DansLa Grande Evasion, Steve McQueen incarne Virgil Hilts, un pilote de l'US Air Force haut en couleurs, au style impeccable. Blouson A2, Sweatshirt bleu, pantalon chino, et bien sĂ»r M-43 RoughoutBoots regardons cela Ă  la loupe. 1 ‱ SĂ©lectionner la taille de l’image cm30 x 2445 x 3660 x 48100 x 80120 x 96*Veuillez sĂ©lĂ©ctionner une taille d'image2 ‱ Choisir le type de finition*Veuillez sĂ©lĂ©ctionner une option de finition3 ‱ Personnaliser votre finition*Veuillez sĂ©lĂ©ctionner une option de finition
LaTriumph de la Grande Evasion La Ford Mustang GT 500 que l’acteur pilotait dans « Bullit » et la Triumph de « La Grande Ă©vasion » ne faisaient pas partie du lot. G.A. (source AP)
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DemĂȘme, les tĂ©moignages de ceux qui ont vĂ©cus de la GRANDE EVASION (non, le faussaire n'est pas devenu aveugle !), la mini enquĂȘte qui a Ă©tĂ© faite concernant la tueries des Ă©vadĂ©s repris, le reportage concernant l'homme qui a inspirĂ© le personnage de Hilts (jouĂ© par Steve MacQueen) sont trĂšs informatifs, et relativisent le cĂŽtĂ© "spectacle" du film. GrĂące Ă  un brillant scĂ©nario et un casting quatre Ă©toiles, La grande Ă©vasion s’impose comme un film de guerre trĂ©pidant qui a largement mĂ©ritĂ© son triomphe au box-office mondial. Synopsis En Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale, des prisonniers alliĂ©s rĂ©calcitrants et rĂ©cidivistes de l’évasion, sont internĂ©s dans un stalag spĂ©cial. Un plan gigantesque et minutieux est mis sur pied pour que 250 hommes puissent s’enfuir ! La grande Ă©vasion, numĂ©ro 1 du box-office français en 1963 Critique Devenu un rĂ©alisateur bankable depuis le triomphe international de ses Sept mercenaires 1960, le cinĂ©aste John Sturges se retrouve durant la dĂ©cennie suivante Ă  la tĂȘte de grosses productions prestigieuses, souvent Ă  travers la Mirisch Corporation. AdaptĂ© du rĂ©cit de guerre de Paul Brickhill, le scĂ©nario de La grande Ă©vasion 1963 est signĂ© par deux grands noms de la littĂ©rature amĂ©ricaine, Ă  savoir James Clavell et surtout William R. Burnett grand auteur de romans noirs qui lui ont apportĂ© une qualitĂ© humaine indispensable Ă  la rĂ©ussite d’une telle entreprise. DotĂ© d’un budget consĂ©quent de quatre millions de dollars, le long-mĂ©trage a Ă©tĂ© intĂ©gralement tournĂ© dans un vrai stalag situĂ© Ă  Munich et dans une forĂȘt environnante. L’économie occasionnĂ©e par un tournage en Europe dans des dĂ©cors Ă  moindre coĂ»t a permis Ă  la production de s’offrir quelques grands noms, dont trois acteurs dĂ©jĂ  Ă  l’affiche des fameux Sept mercenaires. Ainsi, Steve McQueen, Charles Bronson et James Coburn se retrouvent pour la seconde fois dans une production d’envergure, rejoints ici par Richard Attenborough pas encore rĂ©alisateur, Donald Pleasance, James Garner et David McCallum. Ce brillant casting permet non seulement d’attirer le public en salle, mais facilite Ă©galement l’implication du spectateur dans une Ɠuvre aux trĂšs nombreux personnalitĂ©s. Le film d’évasion ultime La grande Ă©vasion se prĂ©sente d’emblĂ©e comme le film d’évasion ultime. Effectivement, le spectateur est enfermĂ© dĂšs les premiĂšres minutes dans un camp d’oĂč il ne ressort que deux heures plus tard, en mĂȘme temps que les Ă©vadĂ©s. MalgrĂ© cette unitĂ© de lieu, le long-mĂ©trage de Sturges tient sans cesse en haleine par l’ingĂ©niositĂ© du dispositif mis en place par les prisonniers et les multiples intrigues secondaires dĂ©veloppĂ©es durant la confection du plan. United Artists a MGM Company, Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc. All Rights Reserved. Swashbuckler Films Ainsi, les scĂ©naristes n’ont pas oubliĂ© de donner un certain relief Ă  quelques personnages emblĂ©matiques si Steve McQueen est davantage dans l’action, on lui prĂ©fĂšre largement des rĂŽles plus secondaires comme ceux de Charles Bronson le claustrophobe ou Donald Pleasance le faussaire atteint de cĂ©citĂ©. Cette brillante caractĂ©risation offre au spectateur un panel de personnages auxquels il peut facilement s’identifier Ă  tour de rĂŽle. Outre un vĂ©ritable suspense, l’Ɠuvre dĂ©gage Ă©galement dans sa derniĂšre partie, un certain sens de la fatalitĂ© puisqu’une quinzaine d’évadĂ©s seulement parviennent Ă  quitter la zone occupĂ©e sur les soixante-seisze qui ont pris la tangente. Un rĂ©sultat en demi-teinte qui contraste sĂ©rieusement avec les habituels happy end qui furent lĂ©gion dans le genre. Steve McQueen mĂ©gastar RĂ©alisĂ© avec un certain savoir-faire, dynamisĂ© par une excellente partition d’Elmer Bernstein et portĂ© par d’excellents comĂ©diens, La grande Ă©vasion a connu un Ă©norme succĂšs Ă  sa sortie, se plaçant numĂ©ro 1 du box-office français en 1963 avec plus de 8 millions d’entrĂ©es. Ce triomphe a d’ailleurs permis Ă  Steve McQueen de devenir la grande star internationale qu’il souhaitait ĂȘtre. A partir de cette annĂ©e charniĂšre, il a enchaĂźnĂ© les succĂšs avec une impressionnante rĂ©gularitĂ©. Sans ĂȘtre un chef-d’Ɠuvre, La grande Ă©vasion demeure un excellent exemple du savoir-faire hollywoodien dans le domaine du film Ă  grand spectacle. Notes C’est Steve McQueen qui a eu l’idĂ©e d’ajouter les sĂ©quences finales de la poursuite Ă  moto. Si Steve McQueen a tournĂ© de nombreux plans de la poursuite Ă  moto, il n’a pas eu le droit d’effectuer le saut par-dessus les barbelĂ©s Ă  cause des assureurs. Durant le tournage, des tensions sont apparues entre McQueen et Charles Bronson pour savoir lequel serait la vedette du film Critique de Virgile Dumez Les sorties de la semaine du 23 aoĂ»t 1963 United Artists a MGM Company, Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc. All Rights Reserved. Swashbuckler Films ungrand pouvoir implique de grandes responsabilitĂ©s yoda. trĂ©sor trouvĂ© en france 2017. location vacances sables d'olonne particulier; article 725-1 du code civil; sorbonne lettres adresse; chaĂźne discovery science; conseil gĂ©nĂ©ral du val de marne adresse; animations parentalitĂ© ; menu rodeo burger king; appartement vue mer charente-maritime; ipweb sorbonne nouvelle. camion
En 1961, Steve McQueen avait renoncĂ© Ă  une possible carriĂšre de pilote professionnel pour rester dans le monde du cinĂ©ma. Une dĂ©cision qui avait dĂ» ĂȘtre un crĂšve-cƓur pour lui, qui dĂ©clarait quelques annĂ©es plus tĂŽt en interview, alors qu'il prenait part Ă  des compĂ©titions de dirt track “Dans les studios, tout le monde attend aprĂšs moi. Ils me poudrent le nez et me disent ce qu'ils croient ĂȘtre ce que j'ai envie d'entendre. Et au bout d'un moment, vous ĂȘtes convaincu d'ĂȘtre un super humain.” “Mais quand vous courez Ă  moto, le gars sur la moto d'Ă  cĂŽtĂ© ne prend pas soin de vous. Et s'il vous bat, et bien ça veut dire qu'il est meilleur que vous. Et il n'a pas peur de vous dire que vous ĂȘtes un pouilleux.” Tout en continuant Ă  courir dĂšs qu'il en avait l'occasion, c'est donc par le biais du cinĂ©ma que McQueen, devenu star internationale et acteur le mieux payĂ© d'Hollywood, allait tout faire pour exprimer sa passion de la vitesse et de la course. Son projet de film tournĂ© dans le monde de la Formule 1, Day of a Champion, tomba Ă  l'eau quand le rĂ©alisateur John Frankenheimer et l'acteur Frank Gardner, son ami auquel il en voulut beaucoup, le prirent de vitesse avec Grand Prix. Ce n'est pas lui qui rĂ©alisa les scĂšnes de cascade ou de poursuites pour lesquelles il est le plus connu aujourd'hui. Mais il participa activement Ă  l'organisation du saut Ă  moto par-dessus des barbelĂ©s dans La Grande Évasion. En revanche, il ne voulut, dans un premier temps, pas entendre parler du film Bullitt. Parce qu'il ne voulait pas jouer le rĂŽle d'un “flic”, et parce qu'il Ă©tait dĂ©jĂ  immergĂ© dans son nouveau projet de film sur la course automobile... Steve Ă©tait un bon pilote, mais il y a une diffĂ©rence entre ĂȘtre un bon pilote et un bon cascadeur. Carrie Lofton, cascadeur Une fois dĂ©cidĂ©, l'acteur s'impliqua Ă©normĂ©ment dans Bullitt – notamment dans la fameuse scĂšne de poursuite qui fut tournĂ©e en dernier et dans laquelle il voulait cette fois ĂȘtre lui-mĂȘme au volant. HĂ©las, ses quatre tentatives se soldĂšrent par autant d'Ă©checs, puisqu'il se mettait en travers et venait emboutir d'autres voitures. “Sortez-le moi de lĂ ,” rĂ©agit le cascadeur engagĂ© pour superviser les scĂšnes d'action, Carrie Lofton, qui dĂ©clara pas la suite “Steve Ă©tait un bon pilote, mais il y a une diffĂ©rence entre ĂȘtre un bon pilote et un bon cascadeur.” Il fallut quatre jours Ă  l'Ă©quipe du film pour se “dĂ©barrasser” de l'acteur vedette dans la rĂ©alisation de cette scĂšne, non sans avoir usĂ© d'un drĂŽle de stratagĂšme avec la complicitĂ© de sa femme, Neile, l'heure de rĂ©veil donnĂ©e Ă  McQueen le jour fatidique – six heures du matin – Ă©tait bien plus tardive que la vraie et quand la star arriva sur les lieux du tournage, la sĂ©quence Ă©tait en boĂźte... Direction... Le Mans McQueen n'avait donc pas renoncĂ© Ă  son grand film sur la course qu'il voulait tellement inĂ©galable que “personne n'en ferait jamais plus,” et jeta son dĂ©volu sur les 24 Heures du Mans. Pensant prendre part lui-mĂȘme Ă  l'Ă©dition 1970 dans le cadre de laquelle serait tournĂ© le film, il participa Ă  des courses de clubs ainsi qu'aux 12 Heures de Sebring avec Peter Revson sur une Porsche 908 Ils ne s'inclinĂšrent que de justesse mais lors de la cĂ©rĂ©monie d'aprĂšs-course, le public n'avait d'yeux que pour McQueen et non pour Mario Andretti, pourtant magistral vainqueur... En raison d'un problĂšme d'assurances notamment, McQueen dut se rendre Ă  l'Ă©vidence et ne prit pas le volant dans la Sarthe, supervisant en revanche les prises de vue. La suite est connue et relatĂ©e dans le documentaire The Man & Le Mans. Le tournage tournant au cauchemar avec plusieurs accidents, dont un des suites duquel le pilote David Piper fut amputĂ© d'une jambe. Et un autre pour McQueen lui-mĂȘme au volant d'un onĂ©reux proto, alors qu'il avait louĂ© la piste – Ă©galement Ă  grands frais – pour tourner des raccords. John Sturges, avec lequel il avait travaillĂ© sur Les Sept Mercenaires et La Grande Évasion, finit par quitter le navire – lassĂ© d'entendre la star refuser l'histoire d'amour que le rĂ©alisateur voulait imposer parallĂšlement Ă  l'autre histoire, celle de McQueen la course. Et rien que la course. Le film fut terminĂ© avec deux mois de retard et un milliard et demi de dollars de dĂ©passement de budget. La critique fut sĂ©vĂšre, le Time l'appelant “Petit Prix” en rĂ©fĂ©rence Ă  Grand Prix. McQueen en sortit exsangue. Il y avait laissĂ© son mariage, sa sociĂ©tĂ© de production et une partie de sa fortune. “Ce fut un vrai bain de sang, ce film,” dĂ©clara-t-il des annĂ©es plus tard, “la chose la plus dangereuse que j'ai jamais faite. Manque de chance, nous n'avions pas de script. Je me suis trompĂ©. On ne peut pas avoir raison tout le temps.” Pour Steve, la course avait une dignitĂ© et il n'Ă©tait pas sĂ»r qu'ĂȘtre acteur puisse ĂȘtre mis sur le mĂȘme plan. Un Ă©crivain ami de Steve McQueen Pour les passionnĂ©s de sport automobile, Le Mans est pourtant considĂ©rĂ© comme la rĂ©fĂ©rence du genre. Peut-ĂȘtre parce qu'il est Ă  l'image de ce que Steve McQueen voulait qu'il soit. Il y a bien un scĂ©nario, mais c'est celui de la course. Et la seule scĂšne un tant soit peu sentimentale est celle oĂč Michael Delaney, le personnage qu'il incarne, explique Ă  une jeune femme, avec laquelle on pourrait deviner le dĂ©but du commencement d'une romance, qu'arrĂȘter de courir est simplement impossible pour lui... “Pour Steve, la course avait une dignitĂ© et il n'Ă©tait pas sĂ»r qu'ĂȘtre acteur puisse ĂȘtre mis sur le mĂȘme plan,” dĂ©clara aprĂšs sa mort un Ă©crivain proche de l'acteur qui avait lui-mĂȘme affirmĂ©, Ă  l'Ă©poque des compĂ©titions de dirt track “La course me permet de garder mon Ă©quilibre. Quand je suis sur cette bĂ©cane, je me dis Ă  moi-mĂȘme voilĂ  oĂč j'ai envie d'ĂȘtre. VoilĂ  ce que je veux faire.”

37ej. - Valverde : ''Je me sens comme Steve McQueen dans La Grande Évasion'' Tele-Loisirs.fr. 1:20:56. The Getaway: L'Evasion Film d'action en Français (2018) Steve

Écrans & TV CinĂ©ma 2 minutes Ă  lire PubliĂ© le 06/12/20 mis Ă  jour le 07/12/20 Partager United Artists Une balle de baseball et le gant qui va avec, une moto qui s’envole
 GrĂące Ă  de petits arrangements avec la rĂ©alitĂ© et Ă  un scĂ©nario original, Steve McQueen s’est donnĂ© le beau rĂŽle dans le film de John Sturges, diffusĂ© ce dimanche 6 dĂ©cembre. Il n’y a pas que dans les films que l’on creuse des tunnels pour s’évader. En 1963, John Sturges s’inspire d’une histoire vraie relatĂ©e par Paul Brickhill pour sa Grande Évasion celle de soixante-seize soldats alliĂ©s ayant creusĂ© la terre pour s’échapper d’un camp de dĂ©tention allemand, en mars 1944. En revanche, il n’y a qu’au cinĂ©ma qu’on le fait Ă  deux-roues. Je n’aime pas du tout le film, parce qu’il n’y avait pas de motos et les AmĂ©ricains n’étaient pas dans le coup », pestait, en 2014, l’un des survivants australiens de l’aventure, Paul Royle. Pas de moto ni d’AmĂ©ricain ? Diantre ! S’il y a une image que l’on retient du film pourtant, c’est bien Steve McQueen sur sa bĂ©cane. Le fait est que l’acteur adore les grosses motos. C’est lui qui insiste pour ajouter une scĂšne de poursuite dans les jolis prĂ©s ensoleillĂ©s de BaviĂšre – un autre dĂ©calage avec la rĂ©alitĂ© la vĂ©ritable Ă©vasion s’est dĂ©roulĂ©e sous la neige, dans un froid glacial. La production dĂ©gote une Triumph TR6 de 1962 qui, avec un brin de maquillage, est tout Ă  fait crĂ©dible en bolide de l’armĂ©e allemande. D’ailleurs, il aime tellement les grosses motos, Steve McQueen, qu’il s’occupe lui-mĂȘme d’une partie des cascades, Ă  l’exception des plus dangereuses, dont le fameux saut par-dessus la frontiĂšre germano-suisse, laissĂ© Ă  son ami Bud Ekins. Insolence inoubliable RĂ©vĂ©lĂ© par la sĂ©rie tĂ©lĂ© Au nom de la loi 1958-1961, McQueen cherche Ă  surfer sur ses premiĂšres apparitions au cinĂ©ma. Et donc Ă  se donner le beau rĂŽle en marchant sur les plates-bandes de Charles Bronson, comme il avait tentĂ© de piĂ©tiner celles de Yul Brynner dans Les Sept Mercenaires, du mĂȘme Sturges, trois ans plus tĂŽt — McQueen aime les moteurs autant que la compĂ©tition. Parmi les retouches qu’il apporte au scĂ©nario, il y a aussi ce gant et cette balle de baseball qui lui confĂšrent une insolence inoubliable. Le petit truc qui fait la diffĂ©rence. Chaque dĂ©tail de l’évasion a Ă©tĂ© respectĂ© », promettait un texte introductif, dont on aurait saisi l’ironie mĂȘme sans l’aide de Steve McQueen. En fait, l’acteur peut se permettre ces quelques notes personnelles car La Grande Évasion est moins un drame qu’une comĂ©die. Si le carton final rend hommage aux cinquante hommes exĂ©cutĂ©s par les nazis, ce stalag ressemble surtout Ă  une grande colonie de vacances, au point que les Russes s’indigneront des conditions de dĂ©tention plutĂŽt clĂ©mentes que les Allemands auraient rĂ©servĂ©es aux autres. Steve McQueen, un rĂ©alisateur qui aime les gros doigts Romain Capelle Mais les Russes aiment le film et en particulier la prestation de Steve McQueen, rĂ©compensĂ© du titre de meilleur acteur au Festival international du film de Moscou. Le comĂ©dien a rĂ©ussi son coup il tient le grand rĂŽle qui fait dĂ©coller sa carriĂšre, comme une moto sautant par-dessus des barbelĂ©s. La suite des annĂ©es 1960 est assez dense Le Kid de Cincinnati 1964, Eric Stoner, La CanonniĂšre du Yang-TsĂ© 1965, Robert Wise, L’Affaire Thomas Crown 1968, Norman Jewison, Bullitt 1968, Peter Yates. La dĂ©cennie suivante le hissera tout en haut de La Tour infernale 1974, John Guillermin. À voir La Grande Évasion, de John Sturges, dimanche 6 dĂ©cembre, Ă  20h50, sur Arte. Le film du dimanche soir John Sturges Steve McQueen Partager Contribuer
Cidessous vous trouvez la réponse pour Moto de Steve McQueen dans La Grande évasion : Moto de Steve McQueen dans La Grande évasion . Solution: TRIUMPH. Les autres questions que vous pouvez trouver ici CodyCross Londres Groupe 493 Grille 4 Solution et Réponse. Post navigation « Quatre-vingt dix chez les Belges . Adapté correspondant exactement » Leave a
Inscrivez-vous Ă  la newsletter ActualitĂ© / Moto LĂ©gende 2018 Triumph Ă  l’honneur Triumph a l'honneur de Moto LĂ©gende 2018 La Triumph TR6R de Steve McQueen dans La Grande Evasion » sera la guest-star du Salon Moto LĂ©gende, mais bien d’autres surprises sont au programme. Du 23 au 25 novembre, au Parc Floral de Paris chĂąteau de Vincennes se tiendra la 21Ăšme Ă©dition du Salon Moto LĂ©gende Triumph y sera la marque mise Ă  l’honneur, avec une belle brochette de machines exposĂ©es, parmi lesquelles leur nouveau 1200 Scrambler, mais aussi et surtout, la TR6R de 1963 de Steve McQueen, vedette du film La Grande Evasion », une piĂšce unique qui sortira pour la premiĂšre fois du Royaume-Uni, mais aussi le prototype de la Bonneville T120 de 1958, la Thunderbird des records de 1949 Ă  MontlhĂ©ry et bien d’autres choses encore. Moto LĂ©gendes 2018 le grand Ago y sera Ce n’est pas tout, le pilote le plus titrĂ© dans l’histoire des GP y sera aussi prĂ©sent fort de ses 15 titres de Champion du Monde, Giacomo Agostini viendra avec les deux Yamaha avec lesquelles il a remportĂ© sa premiĂšre et sa derniĂšre victoire en GP, une Yamaha TZ 750A de 1974 avec laquelle il s’est imposĂ© aux 200 miles de Daytona ainsi qu’une TZ750 OW31 de 1979 victoire au GP d’Hockenheim. Yamaha en profitera Ă©galement pour exposer la premiĂšre R1 de 1998. D’autres marques feront le dĂ©placement. Royal Enfield, Indian, Midual, Brixton et Moto Guzzi, qui y dĂ©voilera pour la premiĂšre fois sur le sol français la V85 TT. De nombreux clubs feront, bien entendu, le dĂ©placement le Club 11R First y cĂ©lĂ©brera les 30 ans de la Suzuki GSX-R 1100, le CB 750 Club se rĂ©jouira des 50 ans de l’icĂŽne, Godier Genoud Passion, le XT 500 Club fĂȘtera les 40 ans de la Yamaha SR 500
 Enfin, outre l’habituelle brocante oĂč vous avez toutes les chances de trouver le gicleur de Terrot qu’il vous manquait, une vente aux enchĂšres conduite par la maison Osenat tentera de trouver des nouveaux propriĂ©taires Ă  environ 90 motos, donc la Ducati 996 ex Johnny Hallyday ou encore une Munch Mammuth 1200 TTS de 1972. Le Salon Moto LĂ©gende est ouvert les vendredi 23 11-22 h, samedi 24 10-19 h et dimanche 25 10-18h novembre. L’entrĂ©e vous coutera la modique somme de 16 €. Notre conseil allez-y tĂŽt, c’est souvent blindé  mais ça vaut le coup ! A voir aussi
Al'occasion de la rediffusion du film culte La Grande Ă©vasion dimanche 6 dĂ©cembre 2020, Ă  partir de 20h50 sur Arte, TĂ©lĂ© Star vous dĂ©voile si Steve McQueen a rĂ©alisĂ© lui-mĂȘme
Steve McQueen et Le Mans Ă  nouveau sur grand Ă©cran ! Un acteur mythique qui adorait tout ce qui allait vite avec un moteur. Une des plus grandes courses du monde, un spectacle unique. Des camĂ©ras. Des bolides, des figurants, des rugissements de fauves mĂ©caniques. Une belle femme. Des pilotes d’exception. Des Gulf Porsche 917, des Ferrari 512 S Ă  une Ă©poque oĂč l’endurance et les 24 Heures possĂ©daient une aura au moins aussi importante que la Formule 1. Tels sont les ingrĂ©dients du film Le Mans sorti en 1971. Il mĂȘle images d’archives et scĂšnes de fiction tournĂ©es dans le souci de reconstituer la course. Cette Ɠuvre devint le film culte traitant de sport automobile. Plus rĂ©aliste que le Grand-Prix rĂ©alisĂ© cinq ans plus tĂŽt par John Frankenheimer. Plus fidĂšle Ă  la compĂ©tition que d’autres Ɠuvres oĂč la course n’apparaĂźt qu’en second plan. Seul Rush, produit quatre dĂ©cennies plus tard, se rapproche de la perfection de Le Mans. AssociĂ© Ă  la joie de vivre et Ă  l’insouciance, le Vintage a fait un retour en force ces derniĂšres annĂ©es. Logique dans ce contexte qu’Andrew Marriott, journaliste, Chad McQueen, le fils de l’acteur, John McKenna et Gabriel Clarke, rĂ©alisateurs, aient Ă©prouvĂ© l’envie de se lancer dans une nouvelle aventure, un film sur LE FILM, un documentaire sur Le Mans le film. Cette nouvelle Ɠuvre, intitulĂ©e The Man & Le Mans, a Ă©tĂ© projetĂ©e au Festival de Cannes 2015. Elle arrive en salle le 4 novembre 2015. Flash-back sur Le Mans le film de 1971 Le Mans, c’est l’histoire revisitĂ©e d’une Ă©dition de la classique mancelle au dĂ©but des annĂ©es 70. Steve McQueen interprĂšte le rĂŽle de Michael Delaney, pilote Porsche, qui revient sur le circuit un an aprĂšs un grave accident oĂč un autre concurrent, Pierre Belgetti, a trouvĂ© la mort. La veuve de Belgetti est lĂ . C’est une femme superbe. Elle n’est pas venue exprimer de la rancƓur. Simplement, elle est lĂ , dans la grande famille du sport automobile. Une famille pas toujours soudĂ©e
 RivalitĂ©s sportives et amoureuses exacerbent les sentiments. Michael Delaney fait partie des favoris. Pour l’emporter, il devra imposer sa Gulf Porsche 917 aux Ferrari 512 S, notamment Ă  celle d’Erich Stahler, le rival. Les pilotes ne se feront pas de cadeaux sur la piste. La course, c’est la vie! Avant et aprĂšs, il n’y a que l’attente », dĂ©clare Michael Delaney alias Steve McQueen dans le film. Une citation, une phrase qui explique tout le film et toute la personnalitĂ© de Steve McQueen. Le critique cinĂ©matographique Samuel Blumenfeld, auteur du livre Au nom de la loi, rĂ©sume parfaitement l’Ɠuvre. Il n’y a pas de scĂ©nario, pas d’histoire. Il Steve McQueen veut tourner un documentaire avec la volontĂ© de filmer la vitesse, comme ça n’a jamais Ă©tĂ© fait avant, comme ça ne sera jamais fait aprĂšs. » Si Steve McQueen avait choisi la trajectoire de sa vie depuis l’enfance, sans doute serait-il devenu pilote professionnel et pas acteur. Steve savait mener une voiture de course, tĂ©moigne Gerd Schmid, un mĂ©canicien Porsche. Je ne sais pas oĂč il a appris, mais il avait ça dans le sang. » En 1970, Steve McQueen a quarante ans. Il est une immense star. Il possĂšde un charisme particulier, comme James Dean, Brando, Delon, Newman et quelques rares perles du cinĂ©ma. Quelqu’un de gĂ©nial, rapporte Samuel Blumenfeld. Son jeu installe des standards. » Le critique explique comment Steve McQueen est l’auteur de son propre rĂŽle dans Le Mans. Il barrait des dialogues. Un clin d’Ɠil, une pliure de son visage, et il donnait au rĂ©alisateur ce qu’il voulait. » Une maĂźtrise du jeu qui explique le film. Pas besoin de dialogues. Les expressions suffisent. Quant au son, il est offert comme une symphonie par les moteurs des bolides. Au moment oĂč Steve McQueen se lance dans le projet Le Mans, sa gloire en tant que comĂ©dien suffit Ă  porter le film. Il a les moyens de participer au financement. On le payait $ rien que pour lire un scĂ©nario rĂ©cupĂ©rĂ© dans une station-service », raconte Samuel Blumenfeld. Ses performances de pilote le rendent crĂ©dible dans le rĂŽle de Michael Delanney. Car McQueen est un vrai pilote. Il a participĂ© Ă  de nombreuses courses et dĂ©montrĂ© qu’il pouvait jouer au plus haut niveau. Aux 12 Heures de Sebring 1970, il est associĂ© Ă  Peter Revson qui court aussi en F1. L’équipage pilote un prototype Porsche 908. Ils finiront seconds derriĂšre la Ferrari 512 S du trio Nino Vacarella, Ignazio Giunti, Mario Andretti. Cette Ă©preuve sera aussi pour lui l’occasion de dĂźner avec un maĂźtre de la fiction automobile, Jean Graton. Le papa spirituel de Michel Vaillant est venu en repĂ©rage en vue de l’album Massacre pour un moteur. Naturellement, les deux hommes discuteront longuement du prochain rĂŽle de Steve McQueen. Au Mans, Steve veut faire Ă©quipe avec Jackie Stewart sur une Porsche 917. Courir les 24 Heures Ă©tait l’une des raisons qui l’avaient poussĂ© Ă  faire ce film, tĂ©moigne son fils Chad. Mais les assurances lui ont interdit, et cela l’a beaucoup attristĂ©. On a dit qu’il avait quand mĂȘme pilotĂ© sous le casque d’un autre pilote, mais je n’en sais rien
 » Un film qui offre le plein d’émotions Si Steve McQueen a Ă©prouvĂ© de la frustration au moment du tournage, le rĂ©sultat ravit le spectateur, tout au moins celui qui aime le sport automobile les autres, de toute façon, ne nous intĂ©ressent pas et ne frĂ©quentent sĂ»rement pas ce site. Un bon film, c’est celui qui provoque des Ă©motions. Et lĂ , le spectateur est servi. Je fais partie de ceux qui ont dĂ©couvert Le Mans lors de sa sortie en 1971. J’étais encore lycĂ©en. Ma chambre Ă©tait dĂ©corĂ©e de posters de Porsche 917 surtout celle de Pedro Rodriguez, de McLaren Can-Am et de photos que j’avais rĂ©alisĂ©es Ă  une course de cĂŽte bretonne oĂč mon pĂšre acceptait de m’amener tous les ans. La projection de Le Mans m’a transportĂ© sur le circuit, au cƓur de cette course qui me faisait rĂȘver depuis que, tout gamin, j’entendais les interventions radiophoniques de Tommy Franklin en direct du circuit. Le Mans, c’était un choc, celui de la course reconstituĂ©e avec ses bolides, ses angoisses, ses pilotes, sa part de mystĂšre. Sans oublier la nuit mancelle, magique, sombre, Ă  la fois inquiĂ©tante et envoĂ»tante. J’ai attendu longtemps avant de le revoir. C’était un dimanche soir en 2002, Ă  l’occasion d’une soirĂ©e thĂ©matique sur Arte. Je rentrais des 24 Heures oĂč j’avais suivi la course au sein d’une Ă©quipe afin de la raconter vue » de l’intĂ©rieur. Mes oreilles bourdonnaient encore des vrombissements des moteurs de course. Et là
 j’ai trouvĂ© Le Mans aussi magique que la premiĂšre fois. RĂ©aliste, enthousiasmant, avec un Michael Delaney Steve McQueen parfait dans son rĂŽle de grand pilote du team Gulf Porsche. Je l’ai imaginĂ© dans la vraie course de 2011 aux cĂŽtĂ©s des pilotes des 917 de John Wyer cette annĂ©e-lĂ . Il aurait eu sa place auprĂšs des meilleurs, Pedro Rodriguez, Jo Siffert, Richard Attwood, Jackie Oliver, Derek Bell
 Puis en juillet 2003, j’ai achetĂ© la nouvelle version du DVD qui arrivait dans les rayons culture ». J’ai revisionnĂ© le film avec le mĂȘme bonheur, celui de me sentir sur la piste. Qu’est-ce qu’un bon film ? Chaque critique aura sa dĂ©finition. La mienne est simple, un bon film c’est un film qui procure des Ă©motions, un film que le spectateur est content d’avoir vu. A ce niveau, Le Mans est un film parfait. Un film survoltĂ©, impressionnant et extrĂȘmement rĂ©aliste sur les cĂ©lĂšbres 24 Heures du Mans, commenta le Los Angeles Time. Du pur plaisir. » Il existe des moments qui affligent les passionnĂ©s de compĂ©tition. Je veux parler des accidents graves, des pilotes qui trouvent la mort sur la piste. Tant de champions nous ont quittĂ©s. Le risque est bien prĂ©sent dans le film. DĂšs les premiĂšres scĂšnes. Puis plus tard, notamment au moment d’un crash impressionnant sur et de scĂšnes oĂč Porsche 917 et Ferrari 512 S luttent cĂŽte Ă  cĂŽte en se touchant Ă  plusieurs reprises. En tant que pilote, Steve avait saisi cette dimension de la course. Il Ă©prouvait une fascination pour la mort », analyse Samuel Blumenfeld. Le danger associĂ© Ă  la course contribuait Ă  l’adrĂ©naline qu’elle offrait. Comme une drogue forte, comme l’alcool. Que va nous apprendre The Man & Le Mans ? Ce moment le tournage du film Le Mans a Ă©tĂ© le plus important dans la vie de Steve », tĂ©moigne Neile Adams, son ex Ă©pouse. Steve McQueen a souffert avant de briller au firmament du cinĂ©ma mondial. Il Ă©tait le fils d’une prostituĂ©e et il n’a jamais connu son pĂšre », rappelle Samuel Blumenfeld. Le Mans, c’était son rĂȘve. D’autant qu’il avait voulu jouer dans Grand-Prix et s’était fait rejeter par Frankenheimer. Non pas Ă  cause de ses performances d’acteur, mais en en raison de son charisme, de sa personnalitĂ©, de sa notoriĂ©tĂ©. Je ne veux pas que l’acteur prenne le pas sur le personnage », justifie Frankenheimer. Déçu, sans doute blessĂ©, Steve va s’acharner Ă  trouver ce rĂŽle de pilote auquel il tient tant. Je ne pense pas qu’un pilote puisse vous expliquer pourquoi il court, en revanche, je pense qu’il peut vous le montrer », explique-t-il. En 1970, le rĂȘve devient enfin rĂ©alitĂ©. Le Mans LE FILM va dĂ©marrer. Avec un gros budget pour l’époque 6 millions de dollars. Les moyens seront Ă  la hauteur des ambitions de l’acteur pilote. Une Porsche 908 disputera les 24 Heures avec deux camĂ©ras embarquĂ©es inĂ©dit Ă  l’époque. Le circuit sera louĂ© au mois de juillet pour tourner des scĂšnes de raccord. 25 voitures de course sont achetĂ©es ou louĂ©es pour le tournage. 19 camĂ©ras s’implantent sur le circuit. 56 pilotes sont recrutĂ©s pour que les images des raccords soient parfaites. Pas moins de trois Lola T70 Ă  la retraite, affublĂ©es de carrosseries de Porsche ou Ferrari et tĂ©lĂ©commandĂ©es furent bel et bien envoyĂ©es dans le vrai dĂ©cor des S d’Arnage grĂące Ă  un tremplin camouflĂ© en banquette de sable », Ă©crivit Philippe Carles dans L’Almanach Échappement 1980. Steve McQueen veut un documentaire. Les scĂšnes doivent ĂȘtre tournĂ©es Ă  vitesse rĂ©elle. Il se montre exigeant. ExtrĂȘmement parano, le niveau de folie Ă©tait incroyable », ajoute son assistant, Mario Iscovich. Le tournage n’a rien d’un long fleuve tranquille. John Sturges, rĂ©alisateur de La grande Ă©vasion et des 7 mercenaires, paraissait a priori un moteur » du FILM. L’équipage Steve – John ne fonctionne plus. Burges claque la porte. Il ne travaillera plus jamais avec McQueen. Le couple Steve Neile explose. Le budget aussi
 Des accidents surviennent pendant le tournage des scĂšnes de raccord. David Piper perd une partie de jambe. Derek Bell est brĂ»lĂ© au visage et aux mains. Le film se termine dans la souffrance. Nouvelle dĂ©ception Ă  son arrivĂ©e dans les salles. Si les Japonais lui font un triomphe, les publics amĂ©ricains et europĂ©ens ne viennent pas aussi nombreux qu’escomptĂ©. Le film n’a pas Ă©tĂ© un Ă©chec, estime cependant Chad McQueen. mais mon pĂšre est parti sans se rendre compte Ă  quel point les annĂ©es l’ont rendu mythique ». Nul doute que le documentaire The Man & Le Mans renforceront encore les lĂ©gendes McQueen et Le Mans. Les spectateurs prendront un Ă©norme plaisir Ă  dĂ©couvrir les tĂ©moignages, interviews et rushes inĂ©dits qui le composent. Steve McQueen n’a plus jamais pilotĂ© en course aprĂšs Le Mans. Il a connu de nouveaux triomphes au box-office, notamment avec Papillon et La tour infernale. Que lui est-il restĂ© de Le Mans Le film ? Sas doute un mĂ©lange de frustrations et de fiertĂ©. J’aime rĂȘver, avouait-il. En gĂ©nĂ©ral, on rĂȘve quand on dort. Mon rĂȘve, je l’ai vĂ©cu dans la rĂ©alitĂ©. » Thierry Le Bras Steve McQueen The man & Le Mans, le trailer du long-mĂ©trage
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