Eneffet, nous avons prĂ©parĂ© les solutions de CodyCross Chaise installĂ©e sur un Ă©lĂ©phant en Asie. Ce jeu est dĂ©veloppĂ© par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisĂ©s, les mots sont Ă  trouver Ă  partir de leurs dĂ©finitions.

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\n \nchaise installée sur un éléphant en asie
StatueĂ©lĂ©phant ThaĂŻlandais Old White - Jardin. Une statue de jardin riche de significations qui donnera du cachet Ă  votre dĂ©coration dans un style zen et exotique. PrĂ©vue pour une exposition intĂ©rieure comme extĂ©rieure grĂące Ă  son traitement contre les intempĂ©ries, vous pourrez l'installer oĂč bon vous semble dans un salon, un jardin ou une entrĂ©e. Cliquer sur les images pour agrandir Nous voici donc en Inde, le 7 novembre, Ă  20 h 30. Direction l’hĂŽtel que nous avions rĂ©servĂ© par internet hĂŽtel minable
 Nous sortons pour nous restaurer, c’est notre premier choc ! Les vaches dans les poubelles, des rats grouillent dans leurs pattes
 les odeurs ! Et cerise sur le gĂąteau, le bruit ! DĂšs le matin, nous quittons l’hĂŽtel
 pour un autre, aussi minable ! Nous dĂ©cidons de nous organiser un peu mieux et passons quelques heures Ă  trouver un hĂŽtel convenable. Nous avons l’impression d’ĂȘtre dans une fourmiliĂšre humaine, abrutis par le bruit des klaxons
 le trafic est dense ! La rue nous rĂ©serve plein de surprises les vaches, les chĂšvres, les chiens, les chats, les pauvres, les mendiants, des familles entiĂšres qui dorment et vivent sur les trottoirs
 et tout çà au milieu des Ă©choppes de toutes sortes et des dĂ©tritus. Voici donc Bombay avec ses 17 millions d’habitants ! Du coup, le 9 novembre, nous nous installons au Crystal HĂŽtel, pour quelques nuits. La mise Ă  jour du blog de l’Iran nous prend une journĂ©e. 10 novembre Un peu de repos bien mĂ©ritĂ©, escapade sur Elephanta Island. On pensait y trouver le calme
 çà grouille de monde peut-ĂȘtre parce que c’est dimanche et surprise, il y a des singes. Nous y avons visitĂ© des grottes avec des Shiva immenses sculptĂ©s dans la roche. Les boutiques de souvenirs sont nombreuses pire qu’au Mont St Michel!, l’embarquement est folklorique çà passe d’un bateau Ă  l’autre et le dĂ©barquement se fait dans la bousculade. 11 novembre mĂȘme pas fĂ©riĂ© ici ! aprĂšs avoir rĂ©servĂ©s nos billets de train pour Aurangabad passeports obligatoires, nous allons voir le Crawford Market. Et lĂ , c’est inoubliable ! Une cohue indescriptible dans un fond sonore infernal
 12 novembre l’aprĂšs-midi nous visitons la mosquĂ©e Haji Ali çà nous manquait ou quoi?, bien diffĂ©rente des mosquĂ©es d’Iran. Nous poursuivons par la visite d’un temple et dĂ©couvrons ses rituels il faut entrer pieds nus, les femmes rentrent d’un cĂŽtĂ©, les hommes de l’autre, avec des offrandes dans les mains fleurs, fruits, gĂąteaux, tissus
. Et les photos sont interdites dommage. Les filles ressortent avec leur premier point rouge sur le front.. 13 novembre Visite du bidonville de Bombay Dharavi, le plus grand d’Asie, par l’Association Reality tours. Nous avons Ă©tĂ© surpris par l’organisation interne. De petites industries rĂ©cupĂ©ration et recyclage de plastiques et de ferrailles, travail du cuir, du textile et fabrication de gĂąteaux
 existent, avec des conditions de travail et de vie dĂ©plorables. Nous avons empruntĂ©s des passages trĂšs Ă©troits, avec une rigole au milieu, conduisant Ă  des habitations trĂšs sommaires. Nous y avons rencontrĂ© beaucoup d’enfants, sourires aux lĂšvres, malgrĂ© leur environnement. Nous pensons avoir vu la partie clean » du bidonville. Nous sommes plus choquĂ©s par la misĂšre des rues qu’ici. D’aprĂšs le guide, ce bidonville est appelĂ© Ă  disparaĂźtre dans quelques annĂ©es au profit de buildings
 Le soir, nous allons Ă  Victoria Station prendre le train pour Aurangabad Ă  380 km. Jolie gare, mais bourrĂ©e de monde, comme d’hab ! Nous avons droit aux couchettes, 6 d’un cĂŽtĂ© du compartiment, et 2 de l’autre. La nuit fut agitĂ©e passages de vendeurs ambulants, du contrĂŽleur, des gens qui vont, qui viennent, qui parlent, qui mangent, qui tĂ©lĂ©phonent
. ArrivĂ©s Ă  5 h 00 du mat au lieu de 4 h 00, pas frais mais entiers
 14 novembre aprĂšs avoir un peu rĂ©cupĂ©rĂ© Ă  l’hĂŽtel, nous visitons Aurangabad en rickshaw. Nous commençons par une caserne de pompiers. Le boss est sĂ©rieux, le personnel au garde Ă  vous. On termine par l’inspection des camions
 dommage que les Ă©changes soient limitĂ©s par le langage. Ensuite, nous continuons par le mini taj mahal Bibi-ka-Maqbara, le moulin Ă  eau Panchakki et terminons par le market. 15 novembre nous partons en taxi pour la journĂ©e, avec Tom un jeune anglais qui parle français, et 4 indiens qui parlent hindi. Nous dĂ©butons par la forteresse de Daulatabad c’est trĂšs grand et trĂšs haut – bonjour les genoux!. Il y a des singes lĂ  aussi, et des petits Ă©cureuils Ă  rayures. Forteresse de Daulatabad Avant le lunch, nous nous arrĂȘtons dans un temple Ghrishneswar, lieu de pĂ©lerinage. On fait la queue pieds nus çà va assez vite, les hommes doivent entrer torse nu tiens, une nouveautĂ©, et les filles ressortent avec un point rouge sur le front le 2Ăšme !. L’aprĂšs-midi est consacrĂ©e aux grottes d’Ellora. Il y en a 34, nous ne visiterons que les plus belles. Surtout une, le temple de Kailasa, demeure de Shiva. C’est la plus grande structure monolythique du monde entiĂšrement creusĂ©e dans la roche. C’est vraiment grandiose !!! De toute beautĂ©. Aux grottes d’Ellora Le 16 novembre, aprĂšs avoir fait un peu de shopping, retour sur Bombay par le train, mĂȘme chose qu’à l’aller
 en plus agitĂ© ! Nous passons 4 jours Ă  Bombay ballades, recherche d’assurance pour les camping-cars infructueuse, visite de Bollywood Robert et Anne-Marie, 
 Sans nouvelles des camping-cars, nous dĂ©cidons de prendre le train pour Navi Bombay, afin de rencontrer le contact qui nous a Ă©tĂ© donnĂ© en Iran. Et lĂ , surprise, surprise ! Il s’avĂšre que ce n’est pas cette agence de shipping qui s’occupe du transfert de nos camping-cars. Cependant, on nous renvoit sur la bonne agence, qui se trouve Ă  Bombay ! Et, cerise sur le gĂąteau, nous apprenons que nos camping-cars sont toujours en Iran ! Le cargo est parti sans eux, et on ne sait pas trop pourquoi
 on apprendra plus tard qu’ils ont Ă©tĂ© passĂ©s aux rayons X ?, pour voir s’il n’y avait pas de drogue Ă  l’intĂ©rieur
 .Du coup, il faut attendre le prochain cargo, et d’aprĂšs notre contact iranien, pas avant fin novembre ! Et cet imprĂ©vu ne nous amuse guĂšre
 Il faut revoir le programme. A Navi Bombay nous rencontrons un couple d’indiens qui nous invitent chez eux pour le dĂźner. Ils nous ont emmenĂ©s chez eux en moto Ă  3 sur l’engin. Le Monsieur est Pasteur, et nous avons droit Ă  la priĂšre avant le repas. Pour rejoindre Bombay, le train du dimanche soir est archi comble. A tel point, que nous ratons le 1er train qui se prĂ©sente
 et le 2Ăšme, il faut pousser pour pouvoir le prendre , il faut le vivre pour le croire !!! Le lundi 25 novembre est consacrĂ© Ă  la recherche d’un circuit organisĂ© dans le KĂ©rala. C’est trĂšs rapide puisque nous prenons l’avion le mercredi 27 novembre pour Cochin. LE KERALA Nous sommes accueillis par Tchadi, notre chauffeur pour la semaine. Le climat est encore plus chaud qu’à Bombay et trĂšs humide. Le paysage est surprenant, de l’eau partout ! C’est vert, c’est tropical, c’est magnifique. L’aprĂšs-midi sera consacrĂ©e Ă  la visite de Cochin, l’église St François dans laquelle Vasco de Gama a Ă©tĂ© enterrĂ© au dĂ©but, le palais nĂ©erlandais, les filets de pĂȘche chinois, la synagogue, la mer
 Le 28 novembre, nous nous rendons Ă  Munnar, dans les terres. çà nous donne un aperçu des routes de montagnes indiennes il nous a fallu 4 heures, pour faire 150 km en voiture
. En cours de route, nous nous arrĂȘtons faire une ballade Ă  dos d’élĂ©phant. Eh bien c’est haut ! et en plus, c’est large un dos d’élĂ©phant Le soir, nous assistons Ă  un spectacle d’art martial de Kalarippayattu, Ă  l’origine de tous les arts martiaux. C’est du beau spectacle, çà nous a plu Ă  tous. Ce sont de belles performances de souplesse,
 un peu comme nos Robert ! Le 29 novembre, nous dĂ©butons la journĂ©e par le parc national d’Eravikulam. Nous y rencontrons tigres, Ă©lĂ©phants, tahrs, chiens et chats sauvages, 
 mais seulement sur images. Nous ne verrons que des tahrs espĂšce de chamois. Notre circuit se dĂ©roule au coeur des plantations de thĂ©, ce qui nous offre un paysage curieux, mais de toute beautĂ©. Nous visitons le musĂ©e du thĂ©, les explications en anglais sont ma foi bien difficiles Ă  comprendre, mais nous sommes pris en main par un employĂ© bien patient. Le lendemain, nous faisons route vers Thekkadi. En chemin, nous nous arrĂȘtons dans un jardin d’épices et plantes mĂ©dicinales mais dommage, peu d’épices
. Nous y voyons quand mĂȘme une fleur de cardamone. L’aprĂšs-midi, nous nous offrons une ballade sur le lac dans la rĂ©serve naturelle de Periyar. Nous y observons la faune
 mais de loin Ă©lĂ©phant, antilopes, singes, bisons et de nombreux oiseaux. Mais ce qui nous a plu le plus dans notre circuit, c’est notre mini croisiĂšre dans un houseboat » sur les backwaters d’Alleppey. Nous avons embarquĂ© tous les 4 en fin de matinĂ©e, accueillis avec colliers de fleurs de jasmin et jus de noix de coco. Un bateau rien que pour nous, avec 3 personnels. La journĂ©e a Ă©tĂ© rythmĂ©e par le dĂ©jeuner, le dĂźner et la lente navigation sur les canaux. Nous avons passĂ© notre temps Ă  contempler riziĂšres, maisons isolĂ©es, oiseaux et fleurs
 En soirĂ©e, nous nous arrĂȘtons prĂšs d’une petite maison sous les cocotiers et en profitons pour goĂ»ter une dĂ©licieuse boisson locale issue de la branche du cocotier Toddy c’est INFAME !!!! Mais que la nuit a Ă©tĂ© tranquille ! Le bruit des klaxons ne nous a pas manquĂ© ! Mais Ă  7 h 30 du mat’, dĂ©marrage ! Puis retour sur la terre ferme aprĂšs un bon petit dĂ©jeuner Le 2 dĂ©cembre, nous arrivons Ă  Kovalan, petite station balnĂ©aire. Il y fait trĂšs chaud. Le lendemain, nous visitons Trivandrum, son zoo, ses plages. Au zoo, animaux classiques tigres, lĂ©opards, lions, guĂ©pards, oiseaux, ours, crocodiles
 mais ce qui nous a impressionnĂ© le plus, c’est la dimension des bats dans les arbres au-dessus de nos tĂȘtes ! Jamais nous n’en avions vu d’aussi grandes ! La fin de journĂ©e se termine Ă  la plage, oĂč les Robert se font un plaisir d’aider les pĂȘcheurs Ă  pousser leurs bateaux Ă  la mer Le lendemain matin, nous assistons Ă  une pĂȘche au filet depuis la plage. Et bien, c’est vraiment Ă  voir ! Les filets, disposĂ©s en arc de cercle, sont reliĂ©s Ă  la plage par des cordes sur lesquelles tirent les pĂȘcheurs. Ils sont nombreux et la manoeuvre est scandĂ©e par leurs voix. Cette pĂȘche dure plusieurs heures. A Kovalan, nous profitons des plaisirs de la baignade, en piscine et en mer. Et alors, lĂ , on n’ose mĂȘme pas vous le dire, mais elle est super BONNE, malgrĂ© ses grosses vagues. Le 5 dĂ©cembre, nous apprenons que nos campings-cars sont enfin partis d’Iran et devraient arriver vers le 11 ou 12 dĂ©cembre. Nous dĂ©cidons de repartir faire un petit circuit dans le Tamil Nadu LE TAMIL NADU Le 6 dĂ©cembre, nous quittons Kovalan, avec un nouveau chauffeur, Sady, vers le cap Camarin Kanyakumari, le bout de l’Inde ! En chemin, nous faisons un tour de bateau dans une mangrove, puis visitons le palace Padmanabhapuram. C’est le palace en bois le mieux conservĂ© au monde. Ne vous fiez pas Ă  la photo, il est magnifique, trĂšs grand, nous y entrons pieds nus
 mais non autorisĂ©s Ă  prendre de photos Ă  l’intĂ©rieur. Nous finissons la journĂ©e par un temple, trĂšs ancien, Sucheendram. Un guide nous prend en main et nous donne plein d’explications sur Vishnu, Shiva, Brahma
 Nous avons mĂȘme droit Ă  une dĂ©monstration de musique sur les colonnes en pierre ! Toujours pas de photos intĂ©rieures. Deux Ă©normes chars Ă©taient devant le temple en prĂ©vision de la prochaine fĂȘte religieuse. Le lendemain, avant de quitter Kunyakumari, nous prenons le bateau pour Vivekananda Rock 1 heure d’attente pour 5 mn de traversĂ©e
 Il s’agit d’un rocher sur lequel a Ă©tĂ© construit un mĂ©morial et un centre de mĂ©ditation. Sur le second rocher, non accessible, se trouve le mĂ©morial de Gandhi. Allez maintenant en route pour Madurai ! 270 km, sur les routes indiennes, vous n’imaginez mĂȘme pas ! Entre les motos, rickshaws, voitures, camions, bus, vaches, chiens, chĂšvres, singes, dindons, piĂ©tons
 il faut se frayer un chemin ! Heureusement, notre chauffeur Sady est vigilant
 mais nerveux. Bonjour les coups de frein, de volant, d’accĂ©lĂ©rateur, et de klaxon tout le temps. Ah, la route, çà fatigue ! Mais nous avons le courage, en fin de journĂ©e, de visiter le temple de Madurai Sri Meenakshi. Avant d’y entrer, les Robert sont obligĂ©s de s’habiller Ă  l’indienne ils passent un dhoti qui leur sied trĂšs bien. Le temple est trĂšs grand, on y entre par 4 gopuras de presque 50 mĂštres de haut, et recouvertes de sculptures trĂšs colorĂ©es et extravagantes ». C’est magnifique. A l’intĂ©rieur, il y a une vĂ©ritable ferme, de vaches sacrĂ©es une cinquantaine!. Tous les espaces religieux ne sont pas accessibles aux non hindous. Avant de sortir, Robert celui d’Anne-Marie fait un don Ă  un Ă©lĂ©phant qui le remercie en lui assĂ©nant un coup de trompe sur la tĂȘte. EspĂ©rons que çà va lui porter chance. Le lendemain, avant de quitter Madurai, un petit saut au palais de Tirumalai Nayak. Il a certainement dĂ» ĂȘtre magnifique, mais il n’en reste pas grand chose. L’aprĂšs-midi, nous arrivons Ă  Trichy. AprĂšs avoir dĂ©posĂ© nos bagages Ă  l’hĂŽtel, nous allons voir l’immense temple de Ranganatha swani, dĂ©diĂ© Ă  Vishnu, sur l’üle de Shrirangan. Il est encore plus grand que celui de Madurai, il comporte 7 enceintes, mais nous n’en visitons que 4 partiellement. Il faut ĂȘtre hindou pour pĂ©nĂ©trer dans les 3 enceintes centrales, la derniĂšre Ă©tant surmontĂ©e d’un dĂŽme recouvert de feuilles d’or. Puis, Anne-Marie et Robert celui de HĂ©lĂšne font l’ascension du fort du rocher Rock Fort et au bout de 200 marches environ, ils arrivent au temple dĂ©diĂ© Ă  Ganesh. Ils ont une vue magnifique sur toute la ville et les alentours. Robert l’autre se repose car il a mal Ă  un orteil suite Ă  un coup dans un tabouret la veille 
 et HĂ©lĂšne reste avec lui. 9 dĂ©cembre encore 270 km, dans les mĂȘmes conditions que l’avant-veille, pour rejoindre PondichĂ©ry. L’aprĂšs-midi, visite d’un centre mĂ©dical Robert a une fracture du petit orteil, et Anne-Marie fait une allergie aux piqĂ»res de moustiques ! Ah la la, quelle Ă©quipe ! Le lendemain, nous visitons PondichĂ©ry. Nous pensions y trouver un petit coin de France, et sommes déçus ! Il ne reste que les noms de rues en français, du cĂŽtĂ© du consulat, et les kĂ©pis des policiers. De plus, PondichĂ©ry est bien connu pour ses bars et ventes d’alcool. Un reste de France ?? Nous nous promenons le long de la mer, trĂšs agitĂ©e, et nous arrĂȘtons Ă  l’église Notre-Dame des Anges. La messe y est encore dite en français chaque dimanche. Mais pas de chance, nous sommes mardi
 Du coup, nous allons nous recueillir dans l’ashram de Sri Aurobindo et de la MĂšre », sa compagne, lieu de retraite pour personnes en quĂȘte de spiritualitĂ©. Et non loin de lĂ  se trouve Auroville, citĂ© internationale se voulant universelle sans religion, sans nationalitĂ©, sans hiĂ©rarchie sociale imaginĂ©e par Sri Aurobindo et mise en chantier par la MĂšre » en 1968. Dans l’enceinte d’Auroville, on peut voir un arbre centenaire, de 50 m de diamĂštre un banian et non loin de lĂ  le matrimandir, sphĂšre gĂ©ante recouverte de feuilles d’or, lieu de mĂ©ditation ouvert aux initiĂ©s. D’ailleurs, on se demande si nous n’allons pas revendre nos campings-cars, afin d’aller passer notre retraite au sein de cette communautĂ©, pour y trouver la paix intĂ©rieure... En entrant Ă  l’hĂŽtel, bonne nouvelle, nous apprenons que les campings-cars sont arrivĂ©s en Inde. Et nous ne sommes mĂȘme pas lĂ  pour les rĂ©ceptionner ! Zut alors ! Il nous faut patienter encore 2 jours, le temps de rejoindre Chennai et de prendre l’avion pour Bombay, le 12 au matin. LE MAHARASHTRA Jeudi 12 dĂ©cembre Nous revoici Ă  Bombay, dĂšs 7 h du mat’
 avec nos sacs Ă  dos. 1Ăšre chose direction le bureau de M. Amol, de la SALZ LOGISTICS, notre transitaire. Nous y passons 3 heures, pas trĂšs agrĂ©ables car d’entrĂ©e il nous annonce un coĂ»t de 12 000 €. Ensuite, il nous indique les conditions pour la rĂ©cupĂ©ration des camping-cars, dĂ©douanement, dĂ©chargement, sans compter qu’il nous annonce des dĂ©lais fluctuants, et payants. AprĂšs discussion, le coĂ»t tombe Ă  2 700 € pour les 2 campings-cars, ce qui nous parait encore excessif. Nous nous quittons en prenant rendez-vous pour le lendemain, pour nous rendre au port. Vendredi 13 dĂ©cembre Nous partons au port, plein d’espoir. 1er arrĂȘt aux douanes HĂ©lĂšne et Robert sont obligĂ©s d’attendre dans la voiture, et il fait chaud
. AprĂšs 3 heures d’attente, on ne sait pas trop pourquoi
 un douanier se promĂšne pourtant avec nos dossiers, il va, il vient
 on attend soit-disant une signature
, on va voir nos campings-cars ! Ils sont sur un camion. Ah quel plaisir de les retrouver. Mais on ne pourra pas repartir avec, et demain c’est samedi, les douanes sont fermĂ©es. Donc, il faut attendre lundi ! Retour Ă  l’hĂŽtel, bien déçus et avec encore beaucoup d’interrogations pour la suite
 surtout qu’il a fallu verser la moitiĂ© de la rançon » en cash
 Lundi 16 dĂ©cembre De retour au port, avec nos sacs Ă  dos. Nous retrouvons les bureaux de la douane un bien grand mot, un canapĂ© crasseux oĂč on hĂ©site Ă  s’asseoir et attendons encore, et encore. On nous dit 10 mn, 15 mn
 on nous amĂšne quand mĂȘme Ă  manger un sandwich indien mais dans la voiture. Finalement nous attendrons la journĂ©e entiĂšre. Il manque encore une signature l’officier des douanes est dĂ©bordĂ© et tout seul
 normalement, ils sont trois. On passe voir les campings-cars, qui ne sont plus sur le camion, mais encore sur le flat-rack. Nous constatons qu’ils ont Ă©tĂ© abĂźmĂ©s au dĂ©chargement. Retour Ă  l’hĂŽtel, avec nos sacs Ă  dos
 Le moral est au plus bas ! Notre transitaire nous donne rendez-vous pour le lendemain matin. Mardi 17 dĂ©cembre De retour au port, avec nos sacs Ă  dos, mais Ă  12 heures cette fois, M. Amol Ă©tait en retard. 1er arrĂȘt aux douanes on commence Ă  connaĂźtre, toujours le mĂȘme canapĂ© et on attend les 2 derniĂšres signatures. Bon, ça y est. Le paiement maintenant, en cash, dans la voiture, sans les filles ! Comme dans les films de gangsters
 Maintenant, nous pouvons enfin aller chercher nos campings-cars et lĂ , surprise, personne n’a la moindre idĂ©e du comment on va les descendre du flat-rack !!!!! Beaucoup de monde autour, beaucoup de chefs, beaucoup de discussions, et seulement 2 solutions, dont une de sangler les campings-cars pour les soulever avec une grue. Pas d’accord les Robert ! Ils font un premier essai avec des plans inclinĂ©s mĂ©talliques, trops courts, on essaye, çà ne marche pas, le laika remonte. Nouvelle idĂ©e un plan inclinĂ©, pas assez haut, qu’il faut remonter avec des bastaings, et relevĂ© avec un gros trans-palette. Et lĂ  youpee, çà marche ! Et avec tout çà, il est dĂ©jĂ  18 heures et nous quittons enfin le port, aprĂšs une derniĂšre signature et la rĂ©cupĂ©ration de nos papiers. Nous resterons dormir Ă  proximitĂ©, au milieu des camions
 dans la poussiĂšre. Ah quel bonheur d’ĂȘtre chez soi. Mais les premiers jours sont consacrĂ©s au nettoyage intĂ©rieur et extĂ©rieur, Ă  la rĂ©paration du marche-pied du Laika. Nous nous adaptons tant bien que mal aux conditions de circulation, et au manque de signalisation. A tel point que dĂšs la sortie de Bombay, on se plante ! Ce qui nous oblige Ă  prendre une route trĂšs mauvaise pour rejoindre Daman 30 km en 2 heures. DAMAN A Daman le 20 dĂ©cembre, ancien territoire portugais en bord de mer, nous visitons la citadelle, le port et la plage de sable soir, avec ses poissons et crevettes Ă  sĂ©cher. Mais ce qui nous surprend le plus, ce sont d’innombrables shops de vente d’alcool Ă  des prix trĂšs bas du rhum Ă  moins de 2 € la bouteille, et c’est bien pire qu’à Pondichery. Pour ĂȘtre tranquille, nous prĂ©fĂ©rons nous installer pour la nuit sur un parking d’hĂŽtel gardĂ©. LE GUJERAT Le 22 dĂ©cembre nous sommes Ă  Vadodara et visitons un superbe palais de Maharaja Lakshmi Vilas. Il s’agit de l’édifice le plus coĂ»teux jamais construit par un particulier au 19Ăšme siĂšcle. Quel bonheur d’avoir un audio-guide en français ! Nous n’en visiterons qu’une petite partie, il est toujours habitĂ© par les descendants du maharaja Le lendemain, au lever, nous dĂ©couvrons que nous avons accueillis, malgrĂ© nous, un clandestin
 et çà ne nous fait pas partons pour Champaner-Pavagadh citadelle, mosquĂ©es et montagne sacrĂ©e. Nous faisons un peu les fainĂ©ants et prenons le tĂ©lĂ©cabine oh, çà nous rappelle les sports d’hiver mais il reste encore quelques marches pour atteindre le petit temple. Beaucoup de monde, beaucoup de marchands
 En plus, nous pensions avoir une vue imprenable, mais tout est embrumĂ©, comme d’hab Nous arrivons Ă  Ahmadabad le 24 dĂ©cembre. Nous passons l’aprĂšs-midi Ă  trouver un emplacement. Finalement, nous finissons dans la cour des pompiers. Et quelle cour, et quelle triste caserne
 mais que de monde encore autour des campings-cars ! Bon, il faut penser au rĂ©veillon. On a du champagne au frais et du foie gras, importĂ©s de france. Pas de repas de NoĂ«l ici
 çà sera un repas indien, comme d’hab, mais non’veg. quand mĂȘme ! Nous aurions aimĂ© nous rendre Ă  la messe de minuit, mais nous n’avons pas trouvĂ© d’église
 Le jour de NoĂ«l, bonjour les rĂ©jouissances. Anne-Marie et Robert ne se sont pas lavĂ©s
 devinez pourquoi. Et nous avons vidĂ© la soute, Ă  la recherche du clandestin. Nous allons quand mĂȘme visiter Ahmadabad on commence par le lac ou soit-disant il y a un festival de cerf-volants. Il n’y a rien, nous n’y allons sans doute pas Ă  la bonne heure
 mais seule consolation, c’est propre par rapport au reste. Nous trouvons la citadelle aprĂšs bien des efforts, et sommes trĂšs déçus, rien Ă  voir. Nous nous rendons ensuite au musĂ©e du textile Ă  ne pas manquer pas de chance, il est fermĂ© ! Trop bien le NoĂ«l ! En plus, la ville est bruyante, la circulation y est impossible
 nous n’y restons pas une minute plus ! Ce qui est faux, car il nous faut trouver la sortie et çà nous prendra bien plus d’une heure
 Le 26 dĂ©cembre il nous faut absolument trouver du gaz Anne-Marie et Robert veulent se laver. En arrivant Ă  Mahesana, nous nous en occupons et y passerons quand mĂȘme la journĂ©e. Ils sont compliquĂ©s ces indiens, mais le problĂšme de langage n’arrange rien ils parlent peu anglais ici, par rapport au sud. Le lendemain, nous faisons route vers Patan. En chemin, nous nous arrĂȘtons au temple du soleil Ă  Modhera. Ce temple est complĂštement diffĂ©rent de ce que nous avons dĂ©jĂ  vu. Il y a un grand bassin en contrebas oĂč les indiens viennent prier en s’aspergeant d’eau Nous allons voir le tissage de la soie chez un artisan. On se rend compte que cette technique reprĂ©sente d’innombrables heures de travail, entre la coloration du fil et le tissage minutieux. Dans cette maison, ils sont tisserands de pĂšre en fils. Le soir, en revenant de l’apero chez Anne-Marie et Robert, nous allons enfin pouvoir faire connaissance avec notre intrus, bel et bien pris au piĂšge. Un joli petit rat ! Ouf
 nous allons enfin pouvoir dormir tranquilles LE RAJASTHAN Le 28 dĂ©cembre Nous faisons un petit dĂ©tour pour nous rendre au Mont Abu. En montant, dans les lacets, nous faisons une halte, et sans le vouloir, Anne Marie et Robertdonnent Ă  boire aux singes ! C’est trop drĂŽle
 Le site est pittoresque, des palmiers dans la montagne, des rochers, dommage qu’il soit un peu gĂąchĂ© par les dĂ©tritus de toutes sortes le long du cours d’eau. Nous visitons un ensemble de temples, dont l’un est remarquable par la finesse de ses sculptures en marbre. A son entrĂ©e, nous admirons d’imposantes statues d’élĂ©phants en marbre Ă©galement. Nous projetons de nous rendre au lac Nakhi Talab, et peut-ĂȘtre d’y rester pour la nuit, loin du bruit de la ville
 mais surprise, l’endroit est noir de monde, de voitures garĂ©es anarchiquement, nous ne pouvons ni y accĂ©der, ni nous stationner. Tant pis, on repart, un peu déçus. Le 29 et le 30 dĂ©cembre, nous sommes Ă  Udaipur. En entrant dans la ville, ce qui nous frappe en premier, c’est la propretĂ© des rues ! SurnommĂ©e la Venise de l’Orient, elle est construite autour d’un lac artificiel, le lac Pichola, dans lequel se reflĂštent les collines environnantes, et les somptueux palais. Quelques uns sont d’ailleurs carrĂ©ment au milieu du lac, sur de petits Ăźlots ! L’aprĂšs-midi, nous visitons le city palace, mais seulement une partie, la plus ancienne. Le reste est occupĂ©e par un hĂŽtel et par la famille du Maharana. Nous avons pris plaisir Ă  dĂ©ambuler dans les couloirs Ă©troits et escaliers dĂ©bouchant tantĂŽt sur de petites piĂšces, tantĂŽt sur des patios. C’est de toute beautĂ©. Le 31, nous sommes Ă  Chittorgarh, pour le rĂ©veillon du nouvel an. Nous visitons d’abord la forteresse qui domine la ville, et que nous n’avons pu apercevoir de loin Ă  cause de la brume. Un guide indien, parlant français, nous accompagne car le site est immense palais en ruine, temples, tour de la victoire, tour de la renommĂ©e
 Nous apprenons beaucoup de choses, mais qu’en retiendrons nous ? Maintenant, place aux prĂ©paratifs du rĂ©veillon. L’apĂ©ro, c’est dans le rapido vin blanc indien + foie gras du Perrier. Pour le resto, on y va en touk-touk Robert en profites pour perdre sa jolie paire de lunettes ! et il fait froid, comme une St Sylvestre en France, mais sans gueuleton
 Pour vous mettre l’eau Ă  la bouche, nous avons mangĂ© soupe de tomate, chicken-rice spicy » comme d’hab !, accompagnĂ© quand mĂȘme d’un merlot colombien. Et Ă  minuit et demi, tout le monde est au lit ! Youhou, bonne annee !!! Le lendemain, nous avions prĂ©vu de visiter le palace Umaid Bhawan, rĂ©sidence de l’actuel Maharaja de Jodhpur, dont une partie est transformĂ©e en hĂŽtel de luxe. Nous sommes refoulĂ©s Ă  l’entrĂ©e, le Maharaja organise une garden party », et pas de chance nous ne retrouvons pas nos invitations
 Nous allons donc visiter le cĂ©notaphe de Jaswant Thada, un mausolĂ©e de marbre blanc. Ensuite, nous nous rendons au marchĂ© aux Ă©pices, prĂšs de la tour de l’horloge. Le 5 janvier, nous reprenons la route dans un brouillard trĂšs dense
 c’est l’enfer ! Les indiens roulent comme d’habitude, Ă  contre-sens, pas Ă©clairĂ©s
 si bien qu’à un moment donnĂ©, nous sommes stoppĂ©s il s’agit d’un carambolage de camions principalement, sur un bon kilomĂštre. On ne compte pas le nombre de camions accidentĂ©s, dont certains avec la cabine complĂštement dĂ©foncĂ©e. Et on ne vous parle pas du balisage
 il n’existe pas ! Il nous faudra au moins une heure pour sortir de ce bouchon ». Nous arrivons malgrĂ© tout Ă  Jaipur, la citĂ© rose. Nous avons bien du mal Ă  trouver un emplacement, quand nous tombons sur Raja. Il nous installe dans une impasse, prĂšs de chez lui, et nous dit organiser une party, avec 150 personnes
 et nous y invite. Il vient nous chercher Ă  19 heures il faut d’abord aller acheter des biĂšres surtout pour lui, biĂšres que l’on boit tous les 4 dans son touk-touk, et lui et ses potes Ă  cĂŽtĂ©. Il fait froid, la biĂšre descend mal pour nous
 on se demande pourquoi on ne va pas Ă  la soirĂ©e. Au bout d’une heure, on le suit chez lui. Et lĂ , surprise ! Les 150 personnes sont en fait un village » oĂč vit Raja et sa famille. Nous nous retrouvons dans une minuscule piĂšce, Ă  6, Ă  attendre le repas. Celui-ci fut mĂ©morable quelques os de mouton dans de la sauce bien Ă©picĂ©e, et une seule cuisse de poulet, Ă  partager, dans de la sauce Ă©galement, tout cela accompagnĂ© de chapatis
 Le lendemain, Raja veut nous faire visiter sa ville en touk-touk c’est son job. Mais nous prĂ©fĂ©rons visiter par nous-mĂȘmes. Anne-Marie et Robert visitent le city palace. Tous les bĂątiment sont roses, comme dans la ville. Une partie est encore habitĂ©e par la famille royale de Jaipur. La partie que nous visitons est tranformĂ©e en musĂ©e collection d’habits et de tissus, collection d’armes
 ainsi que de jolies piĂšces finement dĂ©corĂ©es. Nous avons visitĂ©, tous les 4, l’observatoire astronomique, le Jantar Mantar il possĂšde le cadran solaire le plus grand du monde. Pour le reste, nous n’y avons pas compris grand chose, trop compliquĂ© ! Et le Hawa Mahal, le palais des vents, avec sa superbe façade ajourĂ©e. Le 7 janvier fort d’Amber. L’arrivĂ©e est magnifique, avec le lac, les remparts sur des kilomĂštres, et les forts. A l’entrĂ©e, des centaines d’élĂ©phants attendent de monter les visiteurs au fort
 mais nous prĂ©fĂ©rons monter Ă  pied. L’intĂ©rieur du fort est sans intĂ©rĂȘt particulier c’est un vrai labyrinthe, Ă  part une magnifique piĂšce toute en mosaĂŻque de miroirs. Le 8 janvier , nous une grande ballade dans le National Park Keoladeo de y voyons sangliers, chacals, antilopes,iguane et de nombreux oiseaux dont une grande colonie de marabouts. UTTAR PRADESH et MADHYA PRADESH Le lendemain, nous faisons un arrĂȘt tout prĂȘt de Fatehpur Sikri, dans un bien curieux village, oĂč l’on tisse des matĂ©riaux de rĂ©cupĂ©ration lambeaux de cuir, de tissus, de corde. Les tissus et les cordes sont teints sur place. A Fatehpur Sikri, nous dĂ©couvrons la ville fantĂŽme » de jolis bĂątiments en pierre rouge construits au XVIĂšme siĂšcle et qui n’ont servis que 14 ans ! Nous sommes guidĂ©s par un indien parlant anglais, et on vous assure qu’on a tout compris, ha, ha
 En tout cas, le roi avait 3 femmes et chaque femme avait sa maison la plus grande pour sa femme hindou, et 2 plus petites pour la femme musulmane et la femme catholique
 Le 10, nous arrivons Ă  Agra, dans le brouillard. Nous attendrons le lendemain pour visiter le Taj Mahal, et par chance, il fait beau ! Nous le verrons donc sous le soleil. Et c’est vrai que c’est beau ! Le rĂȘve d’Anne-Marie est rĂ©alisé  Mais il y a un monde fou aussi !! Nous prenons le temps de dĂ©ambuler dans les jardins et Ă  l’intĂ©rieur du mausolĂ©e. Le 14 janvier, nous faisons route vers Orchha et quelle route ! Depuis la veille, c’est la galĂšre, et nous arrĂȘtons Ă  Datia et visitons un ancien palais abandonnĂ© le Govind palace. Il a sĂ»rement du ĂȘtre magnifique Ă  une Ă©poque
 On s’est promenĂ© dans les diffĂ©rents Ă©tages, et avons eu quelques difficultĂ©s pour retrouver la sortie
 Nous arrivons Ă  Khajuraho le 16 janvier et passons l’aprĂšs-midi Ă  visiter les temples, dont certains possĂšdent des sculptures extĂ©rieures Ă©rotiques
 Les temples sont trĂšs bien entretenus, au milieu d’un jardin. On se dĂ©chausse, temple aprĂšs temple
 Le 17 janvier, l’orage nous rĂ©veille et nous prenons la route sous la pluie. La poussiĂšre a fait place aux trous d’eau et Ă  la boue
 la route est de plus en plus mauvaise
 et comme nous avons du louper la bonne, nous nous retrouvons sur des chemins de terre, en cul de sac dans un village perdu
 sous le regard ahuri des habitants que cela amuse
 mais nous beaucoup moins, on se demande si on va rĂ©ussir Ă  sortir de ce merdier
.. Les campings-cars changent de couleur au fur et Ă  mesure de la route, ils rosissent
 Le 18 janvier, encore de l’orage ce matin il ne fait pourtant que 15 °, et nous continuons sur une route toujours aussi mauvaise dĂ©foncĂ©e avec des trous d’eau. Le 19 janvier, la route s’amĂ©liore enfin. Nous dĂ©cidons de redonner leur couleur initiale Ă  nos campings-cars. Le rose ne plait pas aux garçons les Robert s’activent au lavage ! Et nous arrivons Ă  BĂ©narĂšs Varanasi, sur les bords du Gange, tout propres, mais nous retrouvons la route boueuse et dĂ©foncĂ©e, nos campings-cars ne seront pas beaux longtemps. BĂ©narĂšs c’est la ville sacrĂ©e pour les hindous chaque hindou se doit d’y aller au moins une fois dans sa vie. Le soir, nous nous rendons en rickshaw pour assister Ă  une cĂ©rĂ©monie sur les bords du Gange, au cours de laquelle des brahmanes font le spectacle » chants, musiques, encens, fleurs, bougies
 Des gens dĂ©posent de petites lampes Ă  huile sur le fleuve nous aussi et des tas de gens assistent au spectacle dans des barques. C’est un rituel bien curieux, mais nous sommes contents d’y avoir assistĂ© et participĂ© Robert et Anne-Marie Ă©taient bien placĂ©s et ont Ă©tĂ© sollicitĂ©s pour tirer les cloches » pendant toute la cĂ©rĂ©monie
presqu’une heure, dur, dur
 Le lendemain, Ă  5 h du mat’, les 2 rickshaws sont lĂ  pour nous emmener Ă  nouveau sur les bords du Gange, et nous dĂ©ambulons le long des ghats, avant le lever du soleil. Nous assistons au bain rituel des hindous. Il ne fait pourtant pas chaud 11° et ils se baignent, se lavent, prient dans l’eau. Certains ghats sont rĂ©servĂ©s aux crĂ©mations. Nous verrons dans l’un la prĂ©paration d’un bĂ»cher », avec le corps. On nous apprend qu’il faut 200 kilos de bois pour une crĂ©mation, bois qu’il faut acheter sur place, cher, et que certaines personnes pauvres n’en ont pas les moyens. Ceux-ci seront mis directement dans le Gange. Avant de retourner Ă  nos campings-cars, nos rickshaws nous mĂšnent dans une entreprise de tissage de soie et de cachemire. Nous sommes impressionnĂ©s par la programmation des machines, que ce soit machines manuelles ou machines Ă©lectriques. En effet, le programme se fait Ă  l’aide de cartes perforĂ©es. Les 21 et 22 janvier, la route vers Gorakhpur est plus que mauvaise, nous ferons 170 km en 2 jours, entre 5 et 15 km/heure ! Les Robert en ont ras la casquette. HĂ©lĂšne et Anne-Marie ont largement le temps d’admirer le paysage
 pas bien terrible pourtant de grandes Ă©tendues de cultures, et de nombreux villages. Et Pour couronner le tout, le 21, un abruti de chauffeur de bus a arrachĂ© le rĂ©tro droit du laĂŻka, en le doublant Ă  fond la caisse, en ville. Il s’en est suivi un gros bouchon, un spectacle de rue qui a attirĂ© une foule d’indiens, la police avec bien du retard, un reporter de la presse locale
 et aprĂšs de grosses engueulades franco-anglo-hindi, nous repartons avec le rĂ©tro scotchĂ©. Et le 22, nous serons pris dans un mĂ©ga embouteillage Ă  Mau. Vous ne pouvez pas imaginer le bordel que c’est mĂȘme s’il n’y a pas de place pour passer, les voitures viennent s’engouffrer quand mĂȘme en double file, ainsi que les motos, rickshaws, vĂ©los, piĂ©tons
 et en plus il y a des tas de cailloux qui rĂ©trĂ©cissent la route ! 1 mÂČ, la jeep s’y met, 2 mÂČ le bus y va ! Du coup, çà coince partout, les voilĂ  Ă  contre-sens, en double file, en travers, accrochĂ©s les uns aux autres par les pare-chocs
 et nous au milieu de tout çà, Ă  attendre de pouvoir avancer, et en espĂ©rant que personne ne nous accroche
 BIHAR Le 23, c’est bien notre veine, une manifestation politique nous bloque Ă  Gorakpur, pendant 1 h 30. Le 24 janvier, nous faisons un petit arrĂȘt Ă  Kushinagar, l’endroit ou Boudha a Ă©tĂ© incinĂ©rĂ© il paraĂźt que ses cendres sont Ă  l’intĂ©rieur de la coupole fermĂ©e
. Le 25 janvier, nous arrivons enfin Ă  la frontiĂšre nĂ©palaise, aprĂšs une route trĂšs mauvaise sur la fin 4 heures pour faire 40 km!. Il fait nuit. Heureusement, tout se passe rapidement, aussi bien cĂŽtĂ© indien que cĂŽtĂ© nĂ©palais. Nous obtenons les 4 visas nĂ©palais en œ heure, et pourtant sans Ă©lectricitĂ© ; nous remplissons les papiers Ă  la pile Ă©lectrique. Pour finir, nous dormons sur le parking de l’immigration bien gardĂ©s!. Nos impressions sur l’Inde Il y a tellement de choses Ă  dire
 on va essayer d’ĂȘtre brefs ! Il y a du monde tout le temps et partout Ă  pied, Ă  vĂ©lo, Ă  moto, en rickshaw, dans et sur les bus, dans et sur les camions
 Les indiens sont des gens trĂšs envahissants, trĂšs curieux ils laissent la trace de leurs nez sur les vitres, et bruyants. Ils sont toujours trĂšs surpris d’apprendre que nous ne sommes que 2 par camping-car ils se mettent bien Ă  25 dans un touk-touk!. Ils ouvrent les portes des campings-cars sans demander et vont jusqu’à entrer
 La circulation, parlons-en ! Il faut le vivre pour le croire. Une attention de chaque seconde, des yeux partout, il n’y a aucune rĂšgle. C’est la loi du plus fort ! De toute façon, ils passent
 et attention Ă  la carrosserie nous ramenons quelques souvenirs avec nous. Et pour corser le tout, il faut Ă©viter les nombreuses vaches, les nombreux chiens, les chĂšvres, et autres animaux, 
 les chars Ă  bƓufs, les marchands ambulants Ă  pied avec leurs charrettes
 Nous avons rencontrĂ© sur certaines routes des conditions de circulation trĂšs difficiles travaux d’ouvrage d’art abandonnĂ©s depuis longtemps des centaines de ponts inachevĂ©s!, portions de routes non terminĂ©es, routes existantes non entretenues et dĂ©gradĂ©es par les poids lourds. En Inde, tout est compliquĂ©, mais tout est possible. Quand on demande notre route Ă  une personne, il y en a bientĂŽt 10 Ă  s’agglutiner autour de nous, si ce n’est pas plus, pour finir par discuter entre eux, parce qu’ils ne sont pas d’accord. Et nous, on attend ! Car dans certains Ă©tats, la signalisation est quasi inexistante, et s’il y en a, c’est Ă©crit en hindi. Se promener Ă  pied dans les villes, c’est infernal tellement le bruit perçant des klaxons est incessant. Et en plus çà n’a rien d’attirant, Ă  cause des dĂ©chets, des bouses de vache et des odeurs
 Bien que chaque Ă©tat soit diffĂ©rent, l’Inde a de gros efforts Ă  faire en matiĂšre d’environnement dĂ©chets, pollution
. Nous y avons croisĂ© beaucoup de misĂšre aux abords des villes notamment, dans des abris de fortune et sur les trottoirs. MalgrĂ© tout çà, nous avons vu de trĂšs belles choses, les nombreux forts et palais, le Taj Mahal, les temples en marbre ciselĂ©, et sommes loin d’avoir tout vu. Nous avons beaucoup apprĂ©ciĂ© le KĂ©rala Sud, le West Bengal, l’Assam, le Nagaland et le Manipur nord-est, pour la beautĂ© de leurs paysages. Nourriture trĂšs Ă©picĂ©e. Ah, nos pauvres estomacs ont souffert ! exceptĂ© Robert. Nous avons essentiellement mangĂ© vĂ©gĂ©tarien, car mĂȘme lorsqu’on avait du chicken », les morceaux Ă©taient tellement minuscules qu’on n’avait mĂȘme pas l’impression d’en manger
 On pense qu’en Inde un poulet doit nourrir 30 personnes. Quelques chiffres 1 € = 83 roupies indiennes 3 mois en Inde km parcourus 4 180 1Ăšre partie – 1 400 2Ăšme partie CoĂ»t moyen du gazoil 0,71 CoĂ»t moyen du gaz 15 € la bouteille CoĂ»t moyen d’un repas au resto 1,80 € DĂ©calage horaire avec la France 4 h 30 CoĂ»t d’une assurance voiture 1/3 pour 3 mois 56,87 € Entreballots et bagages, les taxis roses de la ville dĂ©versent Ă  Hualampong Station une foule de passagers pressĂ©s. Quittant Bangkok grouillant et affairĂ©, arrivĂ©s Ă  la gare, le spectacle est Ă©tonnant : sur une plateforme face aux voies, sagement installĂ©s sur des chaises de fortune, des hommes en rang attendent de se faire couper les cheveux Ă  la chaĂźne !

Un safari au Sri Lanka, pour aller voir des Ă©lĂ©phants un rĂȘve pour beaucoup, non ? C’était en tout cas l’un des miens et je n’ai pas Ă©tĂ© déçue ! C’était mon tout premier safari et j’ai vĂ©cu un vrai moment d’émotion lorsque j’ai pu voir ces Ă©normes pachydermes en libertĂ© pour la premiĂšre fois. Ils sont tellement majestueux ! Ces animaux dĂ©gagent une force tranquille et paisible j’ai adorĂ© passer du temps Ă  les admirer. Je suis allĂ©e deux fois dans le Parc national de Kaudulla qui peut s’écrire aussi Kawdulla, un parc aisĂ©ment accessible depuis Polonnaruwa grande ville la plus proche, Minneriya, Sigiriya, Habarana ou Dambulla. Une fois au mois de fĂ©vrier saison humide, mais j’ai eu du beau temps ! lors de mon premier voyage au Sri Lanka et une fois au mois d’aoĂ»t saison sĂšche, lorsque je suis retournĂ©e au Sri Lanka suite Ă  mon coup de cƓur pour le pays quelques mois auparavant ! Et comme j’y retournais avec mon mari qui n’était pas lĂ  lors du premier voyage et que notre itinĂ©raire nous conduisait dans ce coin-lĂ  pour diffĂ©rentes raisons mĂ©tĂ©o Ă  cette saison et variĂ©tĂ© des choses Ă  faire, puisque situĂ© en plein dans le triangle culturel!
 HĂ© bien je suis retournĂ©e Ă  Kaudulla et ai Ă©tĂ© une nouvelle fois Ă©merveillĂ©e ! Je vous raconte? OĂč voir des Ă©lĂ©phants au Sri Lanka? Dans les Parcs nationaux!Minneriya national park ou Kaudulla national park ?Safari dans le Parc national de KaudullaQuelle saison pour un safari Ă  Kaudulla ?Quelle est la meilleure heure pour voir les Ă©lĂ©phants ?Vous prĂ©parez votre voyage au Sri Lanka? OĂč voir des Ă©lĂ©phants au Sri Lanka? Dans les Parcs nationaux! Petit rappel prĂ©alable car je sais que tout le monde n’en a pas forcĂ©ment conscience ne faites jamais de balades Ă  dos d’élĂ©phants ! Cela peut sembler tentant comme ça et l’on vous le proposera certainement au Sri Lanka ou ailleurs encore que je l’aie peu vu au Sri Lanka, les mentalitĂ©s changent peu Ă  peu !. Les Ă©lĂ©phants sont dressĂ©s dans des conditions assez horribles des mĂ©thodes trĂšs violentes sont utilisĂ©es et les Ă©lĂ©phants finissent mutilĂ©s et dressĂ©s » car simplement rĂ©signĂ©s Ă  leur triste sort. DĂ©cider de faire un tour Ă  dos d’élĂ©phant, c’est encourager ce genre de pratiques
 Et ne vous dites pas non plus oh mais de toutes façons le mal est fait pour cet Ă©lĂ©phant lĂ , alors je peux bien monter dessus quand mĂȘme » oui, j’ai dĂ©jĂ  entendu ce raisonnement ! vous contribuez dans tous les cas Ă  crĂ©er une demande pour ce type d’activitĂ©s, demande que les locaux voudront satisfaire en continuant Ă  dresser violemment les Ă©lĂ©phants
 Si vous avez envie de voir des Ă©lĂ©phants et vous avez bien raison, car c’est un bel animal !, allez les observer dans leur environnement naturel ! C’est plutĂŽt ce genre d’initiative qu’il faut soutenir, non ? Le Sri Lanka compte de trĂšs nombreux parcs nationaux rĂ©partis sur toute l’üle. Je suis pour ma part allĂ©e dans celui de Kaudulla, dont je vais vous parler, mais il y a aussi par exemple le parc d’Udawalawe dans le sud de l’üle, qui est trĂšs connu. On peut aussi bien sĂ»r s’interroger sur le fait d’avoir plein de jeeps autour des Ă©lĂ©phants plusieurs heures par jour n’est ce pas gĂȘnant Ă©galement ? De mon cĂŽtĂ©, je pense que c’est un bon compromis Ă  condition que les voitures respectent les rĂšgles de distance, etc. D’aprĂšs ce que j’ai vu, c’est globalement le cas mĂȘme si certains ont des comportements limite mais ce n’est vraiment pas la majoritĂ© et il y a des contrĂŽles. Il me semble que le tourisme et les rĂ©serves sont plutĂŽt une belle chance pour sauver ces animaux de la disparition en crĂ©ant une certaine Ă©conomie autour d’eux tout en les respectant ce qui est le cas dans les parcs nationaux et non lorsque l’on grimpe dessus !, on s’assure ainsi de la prĂ©servation de l’espĂšce
 De plus, les tarifs d’entrĂ©e semblent peut-ĂȘtre chers, mais si cela peut aider Ă  conserver le parc et Ă  avoir davantage de personnel qui veille au respect des rĂšgles, je suis ravie de donner cet argent ! Vous cherchez une agence pour organiser votre voyage? Je peux vous conseiller la plateforme Evaneos, qui met en relation des particuliers et des agences locales dans diffĂ©rents pays. Un super systĂšme car les agences sont rigoureusement sĂ©lectionnĂ©es et le prix payĂ© va en grande majoritĂ© Ă  l'agence locale on bĂ©nĂ©ficie ainsi de l'expĂ©rience d'un habitant et on fait vivre l'Ă©conomie du pays! Evaneos permet de construire votre itinĂ©raire sur mesure. Un Ă©change avec l'agent local permet de lui expliquer votre style de voyage, ce que vous aimez faire, voir, etc. J'ai pu tester les services d'Evaneos lors d'un voyage au SĂ©nĂ©gal et en ai Ă©tĂ© trĂšs satisfaite! Demandez un devis gratuit ici pour le Sri Lanka Si vous faites une demande de devis via ce lien, je recevrai une petite commission mais vous ne paierez pas plus cher. Merci d'avance, cela m'aide Ă  continuer ce blog! 🙂 Minneriya national park ou Kaudulla national park ? Le parc national de Minneriya est largement plus connu que celui de Kaudulla. Pourtant, ils sont situĂ©s exactement dans le mĂȘme coin. Ces deux parcs nationaux sont en fait tellement proches qu’ils sont reliĂ©s et que les animaux passent ainsi aisĂ©ment de l’un Ă  l’autre. Le parc national de Kaudulla a en effet Ă©tĂ© créé pour servir de passage entre le parc national de Minneriya, celui de Wasgomuwa au sud et de Somawathiya Ă  l’est. Ainsi, les Ă©lĂ©phants se dĂ©placent Ă  leur guise dans tous ces diffĂ©rents espaces ! J’ai vu que certains guides indiquaient les meilleurs mois pour aller Ă  l’un ou l’autre, mais c’est une information peu pertinente d’aprĂšs mon expĂ©rience et ce que j’ai pu entendre des locaux. Les Ă©lĂ©phants peuvent ĂȘtre dans l’un ou l’autre des parcs aux diffĂ©rentes saisons ou les deux, ils ne sont pas forcĂ©ment tous au mĂȘme endroit ! et le mieux est d’écouter ce que les locaux vous diront une fois sur place. A certaines pĂ©riodes, ils vous conseilleront plutĂŽt l’un ou l’autre car ils savent oĂč sont les Ă©lĂ©phants fiez-vous Ă  ce qu’ils disent et ne vous inquiĂ©tez pas, c’est aussi dans leur intĂ©rĂȘt que vous voyiez des Ă©lĂ©phants et repartiez satisfait ! D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, le parc national de Kaudulla est moins connu et a donc moins de visiteurs on y est nettement plus au calme, d’aprĂšs ce que des locaux ont pu me dire les deux fois oĂč j’étais dans le coin. C’est d’ailleurs pour cette raison que j’ai visitĂ© deux fois Kaudulla et non Minneriya. D’une part, parce qu’il y avait apparemment davantage d’élĂ©phants Ă  Kaudulla lorsque j’y Ă©tais en fĂ©vrier puis en aoĂ»t, durant la saison humide et la saison sĂšche, donc, mais aussi parce que Minneriya m’a Ă©tĂ© fortement dĂ©conseillĂ©e du fait de la foule. En plus, l’entrĂ©e dans le parc est beaucoup moins chĂšre Ă  Kaudulla je n’ai pas le chiffre exact mais plus ou moins du simple au double. Cela fait pas mal de bonnes raisons d’opter pour Kaudulla, non ? Safari dans le Parc national de Kaudulla Je vous le disais plus haut, j’ai fait deux safaris Ă  Kaudulla au mois de fĂ©vrier et au mois d’aoĂ»t. Dans les deux cas, j’en suis repartie enchantĂ©e du spectacle auquel j’avais eu la chance d’assister ! Il est facile de trouver une jeep et un chauffeur pour vous emmener faire un safari. Votre hĂŽtel en proposera certainement, mais aussi des gens que vous rencontrerez dans le coin, etc
 Pas besoin de vous prendre la tĂȘte en avance, vous trouverez mĂȘme au dernier moment ! Il suffira de comparer un peu les prix mĂȘme s’il n’y a pas forcĂ©ment d’écarts Ă©normes. Le prix total se divise entre le ticket d’entrĂ©e dans le parc prix d’environ 25 dollars par personne et le prix de la jeep dans les 30€, sachant qu’on peut ĂȘtre entre 2 et 6 par jeep, 6 risquant d’ĂȘtre assez peu confortable mais 4 Ă©tant bien. Comptez une demi-journĂ©e pour aller faire un safari. Entre le moment oĂč vous partez de votre hĂŽtel pour faire le trajet on vous propose toujours de venir vous chercher Ă  l’hĂŽtel, ce qui est bien pratique, celui oĂč vous entrez sur le chemin du parc, la queue pour acheter les billets oĂč vous allez vous demander ce que vous faites lĂ  vu le nombre de jeeps au mĂštre carrĂ©, mais je vous rassure cela va mieux aprĂšs !, les 2h environ d’observation des animaux et le retour, cela prend un peu de temps mais cela vaut largement le coup. Une fois entrĂ© dans le parc national de Kaudulla, l’aventure commence ! On sillonne les chemins, tantĂŽt assis, tantĂŽt installĂ© debout Ă  l’arriĂšre de la jeep les chauffeurs ouvrent les bĂąches de toit, chahutĂ©s par les orniĂšres rencontrĂ©es en cours de route. PlutĂŽt amusant, sauf bien sĂ»r si vous avez des problĂšmes de dos ! Le parc en lui-mĂȘme est superbe d’immenses plaines, de grandes Ă©tendues d’eau, de la forĂȘt
 Il y a en tout 6 900 hectares ! De quoi faire un bel habitat pour les nombreux habitants de Kaudulla. Il n’y a en effet pas que des Ă©lĂ©phants, mais aussi d’autres mammifĂšres, des reptiles et de trĂšs nombreux oiseaux. En plus des Ă©lĂ©phants, j’ai pu voir beaucoup de buffles sauvages et d’oiseaux n’y connaissant rien, je ne peux pas vous dire quelles espĂšces en revanche !. Les chauffeurs de jeep connaissent bien les coins oĂč sont les troupeaux d’élĂ©phants et vous mĂšnent Ă  diffĂ©rents endroits. A chaque fois, on s’arrĂȘte et on coupe le moteur, ce qui fait du bien surtout lorsque par miracle tout le monde le coupe en mĂȘme temps ! et on
 profite du spectacle ! Des Ă©lĂ©phants qui mangent en coupant l’herbe avec leur trompe, certains qui jouent, d’autres qui marchent paisiblement, des mĂšres avec leurs petits
 C’est juste gĂ©nial Ă  observer ! Il faut souvent repartir un peu trop vite, car il faut laisser la place pour les suivants, mais on a tout de mĂȘme vraiment le temps de regarder ces impressionnants pachydermes. Le safari dans le parc dure environ 2h, qui passent bien vite en compagnie des Ă©lĂ©phants ! Plus qu’à rentrer et trier les trop nombreuses photos d’élĂ©phants que vous aurez prises 😉 Petit conseil d’ailleurs en parlant de photo, pensez Ă  emporter un zoom si vous pouvez! Quelle saison pour un safari Ă  Kaudulla ? La meilleure saison est normalement la saison sĂšche, qui s’étend dans cette rĂ©gion du Sri Lanka de mars Ă  octobre. Parmi ces mois, les mois d’étĂ© juillet-aoĂ»t-septembre sont rĂ©putĂ©s ĂȘtre les meilleurs pour observer les Ă©lĂ©phants car c’est Ă  cette pĂ©riode qu’a lieu le Grand rassemblement » les Ă©lĂ©phants se rĂ©unissent autour des immenses points d’eau se trouvant dans les parcs nationaux. Ce grand rassemblement aurait lieu plutĂŽt vers aoĂ»t Ă  Minneriya et septembre Ă  Kaudulla, d’aprĂšs ce que j’ai pu lire. Dans les faits, lorsque j’étais dans le coin en aoĂ»t, les Ă©lĂ©phants Ă©taient dans les deux ! J’ai en effet peut-ĂȘtre vu davantage d’élĂ©phants au mois d’aoĂ»t, mais n’ai vraiment pas Ă©tĂ© frustrĂ©e non plus en fĂ©vrier il y en avait dĂ©jĂ  plein Ă  observer, et trĂšs honnĂȘtement ce n’est pas la quantitĂ© qui compte. Ce n’est pas parce qu’on voit plus d’élĂ©phants qu’on est plus heureux, c’est plutĂŽt le fait d’avoir le temps de les observer qui vous donne un sourire jusqu’aux oreilles ! De plus, il y avait nettement plus de monde en aoĂ»t, ce qui a rendu l’expĂ©rience moins sereine. En fĂ©vrier, il y avait sans doute une vingtaine de jeeps en mĂȘme temps, en aoĂ»t c’était plutĂŽt une cinquantaine. Ceci entraĂźne beaucoup de bruit et des comportements des chauffeurs un peu moins respectueux Ă  mon avis chacun cherche Ă  Ă©pater son client c’est un peu la course au pourboire et Ă  avoir une meilleure place que le voisin, ce qui conduit parfois Ă  s’approcher trop prĂšs des animaux. Je parle d’expĂ©rience, notre chauffeur nous a une ou deux fois fait un peu honte, et ce n’était pas Ă©vident de lui expliquer que notre but n’était pas de griller la prioritĂ© Ă  tout le monde ni de nous approcher au plus prĂšs. Point positif, le personnel du parc national veille et ne se gĂȘne pas pour rappeler les rĂšgles aux chauffeurs et prendre leur numĂ©ro de plaque. C’est juste dommage qu’ils ne soient pas plus nombreux. Les Ă©lĂ©phants se chargent aussi de remettre les idĂ©es en place Ă  tout le monde ils ne semblent franchement pas perturbĂ©s par la prĂ©sence de ces voitures et humains si ceux-ci restent Ă  une distance raisonnable, mais savent bien faire comprendre lorsque les jeeps sont trop prĂšs, surtout s’il s’agit d’une mĂšre avec un petit ! Et lĂ , c’est un peu panique Ă  bord mais au moins aprĂšs, tout le monde reste Ă  sa place 😉 Quelle est la meilleure heure pour voir les Ă©lĂ©phants ? Comme souvent pour observer les animaux, les meilleures heures semblent ĂȘtre le matin et en milieu/fin d’aprĂšs-midi Ă  partir de 15h en gros. Vers midi, les animaux ont tendance Ă  essayer de trouver de l’ombre pour Ă©chapper aux grosses chaleurs. De mon cĂŽtĂ©, j’y suis allĂ©e Ă  chaque fois dans l’aprĂšs-midi et c’était parfait !

grandboeuf d'Afrique et d'Asie qui a une bosse sur le dos. palanquin. Chaise portĂ©e Ă  bras d'hommes ou installĂ©e sur le dos des chameaux, des Ă©lĂ©phants, en ExtrĂȘme-Orient. Ă  califourchon. Avoir une jambe de chaque cĂŽtĂ© de ce que l'on chevauche. se jucher. se placer trĂšs haut. Sets found in the same folder . Vocabulaire Le tour du monde en 80 jours. 34 terms. J Comment rénover et installer un poêle à bois PubliĂ© le 17/09/2013 - ModifiĂ© le 24/09/2018 Souvent en fonte, solides et rĂ©sistants, esthĂ©tiques, les vieux poĂȘles Ă  bois embellissent tous les intĂ©rieurs. Un nettoyage Ă©nergique, une rĂ©novation sĂ©rieuse, et ils sont prĂȘts pour une nouvelle vie. Il suffit de respecter les rĂšgles de sĂ©curitĂ© liĂ©es Ă  leur installation. RĂ©novation et installation d'un poĂȘle Ă  bois MatĂ©riel nĂ©cessaire Brosse mĂ©tallique Paille de fer Pinceau Brosses Tournevis Perceuse Échelle MĂštre Niveau Ă  bulles Chiffons Boulons, Ă©crous, chevilles et vis DĂ©capant gel Peinture Nettoyer et rĂ©nover le poĂȘle Ă  bois Gratter Ă  la brosse mĂ©tallique Nettoyer d'abord toutes les surfaces du poĂȘle Ă  l'aide d'une brosse mĂ©tallique celle-ci permet d'aller chercher la rouille et les impuretĂ©s dans les moulures et les recoins qui ne manquent pas sur ces appareils anciens. Ne pas craindre de frotter partout Ă©nergiquement ; ne pas Ă©pargner les parties internes, il n'y a aucun risque de les abĂźmer. Gratter Ă  la paille de fer À la paille de fer, dĂ©caper les parties inaccessibles avec la brosse, comme la poignĂ©e du couvercle. Enlever systĂ©matiquement la rouille, car sans cela, le travail de l'oxydation se poursuivrait, mĂȘme sous une nouvelle peinture ou un produit antirouille. DĂ©poussiĂ©rer au chiffon humide DĂ©poussiĂ©rer le poĂȘle entiĂšrement, Ă  l'aide d'un chiffon humide ou d'un aspirateur y compris l'intĂ©rieur de l'appareil. Ces poĂȘles comportent en gĂ©nĂ©ral un foyer dans la partie supĂ©rieure, qui se charge soit par le haut, soit latĂ©ralement ; une ouverture Ă  la base pour le tirage ; un tuyau d'Ă©chappement des fumĂ©es ; et un tiroir dans la partie infĂ©rieure pour la rĂ©cupĂ©ration des cendres, sĂ©parĂ© du foyer par une grille. Appliquer du dĂ©capant gel Appliquer un dĂ©capant gel Ă  l'aide d'un pinceau. Il est plus pratique d'employer ce type de produit qui, par dĂ©finition, ne coule pas. Laisser le produit agir quelques minutes il attaque les points de rouille en profondeur. Retirer ensuite la pĂąte qui se forme avec un instrument effilĂ© une spatule, par exemple. Enfin, passer une brosse en chiendent. Peindre les parties visibles du poĂȘle Laisser sĂ©cher et peindre Ă  la brosse toutes les parties visibles du poĂȘle. Utiliser une peinture spĂ©ciale pour poĂȘles et cuisiniĂšres argentĂ©e, elle rĂ©siste aux hautes tempĂ©ratures. Traditionnellement, elle recouvrait les cuisiniĂšres Ă  bois. Installer les Ă©lĂ©ments de tuyauterie et la chaise de base Mesurer le diamĂštre du trou d'Ă©vacuation À l'aide d'un mĂštre pliant, mesurer la hauteur de l'orifice de sortie des fumĂ©es et son diamĂštre pour dĂ©terminer les dimensions des tuyaux qui s'encastreront sur le poĂȘle. Encastrer l'Ă©lĂ©ment dans la plaque Encastrer l'Ă©lĂ©ment de vidange des tuyaux sur une plaque mĂ©tallique carrĂ©e ; celle-ci s'adapte ensuite sur la chaise de base de la tuyauterie. Plusieurs fabricants proposent aujourd'hui des tuyaux de poĂȘle traditionnels, avec tous les accessoires nĂ©cessaires, en mĂ©tal inoxydable aluminium ou acier galvanisĂ©. Ces tuyaux ne peuvent pas, bien entendu, s'intĂ©grer Ă  tous les intĂ©rieurs ; mais il faut utiliser leur caractĂšre “rĂ©tro” comme Ă©lĂ©ment de dĂ©coration original ou amusant. Visser le bouchon de vidange Visser le bouchon de vidange les vis passent par des trous existants dans la paroi du dernier Ă©lĂ©ment. Ce bouchon de vidange est destinĂ© Ă  rĂ©cupĂ©rer la suie et les dĂ©chets de combustion qui pourraient obstruer les tuyaux d'Ă©vacuation. DĂšs que le poĂȘle est en fonctionnement, retirer pĂ©riodiquement ce bouchon pour vider les dĂ©chets qu'il contient. Monter la chaise de base À l'aide de boulons et d'Ă©crous, fixer la plaque supportant l'Ă©lĂ©ment de vidange sur les deux Ă©querres mĂ©talliques constituant la chaise de base. Cette chaise, fixĂ©e au mur, supporte le poids de la tuyauterie, tout en la maintenant Ă©loignĂ©e de la paroi. En effet, le poĂȘle doit ĂȘtre situĂ© Ă  une certaine distance de la cloison, qui risque d'ĂȘtre endommagĂ©e par la chaleur. Lors du choix de son emplacement, veiller Ă  ce que l'appareil ne soit pas trop proche du mobilier ou d'Ă©lĂ©ments inflammables. EmboĂźter le T d'Ă©vacuation Placer le T d'Ă©vacuation du poĂȘle sur l'Ă©lĂ©ment de vidange. Pour ce modĂšle de tuyaux, l'emboĂźtement se fait en tournant d'un quart de tour l'un des Ă©lĂ©ments sur l'autre le filetage, dont on distingue les traits, bloque les tuyaux sur la partie qui s'encastre. RepĂ©rer la hauteur sur le mur À l'aide du mĂštre pliant, reporter sur le mur la hauteur exacte de l'orifice d'Ă©vacuation du poĂȘle. Tenir compte de la surĂ©lĂ©vation de l'appareil au cas oĂč il serait prĂ©vu de l'installer sur une semelle en briques rĂ©fractaires, par exemple. L'emplacement du poĂȘle dans la piĂšce dĂ©pend des impĂ©ratifs de la dĂ©coration, mais surtout des possibilitĂ©s de sortie de la tuyauterie. Dans une serre comme ici, on peut faire passer l'Ă©vacuation par le toit Ă  la verticale du poĂȘle. Dans une salle de sĂ©jour, une chambre ou une cuisine, il est souvent nĂ©cessaire de la raccorder au conduit de fumĂ©e existant. Tracer et contrĂŽler l'horizontalitĂ© Tracer sur le mur un trait horizontal avec un niveau Ă  bulles, Ă  la hauteur exacte de l'orifice de sortie. RepĂ©rer ensuite avec prĂ©cision l'emplacement des trous Ă  percer, en mettant la chaise de base en position. Percer pour fixer la tuyauterie DĂ©terminer l'emplacement des trous Ă  percer en reportant les limites verticales de la chaise de base. VĂ©rifier la verticalitĂ© du tracĂ©, puis percer les six trous de fixation de la chaise de base Ă  l'aide d'une perceuse Ă©lectrique Ă  percussion ou, Ă  dĂ©faut, avec un marteau et un tamponnoir. Pour percer Ă  la dimension correcte, adopter un guide de profondeur sur la perceuse. La fixation doit ĂȘtre solide pour supporter le poids, assez important, de la tuyauterie. Visser la chaise de base AprĂšs avoir chevillĂ© les trous, fixer la chaise de base en vissant fortement les six vis. Ses chants doivent reposer contre le mur sur toute leur longueur, ce qui diminue considĂ©rablement la charge supportĂ©e par les vis. Si le mur n'est pas plan, placer un tasseau de bois sous les montants mĂ©talliques pour corriger ce dĂ©faut. Installer et fixer le poĂȘle Ă  bois EmboĂźter un Ă©lĂ©ment de tuyauterie Mettre en place le premier Ă©lĂ©ment de la tuyauterie sur le T de dĂ©part. Selon la configuration des lieux, cette tuyauterie adopte diffĂ©rents contours il existe des Ă©lĂ©ments en coude, qui rendent possibles tous les montages. Lorsque le poĂȘle fonctionne, les tuyaux chauffent il faut donc veiller Ă  ce qu'ils ne puissent jamais entrer en contact avec des matĂ©riaux inflammables. Serrer le collier S'assurer que chaque Ă©lĂ©ment est correctement montĂ© sur celui qui le prĂ©cĂšde aprĂšs l'avoir vissĂ© d'un quart de tour. Les fixer dĂ©finitivement en posant un collier du mĂȘme mĂ©tal, qui se ferme par vissage. Les colliers sont fournis avec la tuyauterie par le fabricant. Cette fixation donne au montage sa soliditĂ© et lui permet de rĂ©sister aux chocs. Mettre le poĂȘle en place Mettre le poĂȘle en place et encastrer le manchon de sortie dans le T de la tuyauterie. Attention quand le poĂȘle chauffe, sa base mĂ©tallique chauffe aussi. Cela ne prĂ©sente aucun danger si le poĂȘle est placĂ© sur du carrelage ou sur un sol bĂ©tonnĂ©. Mais si la piĂšce est recouverte d'un plancher, il est plus prudent de placer sous le poĂȘle une semelle de briques rĂ©fractaires ou une pierre plate. EmboĂźter la cheminĂ©e extĂ©rieure Le dernier Ă©lĂ©ment, qui sort par le toit, constitue la cheminĂ©e extĂ©rieure. Le coiffer d'un accessoire de cheminĂ©e capuchon pour le protĂ©ger. Cet accessoire, vendu par le fabricant de tuyauterie, s'encastre sur l'extrĂ©mitĂ© du tuyau. Si le poĂȘle est raccordĂ© Ă  un conduit de fumĂ©e existant, une plaque de mĂ©tal ou rosace, dĂ©coupĂ©e pour laisser le passage au tuyau, doit ĂȘtre fixĂ©e contre le mur. Elle assure la jonction et empĂȘche tout Ă©chappement de fumĂ©e dans la piĂšce. Texte Christian Pessey chaiseinstallĂ©e sur un Ă©lĂ©phant en asie codycross 19 Ago. chaise installĂ©e sur un Ă©lĂ©phant en asie codycross. Posted at 07:39h in the betweenlands stronghold by absence autorisĂ©e non rĂ©munĂ©rĂ©e manpower. ha restaurant montrĂ©al Likes. Ici vous trouvez la solution exacte Ă  Us Et Coutume pour continuer dans le paquet CodyCross BibliothĂšque Groupe 296 Grille 1.
L’élĂ©phant de Charlemagne En 797, Charlemagne voulait rĂ©gler Ă  l’amiable les relations entre chrĂ©tiens et musulmans. Il avait donc envoyĂ© au sultan Haroun-al-Rachid, calife de Bagdad, une ambassade formĂ©e de deux chevaliers francs et d’un marchand juif, grand connaisseur de la langue arabe, du nom d’Isaac. Ceux-ci emportaient avec eux des cadeaux prĂ©cieux, dont une meute de chiens de chasse et des chevaux de race. L’objectif consistait Ă  obtenir du sultan qu’il tolĂšre les chrĂ©tiens dans ses Ă©tats. En Ă©change, Charlemagne tolĂ©rerait les musulmans dans le sien. Les chevaliers Ă©tant morts en route, Isaac se chargea seul de l’ambassade. Haroun-al-Rachid entra volontiers dans les vues du roi des Francs et, en signe d’amitiĂ©, chargea Isaac de lui apporter en retour des prĂ©sents somptueux. Celui-ci en revint 5 ans plus tard, le 20 juillet 802 en passant par JĂ©rusalem, puis en longeant la rive sud de la MĂ©diterranĂ©e jusqu’à Carthage, oĂč il prit le bateau jusqu’à Marseille. Il atteignit Porto Venere en octobre 801, passa l’hiver Ă  Verceil et, au printemps, remonta probablement la vallĂ©e du RhĂŽne en direction du Nord, transitant peut-ĂȘtre par Metz, jusqu’à la rĂ©sidence de l’empereur Ă  Aix-la-Chapelle, oĂč il arriva le 1er juillet 802. Isaac Ă©tait porteur de prĂ©cieux cadeaux une horloge Ă  eau qui crachait une boule toutes les heures, un objet emblĂ©matique du savoir-faire technologique de la civilisation arabo-musulmane, des Ă©toffes de soie et surtout Abul-Abbas, un Ă©lĂ©phant blanc indien. L’élĂ©phant blanc, spĂ©cimen extrĂȘmement rare d’albinisme, est considĂ©rĂ© en Asie comme un joyau inestimable dont la possession est l’apanage des rois et des princes. Ces particularitĂ©s sont perçues comme une manifestation visible de son origine divine et en consĂ©quence, on croit depuis toujours qu’il est dotĂ© de pouvoirs magiques. C’est seulement en 802 que Charlemagne, ravi, put prendre livraison de ses cadeaux, qui avaient franchi des milliers de kilomĂštres pour arriver jusqu’à lui. Parmi les cadeaux, l’élĂ©phant se tailla sans conteste la vedette on le prĂ©nomma Abul-Abbas, le " pĂšre d’AbbĂąs ". DĂ©sormais, on allait voir souvent l’élĂ©phant dans la suite de celui qui Ă©tait devenu empereur entre-temps et qui ne manquerait pas la moindre occasion de le montrer Ă  ses hĂŽtes de marque. On raconte mĂȘme que Charlemagne aurait utilisĂ© son Ă©lĂ©phant comme Ă©lĂ©phant dans sa guerre contre les Danois. On aurait arrimĂ© sur son dos une tour de bois pourvue d’ouvertures pour le tir. Malheureusement, un jour de 810, Abul-Abbas est mort subitement. On ne sait pas de quoi, en fait. Pour les uns, il a Ă©tĂ© foudroyĂ© par un infarctus ; pour d’autres, il s’est noyĂ© dans le Rhin ; pour d’autres encore, il a attrapĂ© une pneumonie. Mais, en sortant de l’histoire, il est entrĂ© dans la lĂ©gende, une lĂ©gende durable Ă  travers tout l’empire. Le souvenir de l’élĂ©phant blanc fut durable le trĂ©sor de la cathĂ©drale d’Aix-la-Chapelle conserve un oliphant cor en ivoire qui selon la lĂ©gende passe pour ĂȘtre une des deux dĂ©fenses d’Abul-Abbas.​​​​ Castor et Pollux des Ă©lĂ©phants Ă  la carte Un saut dans le temps, et l’on se retrouve durant l’hiver 1870 dans Paris assiĂ©gĂ© par les Prussiens. Il fait froid et la capitale meurt de faim. Les autoritĂ©s se rĂ©signent Ă  sacrifier les animaux du Jardin des Plantes, parmi lesquels, les Ă©lĂ©phanteaux Castor et Pollux. La Boucherie anglaise du boulevard Haussmann achĂšte leur viande pour la somme astronomique de 27 000 francs et, pour le rĂ©veillon de la Saint-Sylvestre, le cĂ©lĂšbre restaurant voisin affiche Ă  son menu du consommĂ© de pachyderme. Mais seuls des gens fortunĂ©s comme Victor Hugo peuvent s’offrir cette nourriture exotique qui, de l’avis des gastronomes, est d’ailleurs infecte. Et un journaliste britannique ne manque pas d’avertir ses compatriotes en Ă©crivant " J’ai pris une tranche de Pollux Ă  dĂźner
 C’était dur, grossier et huileux, et je recommande aux familles anglaises Ă  mĂȘme de se procurer du bƓuf ou du mouton de ne pas manger d’élĂ©phant. " Topsy l’électrocutĂ©e Topsy a Ă©tĂ© amenĂ©e aux États-Unis vers 1875 par le Cirque Forepaugh qui la donna en reprĂ©sentation dans tout le pays. En 1903 elle Ă©tait ĂągĂ©e de 36 ans, pesait 6 tonnes, mesurait 2,30 mĂštres de hauteur et 3 mĂštres de longueur. En 1900 elle tue deux hommes au Texas et elle passe ses derniĂšres annĂ©es au Luna Park de Coney Island. Seul son dernier gardien FrĂ©dĂ©ric Ault Ă©tait capable de la gĂ©rer ; mais le 6 dĂ©cembre 1902, ivre, il parcourt la ville sur le dos de l’élĂ©phant et s’approche dangereusement du poste de police, effrayant les agents de police prĂ©sents qui, paniquĂ©s, se rĂ©fugiĂšrent dans les cellules du commissariat. En 1903, Topsy remet ça et tue l’un de ses dresseurs qui aurait tentĂ© de lui faire manger une cigarette allumĂ©e, signant ainsi sa condamnation Ă  mort. À la suite de l’incident, les propriĂ©taires du parc — Frederick Thompson et Elmer Dundy — dĂ©cident d’exĂ©cuter l’animal en raison du passĂ© violent de Topsy. Ils avaient d’abord l’intention de la tuer par pendaison, mais la SociĂ©tĂ© amĂ©ricaine pour la prĂ©vention de la cruautĂ© envers les animaux protesta contre cette idĂ©e. Pour rendre l’exĂ©cution plus efficace, on fit manger Ă  Topsy des carottes mĂ©langĂ©es Ă  460 grains de cyanure de potassium avant que la tension de 6 600 V ne soit envoyĂ©e Ă  travers son corps. Topsy mourut en quelques secondes. En 1999 la mort de Topsy est commĂ©morĂ©e lors du DĂ©filĂ© des sirĂšnes de Coney Island par l’artiste Gavin Heck. Le 20 juillet 2003, un bĂątiment a Ă©tĂ© construit en mĂ©moire de Topsy dans le musĂ©e de Coney Island. Mary la desperado Nous sommes en 1916, c’est l’étĂ© dans le Tennessee et le cirque Sparks Brothers arrive dans la ville de Saint-Paul, pour une sĂ©rie de reprĂ©sentation dont l’attraction principale est une troupe d’élĂ©phants. Walter Eldridge, un vagabond sans travail, se fait recruter par le directeur du cirque qui a besoin de quelqu’un pour s’occuper des Ă©lĂ©phants. Walter Eldridge apprend vite la maniĂšre de faire avec les Ă©lĂ©phants grĂące aux autres soigneurs. Ces collĂšgues sont dubitatifs, car ce Walter ne montre aucune gentillesse ni patience envers les animaux qu’il passe son temps Ă  terroriser. Deux jours aprĂšs le dĂ©but de son travail avec les Ă©lĂ©phants survient un premier incident. Alors que Eldridge les mĂšne Ă  un point d’eau pour qu’il s’y dĂ©saltĂšre, la cheffe du troupeau, une Ă©lĂ©phante du nom de Mary s’arrĂȘte et avec sa trompe ramasse un fruit qui se trouve sur le sol. Eldridge qui veut qu’elle continue son chemin lui assĂšne un violent coup de bĂąton sur le crĂąne, Mary pousse un cri de douleur attrape son tourmenteur avec sa trompe et le fait voler au loin dans les airs. L’apprenti cornac se relĂšve furieux et les autres soigneurs doivent l’empĂȘcher de s’en prendre Ă  nouveau Ă  l’animal. Quand arrive le spectacle de l’aprĂšs-midi, Eldridge, qui est toujours furieux contre Mary, n’arrĂȘte pas de la rudoyer en lui donnant pour n’importe quel prĂ©texte de violents coups de bĂąton. Plus le temps passe et plus Mary montre des signes d’énervement jusqu’au moment oĂč elle s’empare Ă  nouveau de Eldridge avec sa trompe et l’envoi valser au milieu de la piste. Mais ce n’est pas tout avant qu’il ait pu se redresser avant que quiconque n’ait pu intervenir Mary se prĂ©cipite sur lui et d’une patte rageuse Ă©crase la tĂȘte de ce peu sympathique bonhomme.... Bien entendu dans l’AmĂ©rique profonde de l’époque, il n’y a pas grand monde pour prendre la dĂ©fense de Mary, le public hurle qu’on la mette Ă  mort, certains dĂ©gainent une arme et tire sur l’animal, mais sa peau est si Ă©paisse que cela n’a aucun effet. Mais les spectateurs crient vengeance, ils veulent la mort de Mary
 Le directeur du cirque qui commence Ă  craindre pour lui et son spectacle ne peut rien faire d’autre que de livrer son Ă©lĂ©phante. La justice populaire et expĂ©ditive de l’AmĂ©rique de l’époque veut que l’on pende l’animal haut et court comme un vulgaire desperado
 Mais c’est plus facile Ă  dire qu’à faire avec un animal de ce poids. Quelqu’un signale qu’il y a, dans une ville voisine, une grue d’une centaine de tonnes qui sert Ă  dĂ©charger les trains de charbon. DĂšs le lendemain, les habitants et les gens du cirque s’y rendent et, comble de l’ironie, pour ne pas perdre une journĂ©e de reprĂ©sentation, une fois dans la ville, le cirque donne une reprĂ©sentation. Ils n’ont quand mĂȘme pas le mauvais goĂ»t d’y faire participer Mary. En fin d’aprĂšs-midi, la pluie tombe doucement quand on dĂ©cide de conduire Mary, qui ne se dĂ©place jamais seule et est donc accompagnĂ©e de quatre de ses congĂ©nĂšres, vers la gare qui sera le lieu de son supplice
 ArrivĂ© lĂ  on attire l’élĂ©phante sous la grue, on lui attache les pattes arriĂšre pour qu’elle ne puisse pas fuir, on lui passe une chaĂźne reliĂ©e au crochet de la grue autour du cou. Cela fait on actionne le treuil qui tend la chaĂźne et soulĂšve l’animal du sol jusqu’au moment oĂč dans un terrible claquement la chaĂźne se rompt et Mary s’écrase sur le sol
 Le terrible Ă©lĂ©phant est de nouveau libre et ceux qui quelques minutes avant s’apprĂȘtaient Ă  se dĂ©lecter de cet horrible spectacle prennent leur jambe Ă  leurs coups pour s’enfuir. Peine perdue, Mary ne peut plus bouger elle a une hanche brisĂ©e. Étourdie elle reste lĂ  semblant se demander ce qui se passe. On se prĂ©cipite avec une autre chaĂźne plus solide, on relance le mĂ©canisme du treuil et Mary est soulevĂ©e Ă  nouveau. Elle suffoque et se dĂ©bat sous les cris enthousiastes des spectateurs assoiffĂ©s de sang qui voulaient voir mourir “Mary la meurtriĂšre”, comme ils la surnommaient. Une demi-heure plus tard, la grue avait fait son travail et Mary Ă©tait redescendue morte dans d’atroces souffrances. Ils Ă©taient plus de 3000 dont de nombreux enfants Ă  regarder cet atroce spectacle.... Jenny la soldate du Kaiser Pendant la Grande Guerre, dĂšs octobre 1914, les Allemands remettent en service des scieries du village pour participer Ă  l’effort de guerre en coupant un maximum de bois dans les forĂȘts afin de renforcer les tranchĂ©es. Ils font venir des hommes et des chevaux, mais a priori ça ne va pas assez vite pour eux et l’officier qui dirige la Kommandantur d’étape d’Avesnes dans le Nord Ă  l’idĂ©e de faire venir Jenny une Ă©lĂ©phante probablement originaire de Ceylan et arrivĂ© au zoo de Hambourg en 1904. Jenny est transportĂ©e en train dans le nord de la France en janvier 1915. En mĂȘme temps son cornac, qui a Ă©tĂ© incorporĂ© dans la marine en 1914 est rappelĂ© aussi dans le Nord pour s’occuper de l’animal. Ensemble ils s’emploient Ă  dĂ©place des troncs, pousser des wagons de charbon et parfois mĂȘme tirer la charrue. L’élĂ©phante est trĂšs efficace, car elle fait le travail de 12 chevaux Ă  elle seule. Parfois Jenny est utilisĂ©e dans des spectacles de cirque pour les soldats ou envoyĂ© pour les dĂ©filĂ©s militaires notamment Ă  Avesnes-sur-Helpe oĂč le chef de la Kommandantur plutĂŽt excentrique a aussi installĂ© une mĂ©nagerie exotique Ă  la sous-prĂ©fecture avec des crocodiles et des singes. AprĂšs 3 ans de bons et loyaux services, Jenny est repartie en Allemagne oĂč elle a terminĂ© ses jours en 1930 dans un nouveau cirque.
AuGabon, le conflit entre les humains et les Ă©lĂ©phants prend des proportions inquiĂ©tantes depuis plusieurs annĂ©es. Pour cause, les plantations de Jardin Donnez une touche d''ambiance exotique Ă  votre habitat, nous vous proposons de nombreux modĂšles de dĂ©coration comme des objets dĂ©co en teck, de vĂ©ritable pierre naturelle en forme d''escargot ou encore des totems authentiques libre cours Ă  vos envies et optez pour l''exotisme Ă  porter de main. Coquillage, vase racine teck, escarg...Donnez une touche d''ambiance exotique Ă  votre habitat, nous vous proposons de nombreux modĂšles de dĂ©coration comme des objets dĂ©co en teck, de vĂ©ritable pierre naturelle en forme d''escargot ou encore des totems authentiques libre cours Ă  vos envies et optez pour l''exotisme Ă  porter de main. Coquillage, vase racine teck, escargot, lampe galet de riviĂšre, boule de teck, statue Ă©lĂ©phant, arbre Ă  chat en teck, banc en teck, console en racine de teck, et des sculpture en bois pour une ambiance unique. DĂ©tailsJardin Il y a 46 Statue et bouddhaVous trouverez la sĂ©rĂ©nitĂ© parmi nos nombreuses Statues Ă  l'ambiance exotique bouddha, ganesh, dog, Ă©lĂ©phant ... Elles peuvent aussi bien s'installer Ă  l'intĂ©rieur pour une dĂ©coration originale et relaxante ou Ă  l'extĂšrieur pour sublimer votre trouverez votre choix parmi des statues en pierre de lave verte d'IndonĂ©sie, vĂ©ritable pierre naturelle, ou alors des statues intĂ©gralement en ciment de diffĂ©rentes statues en pierre de lave verte de Bouddha sont rĂ©alisĂ©es sur l'Ăźle de Bali par des artisans qui utilisent les mĂ©thodes ancestrales de sculpture indonĂ©sienne. La pierre de lave comporte des "taches" de couleurs variĂ©es qui ne sont autre que des cailloux amalgamĂ©s Ă  la lave en fusion et rĂ©vĂ©lĂ©s lors de la taille de la statue. C'est ce qui donne une partie de son unicitĂ© Ă  chaque sculpture. La pierre de lave ne craint ni les intempĂ©ries ni le gel, c''est le matĂ©riau parfait pour votre statue en pierre d''extĂ©rieur, idĂ©al pour dĂ©corer votre jardin ou plonger votre espace piscine dans une ambiance votre sagesse et votre Ă©veil avec nos nombreuses statues. Fontaine Ă  dĂ©bordementVous trouverez la sĂ©rĂ©nitĂ© parmi nos nombreuses fontaines Ă  l''ambiance peuvent aussi bien s''installer Ă  l''intĂ©rieur pour une dĂ©coration relaxante et contemporaine, ou dans votre jardin. Toutes nos fontaines sont fabriquĂ©es en ciment, fibrociment ou en terrazo pour leur soliditĂ© et leur durabilitĂ© dans le murmure apaisant de l'eau qui s'Ă©coule aide Ă  crĂ©er une ambiance relaxante et dĂ©stressante et donne une ambiance zen. 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