĂ©rĂ©ale ou un bol de merde. Et quelle merde il avait foutu... Elliott restait lĂ , sonnĂ©. Il n'avait plus rien Ă  dire. Que vouliez vous rĂ©pondre de toute façon ? Lui remettre les idĂ©es en place, lui rappeler Ă  quel point il avait contribuĂ© Ă  faire de leur relation une relation bancale et ce depuis le dĂ©but ? L'enfoncer lui aussi pour ne pas sombrer seul ? Et puis pour tout vous dire, il n'avait pas vraiment eu le temps de rĂ©flĂ©chir Ă  une quelconque rĂ©partie. Il s'Ă©tait retrouvĂ© acculĂ© contre le capot d'une voiture et des lĂšvres fĂ©roces s'Ă©taient emparĂ©es des siennes. Cette sensation lui fit comme une sorte d'Ă©lectrochoc, ses membres se paralysĂšrent alors que par instinct il fermait les yeux et rĂ©pondait fiĂ©vreusement au baiser du beau français. La chair de poule lui parcourait le corps,tout son ĂȘtre semblait s'ĂȘtre affolĂ© d'un seul coup. Les retrouvailles avec ces sensations perdues avaient Ă©tĂ© tellement violentes qu'il Ă©tait sur d'en ĂȘtre malade pendant plusieurs jours. Choc post-traumatique. Sa langue avait retrouvĂ© sa consƓur dans un frisson dĂ©chirant et puis s'en Ă©tait vu privĂ© aussi rapidement qu'elle n'Ă©tait arrivĂ©e. L'extase fit place au manque. Il venait de s'Ă©loigner, son corps tout entier lui manquait dĂ©jĂ . S'il avait Ă©vitĂ© de sauter sur Quentin en le voyant, c'Ă©tait bien pour ça. Pour Ă©viter que ce manque atroce ne lui donne la nausĂ©e comme il Ă©tait en train de le faire maintenant que le beau brun menaçait une fois de plus de s'en aller. Les larmes Ă©taient revenues de plus belle. Il ne s'attendait pas Ă  quelque chose d'aussi dĂ©gueulasse de la part de Quentin. Il lui avait avouĂ© dĂšs les premiĂšres phrases ĂȘtre encore fou de lui et le français lui avait cracher son dĂ©goĂ»t Ă  la gueule, lui avait avouer cash le dĂ©tester Ă  ce qu'il en crĂšve, lui assurait depuis le dĂ©but ne plus rien avoir Ă  faire de lui. Ça aurait put passer, mais lui infligĂ© la torture d'un tel baiser avec la promesse que c'Ă©tait le dernier, Ă©tait monstrueux. Il avait raviver une flamme que pas mĂȘme une annĂ©e entiĂšre loin de lui n'avait rĂ©ussi Ă  Ă©teindre complĂštement, il avait raviver un souvenir Ă  la fois dĂ©licieux et douloureux et maintenant il le laissait lĂ , pantois. Vous connaissez le principe de "tolĂ©rance zĂ©ro" ? Doctrine parfaitement mise en place Ă  New-York, malheureusement, et qui vise Ă  punir sĂ©rieusement et surtout rapidement la moindre infraction afin d'enrayer rapidement l'augmentation de la violence et des actes de dĂ©linquance. Aucune circonstance attĂ©nuante. Et vous savez ce que c'est deux hommes en train de s'engueuler et de se frapper dessus en pleine rue marchande ? Trouble de l'ordre public... Les mains sur la tĂȘte jeune homme ! ». Il n'avait mĂȘme pas eu le temps de rĂ©agir, un homme s'Ă©tait immiscĂ© dans le dos de Quentin, le priant de ne plus faire aucun geste brusque et de poser ses mains sur sa tĂȘte. Sans plus de cĂ©rĂ©monie il lui avait passĂ© les menottes et apparemment cette fois c'Ă©tait Ă  son tour. Lors de son "court" sĂ©jour en Europe, Elliott avait eu la malchance de se faire arrĂȘter plusieurs fois, principalement pour ivresse sur la voie publique. Il n'avait jamais Ă©tĂ© trĂšs coopĂ©rant, ce qui n'arrangeait jamais rien Ă  ses problĂšmes. Cette fois le brun fut doux comme un agneau, encore trop sonnĂ© et ne chercha mĂȘme pas Ă  protester. La police c'est pas une rigolote en AmĂ©rique, Ă  coup sur leurs Ă©clats voix avaient fait flipper quelques personnes et l'une d'elle avait penser bon de prĂ©venir la police. Maintenant ils se retrouvaient comme deux cons sur la banquette arriĂšre de la voiture. Ils n'avaient pas beaucoup de place lĂ  dedans et ĂȘtre ainsi collĂ© Ă  Quentin Ă©tait une vĂ©ritable torture, l'atmosphĂšre Ă©tait Ă©lectrique, palpable, lourde. Un peu plus et ils suffoquaient. Et dans le silence pesant, des larmes coulaient. Elliott n'osait plus regarder Quentin, il ne voulait plus le regarder. L'envie de lui sauter lui tenaillait les entrailles. Il lui manquait, s'en Ă©tait insupportable. Alors, les yeux plongĂ©s dans le paysage dĂ©filant derriĂšre la fenĂȘtre, Elliott pleurait silencieusement. Encore. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Ven 29 Oct - 2204 And if you leave here You leave me broken, shattered, a lie ! I'm just a crosshair I'm just a shot, then we can die 
 En fait, il Ă©tait bel et bien dans l’idĂ©e de se barrer. Partir et laisser Elliott en plan. Ça lui plaisait assez. Mais bon, apparemment ce n’était pas pour aujourd’hui. Putain mais non, pourquoi la police se ramenait ? Un passant Ă  la con avait dut l’appeler. Trouble de l’ordre public aha, trop drĂŽle. La grosse BLAGUE. Blague qui le conduisait Ă  prĂ©sent Ă  se retrouver vissĂ© sur le siĂšge arriĂšre d’une voiture de flic, menottĂ© et sans doute bon pour une pseudo garde Ă  vue. Autant dire qu’il Ă©tait pas prĂȘt de pouvoir s’enfiler ses rails de coke, et Andrea pouvait toujours attendre pour qu’il revienne au bout d’une demi-heure. Le destin Ă©tait vraiment sadique aujourd’hui. En effet, quoi de plus cruel que de faire en sorte qu’Elliott soit, trĂšs Ă©trangement, lui aussi assis sur cette mĂȘme banquette et qu’il y ait Ă  peine assez de place pour eux deux, si bien qu’ils avaient Ă©tĂ© obligĂ© de se serrer ». Si c’est pas mignon. Quentin en avait la gerbe. Sentir l’épaule du comĂ©dien contre la sienne, et le pire, l’entendre pleurer. Par sa faute. Comme d’hab’, il avait envie de dire. Ah oui mais bon, lui aussi avait eut sa part de larmes durant l’annĂ©e, chacun son tour petit Elliott, on passe la balle. Ça lui faisait mal, mais il ne sentait presque plus la douleur tant elle Ă©tait dĂ©jĂ  intense. Juste une aiguille dans une botte de foin. N’empĂȘche que c’était plus souvent Quentin qui faisait pleurer Elliott que l’inverse. Mais d’un autre cĂŽtĂ©, cette constatation lui faisait un bien fou. Psychopathe sadique, le retour. Nan, en fait c’était juste parce que ces larmes, c’était la preuve irrĂ©futable qu’Elliott l’aimait encore. Et savoir ça, ça faisait du bien. Bon okey, y’avait dĂ©jĂ  eut un paquet de preuves depuis le dĂ©but, mais voilĂ , assis contre celui qu’il aimait le français acceptait enfin d’ouvrir les yeux. Il pouvait Ă  nouveau respirer sans avoir l’impression qu’une corde Ă©tait nouĂ©e autour de son cou, respirer sans suffoquer, sans se noyer, sans se mettre Ă  pleurer Ă  son tour parce que lĂ  franchement, ça le dĂ©mangeait sĂ©vĂšre. Non, non non et re-non. Petit Ă  petit, il commençait Ă  rĂ©aliser ce qu’il avait dit au comĂ©dien. Il le dĂ©testait. Sa vie Ă©tait un enfer depuis qu’il l’avait rencontrĂ©. N’importe quoi. Juste n’importe quoi. L’arrivĂ©e de la police l’avait un peu calmĂ©, comme si sa haine avait dĂ©cidĂ© de faire une pause pour lui permettre de rĂ©flĂ©chir logiquement, pour une fois, Ă©loignĂ© de toutes ces sensations et ces sentiments qui l’envahissaient. Et il rĂ©alisait, oh oui, Ă  quel point il venait de se comporter comme la pire ordure de l’univers. Quoique Elliott n’était pas non plus loin derriĂšre. Peut-ĂȘtre mĂȘme le battait-il sur certain point. Le Etre menottĂ© de la sorte lui rappelait salement une scĂšne un peu semblable dans l’appartement d’un connard blond, ce qui Ă©tait parfaitement le moment pour se rappeler de ça, n’est ce pas. Et ce silence lui foutait des frissons alors qu’il avait l’impression de suer Ă  grosses goĂ»tes. Mais plus que tout, il regardait lui aussi par la fenĂȘtre sans vraiment voir le paysage, trop concentrĂ© Ă  tendre l’oreille et Ă  Ă©couter les pleurs d’Elliott. Ce moment, ce jour plutĂŽt, ferait surement parti des pires de leurs vies. GrĂące Ă  qui, hin ?!? A Quentin et oui mesdames et messieurs ! C’est qu’il Ă©tait vraiment douĂ© pour empirer chaque situation, le petit bonhomme, quand mĂȘme, un truc de ouf ! La culpabilitĂ© Ă©tait Ă  prĂ©sent en tĂȘte du classement dans le concours du sentiment le plus hargneux Ă  faire rage dans le cƓur du français, face Ă  elle la compĂ©titrice la plus virulente, la souffrance qui l’assaillait encore. Une souffrance qui s’incarnait dans un regard bleu et brillant de larmes. Et ce regard bleu blessait mieux qu’aucune arme, mettait Ă  sang son Ăąme. Il ne pouvait pas l’ignorer, dĂšs qu’il ouvrait les yeux, il Ă©tait lĂ . MĂȘme paupiĂšre closes, il le voyait encore. Putain mais enfoirĂ© ! Fais quelque chose, la personne qui pleure Ă  cĂŽtĂ© de toi, c’est quand mĂȘme Elliott, et tu l’aimes, alors fais quelque chose ! Faire quelque chose. Elliott avait fait quelque chose quand Quentin avait pleurĂ© ? Non bien sur, il n’était pas lĂ . Il Ă©tait partit loin. Il avait vĂ©cu des choses, sans penser Ă  lui. Enfin, peut-ĂȘtre qu’il avait pensĂ© Ă  lui
 peut-ĂȘtre mĂȘme qu’il lui avait manquĂ© autant qu’il avait manquĂ© Ă  Quentin. Le brun ne pouvait pas savoir. A moins de poser la question. Mais genre, comme s’il en Ă©tait capable !! Non, il n’en Ă©tait pas capable. Mais il pouvait faire quelque chose, un truc un peu plus discret. Il lui suffisait juste d’ĂȘtre discret
 Alors, se tournant un tout petit peu, pas beaucoup, Ă  peine une dizaine de centimĂštres, se contorsionnant les bras de maniĂšre indicible, il frĂŽla les doigts d’Elliott, menottĂ©s Ă©galement dans le dos du comĂ©dien, avant d’enlacer une de ses mains pour la presser lĂ©gĂšrement. Il regardait toujours par la fenĂȘtre, droit devant lui. Il ne voulait pas le regarder. Pas le voir pleurer, surtout alors qu’il savait que c’était Ă  cause de lui. Il avait envie d’insulter quelqu’un. Ou juste insulter le vide, comme ça. Parce qu’il s’était promis qu’il ne retomberait plus dans le piĂšge et qu’il avait bien l’intention de tenir cette promesse. Mais bon, cette promesse ne l’empĂȘchait pas d’ĂȘtre tendre envers Elliott, hin ? De toute maniĂšre il avait des mouchoirs dans sa poche et il ne pouvait mĂȘme pas lui en donner un. Ce simple tout petit dĂ©tail lui foutait la hargne. Bref. VoilĂ , il lui avait pris la main. Il se sentait mieux. Il espĂ©rait que c’était aussi le cas d’Elliott. Fallait qu’il en profite, le français n’avait nullement l’intention de recommencer ça. C’était juste pour qu’il arrĂȘte de chialer, du moins c’est ce que Quentin se plaisait Ă  croire. De mĂȘme pour le baiser. Juste pour lui faire mal, juste pour lui montrer ce Ă  quoi il n’aurait plus jamais droit. Pourtant son cƓur lui chuchotait bien d’autres choses, malgrĂ© ses blessures. Je t’aime, je t’aime. Que se message passe de ma main Ă  la tienne, Ă©coute moi, je t’aime. Ils se garĂšrent. Quentin lĂącha sa main. Et puis c’était tout. S’en allait suivre un truc long et chiant, un contrĂŽle d’identitĂ©, vĂ©rification des papiers, blablabla. Il avait sans doute la possibilitĂ© d’appeler Ă  l’appart pour prĂ©venir Andrea, mais non. Il n’en avait pas envie, pas maintenant. Il lui expliquerait tout en revenant, si elle Ă©tait toujours lĂ . Au pire demain, mais ça ne paraissait plus si grave
 C’était juste une fille. Une copie. Une merde. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Mer 3 Nov - 1639 AĂŻe, snif, aĂŻe, snif, aĂŻe, snif,... et avec tout ça il n'avait mĂȘme pas la possibilitĂ© d'essuyer ces saloperies de larmes allant raviver la douleur de sa lĂšvre. Au cas oĂč vous l'auriez oubliĂ©, quelques minutes plus tĂŽt il s'Ă©tait prit deux mĂ©chants poings. Sa lĂšvre infĂ©rieure, tout comme sa pommette gauche, avait morflĂ© sous a violence du coup. Sur le moment il n'avait pas Ă©tĂ© certain de l'avoir senti mais maintenant que le calme Ă©tait revenu et qu'il avait la possibilitĂ© de faire de le point sur la situation, il lui paraissait Ă©vident que Quentin y avait mit toute sa hargne. Encore une fois il se retrouvait tout amochĂ©. NĂ©anmoins cette fois ci il n'aurait pas a supporter la gueule abasourdie de son prof de théùtre et des autres Ă©lĂšves. A ce souvenir il retint une sorte de sanglot bizarre. Aaaah le bon vieux temps. OĂč il se faisait tabasser par des gens dont il n'avait rien Ă  faire, oĂč il suivait encore des cours, oĂč il n'avait pas encore commencĂ© Ă  collectionner les erreurs comme Johnny Depp collectionne les groupies... Le bon vieux temps oĂč Quentin Ă©tait revenu et oĂč la vie avait semblĂ© redevenir douce et soyeuse... sembler mordant rageusement l'intĂ©rieur de la joue pour ne pas soupirer tel un condamnĂ© Ă  mort devant la potence, Elliott ne put nĂ©anmoins pas rĂ©primer un lĂ©ger sursaut de surprise. Quentin venait de lui kidnapper ses doigts et contre toute attente ce n'Ă©tait pas pour les lui arracher. Cette lĂ©gĂšre pression sur ses doigts fut comme une dose anesthĂ©siante, plus rien n'avait d'importance. Pas mĂȘme sa tĂȘte venant Ă©chouĂ© lamentablement contre la fenĂȘtre alors qu'il serrait doucement les doigts de Quentin. Il avait vraiment tout gĂąchĂ©... c'Ă©tait dĂ©solant de voir tout le bordel qu'avait crĂ©er son simple dĂ©part, de voir que son retour avait tout fait sauf arranger les choses. Je suis dĂ©solĂ©, je m'en veux, je t'aime, tu me manques, je vais tout rĂ©parer, je t'aime... Tant de mots qui lui tournait dans la tĂȘte mais qu'il n'arrivait pas Ă  exprimer. C'Ă©tait plus difficile qu'il ne le pensait d'ĂȘtre la source du malheur de la personne qu'on aime, il s'en rendait maintenant compte. Il rĂ©alisait aussi Ă  quel point ça dut ĂȘtre dur pour Quentin de se faire traiter de tous les noms et de s'excuser Ă  son retour. Encore plus qu'il n'avait rien fait de "mal", lui. Il n'eut pas le temps de s'Ă©pancher un peu plus sur ce triste constat. La chaleur du corps de Quentin Ă  cotĂ© de lui Ă©tait partie, subitement, et alors qu'on les escortait vers les bureaux de police Elliott revenait doucement sur terre. Ça y est, assis face Ă  cet agent moustachu qui avait l'air tout sauf sympathique et futĂ©, les hostilitĂ©s allaient commencer. Papiers d'identitĂ©s messieurs. » Que vous disais-je, pas trĂšs futĂ©. Et le ton suffisant utilisĂ© par ce trĂšs cher monsieur fit dĂ©jĂ  grincer les dents de notre pauvre comĂ©dien. Il ne savait pas trop d'oĂč ça lui venait, mais cette derniĂšre annĂ©e il avait prit la police en grippe et toute excuse Ă©tait bonne pour se fritter avec ses agents. Et on fait comment pour les attraper mon grand ? On prie trĂšs fort ? » fit alors remarquer Elliott en employant le mĂȘme ton que l'agent, un poil plus sarcastique. Le bonhomme, nommĂ© Voyd si on s'en rĂ©fĂ©rait Ă  la plaque luisante sur son bureau, haussa d'un sourcil mais ne releva pas la remarque. Il se contenta simplement de lever son digne postĂ©rieur et de retirer les menottes Ă  nos deux lurons. Il parti se rassoir derriĂšre son ordinateur et pianota sur le clavier quelques instants aprĂšs avoir consulter les papiers de nos deux dĂ©linquants. Monsieur Maloy, je vois que vous aimez beaucoup vous en prendre aux agents de police, vous n'en ĂȘtes pas Ă  votre premiĂšre amende, sachez toutefois que nous ne serons pas aussi sympathiques que l'ont Ă©tĂ© vos amis europĂ©ens... ». Tout au plus cette remarque donnait Ă  Elliott une trĂšs jaune envie de rire, mais pour lui faire peur il en faudrait un peu plus. Se renfrognant lĂ©gĂšrement il prĂ©parait une rĂ©partie cinglante lorsque l'agent ouvrit Ă  nouveau la bouche. Ivresse sur la voix publique, conduite en Ă©tat d'Ă©briĂ©tĂ©, dĂ©gradations de biens publics, consommation de substances illicites, insultes Ă  agents, coups et blessures volontaires, trouble de l'ordre, nombreuses rĂ©cidives, je continue ? ». Bon d'accord il Ă©tait peut ĂȘtre plus futĂ© qu'il ne le paraissait. Dans un tout autre contexte, rappeler au jeune comĂ©dien ces multiples dĂ©bilitĂ©s aurait eu, tout au plus, l'impact d'un pet de mouche. LĂ , Quentin Ă©tait prĂ©sent et sur sa chaise, Elliott s'Ă©tait racrapoter. Il n'avait pas besoin que le français sache Ă  quel point il avait touchĂ© le fond durant son "sĂ©jour" en Europe. Vous avez beaucoup de chance qu'on ne puisse pas vous reprocher tout cela sur le sol amĂ©ricain jeune homme, ou vous seriez bon pour un petit tour en prison...». Attendait- on un frisson de peur ou des larmes de repentit ? Car si c'Ă©tait le cas, l'agent pouvait toujours attendre. L'homme s'Ă©tait remis Ă  parler, mais Elliott n'y faisait dĂ©sormais plus attention. Il connaissait leurs sermons, toujours les mĂȘmes. Il allait posĂ© des questions, s'Ă©nerver un peu, faire semblant d'ĂȘtre affligĂ© puis leur balancer une sale excuse de manque de temps ou de besoin d'information de supĂ©rieurs hiĂ©rarchiques pour les garder, les faire mariner un peu en cellule de garde Ă  vue. Une fois la porte fermĂ©e on les menacerait de "graves sanctions" s'il venait Ă  l'idĂ©e des deux amants de recommencer leur tapage et puis ça serait tout. Au bout du compte Ă  part faire perdre un peu de temps aux diffĂ©rents agents mobilisĂ©s dans cette stupide histoire, tout ce cirque n'aura pas servi Ă  grand chose. En attendant ils Ă©taient bien lĂ , en cellule de garde Ă  vue. Tout les deux. Elliott avait Ă©vitĂ© d'ouvrir la bouche une fois de plus, ne voulant pas causer plus de problĂšme Ă  Quentin. Il se fichait bien des consĂ©quences s'il avait Ă©tĂ© le seul Ă  se les prendre en pleine poire, enfoncer le français avec lui par contre... Un français beau Ă  tomber qu'il Ă©vitait d'ailleurs de regarder. Assis, adossĂ© contre un mur, le comĂ©dien gardait obstinĂ©ment les yeux sur ses chaussures. RongĂ© Ă  nouveau pas la culpabilitĂ©. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Mar 9 Nov - 2332 houston nous avons eut un problĂšme ce post revient trĂšs vite !DerniĂšre Ă©dition par Quentin D. Klein le Dim 28 Nov - 404, Ă©ditĂ© 2 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Jeu 11 Nov - 1915 Comme quoi, derriĂšre tout homme se cache, non pas une femme, mais un greemlins. Une sale bestiole qu'on essaye tous, sans exception, de faire taire. On l'Ă©touffe un maximum, on continue Ă  vivre en faisait semblant qu'elle n'est pas lĂ . Et elle, elle s'alimente de notre haine, de nos regrets, de nos coups de gueule. Elle grossit, Ă  chaque erreur elle prend de l'ampleur. Elle devient tellement grosse que cette sale bestiole vous aliĂšne complĂštement. Non aucun homme ne peut ĂȘtre parfait Quentin. Pas mĂȘme Elliott. Et Ă  trop vouloir l'ĂȘtre le ptit bout, tel un Icare en puissance, a fini par se bruler les ailes. Ça pĂšte et une fois que ça a dĂ©versĂ© toute sa rancƓur, la sale bĂȘte redevient un adorable petit chaton qui gambade dans les champs... C'est mignon hein ? Mais de son passage il reste des sĂ©quelles, tout est dĂ©truit, Ă  reconstruire. Les travaux de rĂ©novations Ă©taient tellement rĂ©cents pour le jeune comĂ©dien, que toutes ses Ă©motions contradictoires face Ă  Quentin, menaçaient de tout faire Ă©crouler une fois de plus. C'est pour ça qu'il gardait le silence, pour ça qu'Elliott Ă©vitait de croiser le regard de Quentin. Il avait de nouveau cette impression dĂ©rangeante d'ĂȘtre transparent devant le français, que dans ses grands yeux bleus l'autre patate pouvait tout lire de son dĂ©sespoir. Tout lire d'Ă  quel point il Ă©tait en fait fragile malgrĂ© que les Ă©preuves lui ai appris Ă  afficher une certaine contenance. Peut ĂȘtre qu'en ce moment c'Ă©tait une bonne chose, que Quentin puisse voir Ă  quel point Elliott s'en voulait, mais pour le comĂ©dien c'Ă©tait une autre histoire. Aussi loin qu'il pouvait se le rappeler c'Ă©tait ce qui l'avait toujours perdu dans leur relation. Cette facilitĂ© avec laquelle Quentin le mettait Ă  ses pieds. Et malgrĂ© toutes les bonnes rĂ©solutions du comĂ©dien, cette fois-ci n'allait pas faire sol Ă©tait froid, Elliott fini par se relever, les yeux toujours dans le vague jusqu'Ă  ce qu'une ombre passe dans le paysage. Quentin venait de se poster Ă  cotĂ© de lui. En fait le jeune homme n'avait mĂȘme pas besoin de tourner les yeux pour sentir la prĂ©sence du français. Il se garda d'ailleurs bien de le faire. -TrĂšs bien... en fait j’ai encore une derniĂšre question Ă  te poser pourquoi tu m’as pas rappelĂ© quand tu es rentrĂ© ici ?... T’avais peur que je ne veuille plus t’adresser la parole ? T’avais raison. Je veux plus t’adresser la parole. Je veux plus que tu m’approches. Venir sonner Ă  mon appart, t’y penses mĂȘme pas, sauf si tu veux te faire refaire au carrĂ© ta jolie gueule. Andrea, tu ne lui adresses plus non plus la parole. En fait tu m’oublies totalement, moi et mon entourage, comme tu m’as si bien oubliĂ© cette derniĂšre annĂ©e. En Ă©change je t’oublie aussi. C’est gĂ©nial comme contrat non ?! T’as quelque chose Ă  ajouter avant de signer ?... »Le comĂ©dien lui aurait bien rappelĂ© que la moindre des politesses quand on pose une question, c'est de laisser les gens rĂ©pondre, mais loin de lui l'envie de dĂ©grader un peu plus la situation pour des trucs inutiles. Par contre, pour des choses qui en valaient la peine... Sans qu'il n'ai vraiment pu s'en rendre compte, un rire sarcastique s'Ă©chappa de ses lĂšvres. Pensait-il rĂ©ellement qu'il allait laissĂ© tomber aussi facilement ? Il Ă©tait bien naĂŻf. Si beaucoup de choses avaient fait mal, tous les Ă©vĂ©nements de cette derniĂšre heure avaient Ă©galement rĂ©confortĂ© Elliott. Quentin lui en voulait, qui l'en blĂąmerait, mais si la haine qui lui vouait Ă©tait aussi terrible, c'Ă©tait pour une seule raison au fond. Une raison qui, comme il connaissait Quentin, ce dernier essayait de masquer derriĂšre des tas d'autres excuses. Il l'aimait encore, peut ĂȘtre juste un peu ,mais c'Ă©tait suffisant pour lui faire mal, le faire partir en vrille.... et lui faire dire de telles conneries, accessoirement. Au fond, peut-ĂȘtre que le comĂ©dien s'en voulait un peu pour ça aussi. Peut ĂȘtre aurait-il du le broyer une bonne fois pour toute, faire grimper la haine, dĂ©jĂ  hors normes, d'un cran encore. Faire en sorte que Quentin n'ait plus rien Ă  quoi s'accrocher, pour qu'il l'oublie et qui recommence Ă  vivre "normalement". Peut ĂȘtre. Certains diront que ça aurait Ă©tĂ© la plus belle preuve d'amour. Le laisser partir, vivre loin de tous ce qui lui avait dĂ©truit le cƓur. S'arracher Ă  Quentin, c'Ă©tait comme s'arracher Ă  une partie de lui. Une partie de lui qui, paradoxalement, Ă©tait devenue plus importante pendant cette annĂ©e oĂč il avait Ă©tĂ© loin de lui. S'arracher Ă  Quentin, une bonne fois pour toute, c'Ă©tait comme se mettre un flingue sur la tempe et appuyer sur la dĂ©tente sans attendre. Malheureusement nous sommes tous mĂ»s par un terrible instinct de survie, aussi suicidaire voulons-nous l'ĂȘtre. Avait-il quelques chose Ă  ajouter ? Bien sur ! Il avait un tas de trucs Ă  dire, mais maintenant qu'il tournait ses deux grands yeux vers le visage froid de Quentin, il ne savait plus quoi. Tout ce qu'il savait en fait c'Ă©tait, qu'irrĂ©sistiblement, son corps avait cherchĂ© la promiscuitĂ© de celui du français et qu'instinctivement il s'Ă©tait approchĂ© du brun. Elliott avait beau paraitre imposant en ce moment, peut ĂȘtre qu'il allait se faire dĂ©monter une bonne fois pour toute, mais une seule rĂ©ponse Ă  ce contrat stupide lui tournait inlassablement dans la tĂȘte. Une seule. En un milliĂšme de seconde, les lĂšvres d'Elliott virent kidnapper ses consƓurs. Un frĂ©missement violent lui parcourut l'Ă©chine, mais avant mĂȘme qu'il ait eu le temps de profiter de ce contact enivrant, des clĂ©s se glissĂšrent dans la serrure de la cellule. Jeunes gens, vous ĂȘtes libres, mais qu'on n'ait plus Ă  se plaindre de vous...». Il avait le chic pour leur tomber dessus dans les moments les moins adaptĂ©s lui, c'Ă©tait inhumain. Obliger ainsi Elliott a quitter les lĂšvres de Quentin. Rien que pour ça il devrait mourir au bĂ»cher. Ne t'en fait pas pour l'autre grognasse Quentin, je donnerais n'importe quoi pour la rayer de ma mĂ©moire, mais toi... Si Ă  en un an et des milliers de kilomĂštres il n'y a pas eut moyen de t'oublier, c'est pas ton contrat Ă  la con qui y arrivera... ». Sur ce, le comĂ©dien se dĂ©tourna le cƓur serrĂ© du français et exĂ©cuta l'agent de police du regard. Agent de police qui les regardait d'ailleurs assez bizarrement et ne fit pas trop attention au regard assassin du jeune homme. Je vous parie qu'il n'a pas l'habitude de mettre deux types prĂȘts Ă  s'entre tuer en cellule et les retrouver occupĂ© Ă  se bĂ©coter... ça doit lui faire un choc, le pauvre. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Dim 28 Nov - 405 When my honey comes back, ,sometimes I'm gonna rap that jack, sometimes... C'Ă©tait sans doute la derniĂšre chose Ă  laquelle il s'attendait. Ou peut-ĂȘtre pas. Qui sait. Si ça se trouve il s'Ă©tait rapprochĂ© aussi prĂȘt justement pour inciter le comĂ©dien Ă  faire ça, parce qu'il en crevait d'envie. Genre, mĂȘme si c'Ă©tait ça, vous croyez vraiment que Quentin l'aurait avouĂ© ? MĂȘme pas dans tes rĂȘves, Elliott Maloy ! MĂȘme si cette rencontre Ă©tait tellement agrĂ©able qu'elle faisait courir des frissons sur sa peau, qu'elle foutait son coeur en pagaille totale, Ă  la limite de l'arrĂȘt cardio vasculaire. Putain, mais qu'est ce qu'il foutait lĂ  ? Il detestait ça. Jamais il ne s'Ă©tait senti aussi mal...ni aussi bien, aussi Ă©trange que ça pouvait paraitre. Il n'aurait jamais cru Elliott capable de faire ce genre de chose de son propre chef. Pas dans un moment pareil en tout cas... C'Ă©tait troublant de constater ainsi les changements qui s'Ă©taient opĂ©rĂ©s chez le comĂ©dien. Avait-il changĂ© lui aussi ?Bordel, mais qu'est ce qu'il avait foutu en Belgique ? Il fallait qu'il lui demande... qu'il le supplie de rester avec lui, de l'embrasser encore, de ne plus l'abandonner. Il aurait dut ramper Ă  ses pieds. Mais qui Ă©tait ce "Il" ? Fallait que Quentin demande putain. C'Ă©tait le moment. Apres, ça serait trop tard. Il connaissait dĂ©ja la suite des Ă©vĂšnements. En sortant il prendrait le premier taxi qui passe pour s'enfuir. ça n'aurait pas dut ĂȘtre lui, mais pourtant ça l'Ă©tait. Elliott aurait dut dĂ©guerpir, il ne l'avait pas fait. Il aurait dut trembler devant sa fureur, se faire tout petit, s'excuser. Rien. Et Quentin ne l'avait mĂȘme pas blesser, en vĂ©ritĂ©. Ce n'Ă©tait rien comparĂ© Ă  tout ce qu'il s'Ă©tait imaginĂ© pouvoir lui faire subir...Mais demande bordel !Il commençait tout juste Ă  formuler la question adequate dans son esprit lorsqu'un bruit de cliquetis dans la serrure interrompit le le moment Ă©tait passĂ©, c'Ă©tait trop tard maintenant. Fallait te rĂ©veiller plus tĂŽt coco ! Domage pour toi, repasses ton tours. Devoir se dĂ©tacher de ses lĂšvres fut douloureux. Se rendre compte qu'il avait rĂ©pondu au baiser avec une ardeur dont il ne se serait jamais cru capable... un putain de choc. Et une erreur, une de plus. C'Ă©tait dĂ©cidĂ©, Ă  partir de maintenant, il ne craquerait plus. Plus pour Elliott. Plus jamais. C'Ă©tait une dĂ©cision bien cruelle et sombre, mais nĂ©cessaire. MĂȘme s'il l'aimait encore, il ne voulait plus du comĂ©dien...ou alors, il le voulait encore. Mais Ă  un tel point que cette perspective le terrifiait. Il aurait dut le hair. Et il le haissait, mais cette haine Ă©tait au moins Ă©gal Ă  la passion qui le rongeait fĂ©rocement, une passion qui lui donnait envie de se jeter Ă  nouveau sur ce lĂšvres si attirantes...ces lĂšvres qui ne lui appartenaient le gardien il se retrouva bien vite dehors, enfin libre. Il Ă©tait temps. Il avait passĂ© environ une heure lĂ  dedans. Bilan 12 appels manquĂ©s et un sms inutile de me rappeler. Aha, la bonne blague. Pourquoi sa vie partait en lambeau dĂšs qu'Elliott pointait le bout de son nez ? Mais merde, rentre chez toi, rentre en Belgique, fiche moi la paix !! Il avait l'impression de jouer dans une trĂšs mauvaise sĂ©rie B. Qui Ă©tait l'enculĂ© de scĂ©nariste ? Qui devait-il tuer pour toutes ces conneries ? Pour sortir de ce bordel ?!?Il arrĂȘta un taxi et se tourna vers le comĂ©dien, avec la ferme intention de lui dire adieu une bonne fois pour toute. Une fois de plus, ce qui sortit de sa bouche fut diffĂ©rent -Tu rentres comment ? »Ba oui, mine de rien, il avait bien remarquĂ© qu'Elliott avait rembarĂ© ses "amis", qui Ă©taient peut-ĂȘtre rentrĂ©s chez eux. Mais peut-ĂȘtre qu'il Ă©tait venu Ă  pied, qu'il avait pris le mĂ©tro ou le bus... -A moins que tu aies encore des prospectus de merde Ă  distribuer ? Dans ce cas ciao. » Il monta dans le taxi, n'attendant mĂȘme pas la rĂ©ponse d'Elliott. Au fond, mĂȘme s'il esperait que ce dernier monterait dans le taxi pour pouvoir grapiller encore quelques minutes avec lui, il dĂ©sirait Ă©galement, pour sa propre survie, que ce dernier refuse et rentre chez lui par ses propres moyens. Et oui, c'Ă©tait sans doute le mieux. Il donna son adresse, le taxi ne se retourna pas. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Mar 7 DĂ©c - 2144 Il resta lĂ , Ă  regarder le taxi s'en aller. S'ils avaient Ă©tĂ© dans une vrai sĂ©rie B de merde pour sur Elliott aurait couru derriĂšre le taxi, mais ils s'Ă©taient dĂ©jĂ  assez fait remarquer comme ça et de toutes façon ses jambes ne le soutenaient plus qu'Ă  peine. Le temps que la voiture ne tourne le coin de la rue, qu'il s'assaillait sur le bord du trottoir. Il n'y avait pas grand monde qui passait et de toute façon ça lui importait peu de passer pour un clodo en ce moment. La tĂȘte lui tournait, comme s'il n'avait plus respirĂ© depuis des lustres, comme s'il s'Ă©tait droguĂ© et qu'il retombait trop subitement sur terre. La figure dans les mains il tentait de calmer les battements de son cƓur en se concentrant sur sa respiration. Mais plus les images de ces derniĂšres heures lui tournait dans la tĂȘte plus il lui semblait que l'air lui manquait, qu'il sortait d'un mauvais rĂȘve. Il s'Ă©tait donc appliquĂ© Ă  faire le vide, ne plus penser Ă  rien, plus facile Ă  envisager qu'Ă  faire cela dit, il rĂ©ussit aprĂšs quelques minutes d'acharnement. Un quart d'heure et quelques bouffĂ©es d'air plus tard, il se relevait enfin. Machinalement il sortit une clope, la porta Ă  ses lĂšvres et l'alluma. Tirant dessus plus par automatisme que par rĂ©elle envie. Il sorti son cellulaire. Justin avait tenter de l'appeler plusieurs fois et lui avait envoyĂ© quelques messages alarmĂ©s. Il rassura son ami, lui disant de ne pas s'inquiĂ©ter, qu'il allait bien et qu'il essayerait de passer Ă  la rĂ©pĂšte demain s'il trouvait le moyen de masquer un peu le coquard qu'il avait dĂ©sormais. Tout Ă©tait faux bien entendu. Il n'allait pas bien, quand bien mĂȘme il Ă©tait encore plus mal quelques minutes plus tĂŽt. Il aimait bien Justin, c'Ă©tait quelqu'un de sympa, inutile de le stresser avec ses Ă©tats d'Ăąme. États d'Ăąme Ă  la limite du suicidaire si on prĂȘtait attention Ă  cette lueur dĂ©sespĂ©rĂ© qui s'Ă©tait immiscĂ©e dans le bleu des yeux d'Elliott alors qu'il regardait la circulation. Comme si se jeter sous une voiture Ă©tait l'idĂ©e la plus agrĂ©able au monde. A quelques dĂ©tails prĂšs, c'Ă©tait bien l'idĂ©e la plus agrĂ©able qu'il ait en ce moment en tout cas. Il termina sa cigarette, dans le gaz, avant d'enfoncer ses mains dans son jeans et de prendre le chemin vers chez lui. Il Ă©tait venu avec la voiture de Caleb, d'ailleurs il Ă©tait certain d'avoir laisser sa veste dedans. L'envie de se mĂȘler Ă  la foule du mĂ©tro Ă©tant rĂ©duite au stade zĂ©ro, il choisit donc de retourner Ă  pied. Ça lui laissait un sacrĂ© bon trajet pour rĂ©flĂ©chir. Car oui c'Ă©tait reparti, dans la tĂȘte d'Elliott, on recommençait Ă  analyser, Ă  stocker, Ă  se souvenir. Et quels souvenirs... Se rappelant doucement le dĂ©but de l'altercation, le jeune comĂ©dien grimaça. Ça fait mal hein ? Être dĂ©laissĂ© par celui Ă  qui on avait fini par s'abandonner...» Il n'arrivait pas Ă  croire avoir prononcer de telles paroles. C'Ă©tait purement ignoble ! Pas Ă©tonnant que Quentin soit partit en vrille lui aussi. Avec le recul, il lui semblait nĂ©anmoins que celui qui Ă©tait le plus parti en freestyle c'Ă©tait bien lui, le type qui un an plus tĂŽt aurait encaissĂ© sans faire quoi que se soit. Pourtant Quentin Ă©tait le roi de l'impulsivitĂ©, c'Ă©tait Ă  lui qu'aurait du revenir ce titre honorifique de pĂ©teur de cĂąble ! Sans oublier que le français avait une raison de plus que lui pour le faire... Au dĂ©but il avait relancer la scĂšne dans sa tĂȘte avec l'espoir d'y comprendre quelque chose, d'y dĂ©celer des choses qu'il n'aurait pas capter sur le moment, mais rien Ă  faire. IntĂ©rieurement il rĂ©agissait exactement comme il l'avait fait sur ce trottoir en face de Quentin. Son souffle c'Ă©tait a nouveau coupĂ© et son cƓur avait fait un bruit de verre brisĂ© au souvenir de Ma vie est un enfer depuis que je te connais, connard !! », il avait grondĂ© mĂ©chamment Ă  l'Ă©goĂŻste et injuste Bouhouhou, j’allais mal alors je suis parti !», son estomac s'Ă©tait retournĂ© de surprise en se remĂ©morant le baiser "forcĂ©" de Quentin, tout comme il s'Ă©tait contractĂ© de dĂ©goĂ»t Ă  l'image du brun s'Ă©loignant fier de sa "vengeance". DĂ©cidĂ©ment, il lui faudrait repasser le triste film de ces derniĂšres heures plus d'une fois avant de pouvoir le regarder froidement, pour le dĂ©cortiquer comme si ce qu'il venait de vivre s'Ă©tait passĂ© dans la vie d'un autre. Dans la peau d'un autre, de l'autre qu'il Ă©tait devenu malgrĂ© lui. Lorsqu'il sembla Ă©merger un peu de ses moroses pensĂ©es, il aperçu une fleuriste occupĂ©e Ă  rentrer ses fleurs avant la fermeture. Il ne savait pas trop ce qu'il faisait, il savait juste qu'il Ă©tait entrĂ© dans la boutique et avait demandĂ© mollement la plus jolie des jonquilles qui lui restait. Était-ce parce qu'elle Ă©tait pressĂ©e ou par ce qu'Elliott semblait au bord du malaise, qu'elle lui offrit la jolie fleur sans rien dire ? Peut lui importait au bout du compte le rĂ©sultat Ă©tait le mĂȘme. Le nez Ă  quelques millimĂštres de la fleur, il rentra chez lui. Mais chez lui rien ne l'attendait, en fait, les piĂšces lui semblaient plus vides que jamais. Un soupir gros comme le monde s'immisça d'entre ses lĂšvres avant qu'il n'aille machinalement s'Ă©crouler sur son lit. Il n'avait mĂȘme pas eu le temps de se dire Ă  quel point il Ă©tait pitoyable qu'il s'Ă©tait dĂ©jĂ  endormi. Sommeil de courte durĂ©e, il fut rĂ©veillĂ© par une fiĂšvre bizarroĂŻde. Lorsqu'il ouvrit les yeux, la premiĂšre chose qu'il vit, fut cette foutue jonquille et cela lui donna une idĂ©e. Aussi vivement qu'il ne pouvait le faire dans son Ă©tat semi comateux, il farfouilla dans ses affaires classĂ©e "Secret d'État" pour en sortir une photo qu'il avait fait Ă  l'occasion d'une ballade avec Quentin. Elle le fit sourire un instant, celui d'aprĂšs il avait dĂ©tournĂ© les yeux. Attraper le taureau par les cornes, telle Ă©tait son grand projet. Le voyage lui paru anormalement court, il s'Ă©tait retrouvĂ© sur le perron du français avant mĂȘme d'avoir rĂ©ellement rĂ©alisĂ© qu'il allait vraiment le faire. Il laissa cet Ă©tat de loque reprendre le dessus, ça l'empĂȘchait de ressentir quoi que se soit d'autre que du vide et de laisser la fleur et sa photo sur le paillasson comme si ça avait Ă©tĂ© aussi naturel que de mettre une lettre dans la boite aux lettres. Il ne s'Ă©ternisa pas, retomber sur Quentin n'Ă©tait peut ĂȘtre pas la meilleure chose Ă  faire aujourd'hui. Il s'en Ă©tait pris suffisamment dans la gueule pour le moment, autant l'un que l'autre. C'est dans son canapĂ©, devant une bĂȘtise d'Ă©mission qu'Elliott s'enlisa dans un sommeil sans rĂȘve, avec comme l'intention de ne jamais plus se rĂ©veiller. Contenu sponsorisĂ© Empire State of Mind Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Today, i've got nothing to lose. Elliott Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumNEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclage yBEU3.
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